Archive Actualités du lundi 11 janvier 2021
Colin Powell ne se considère plus membre des républicains après les violences à Washington
ÉTATS-UNIS - Au sein du parti républicain américain, il y a des figures indéboulonnables. Ou du moins, elles semblaient l’être avant la présidence Trump. L’une d’entre elles, l’ancien secrétaire d’État américain Colin Powell a ainsi quitté le navire, affirmant qu’il ne se considérait plus membre des républicains depuis les violences au Capitole. Dans une interview accordée dimanche 10 janvier à la chaîne américaine CNN, l’ancien ministre de George Bush a pris ses distances avec le parti à l’éléphant, ainsi d’ailleurs qu’avec les démocrates. Interrogé sur le rôle des républicains dans la crise politique et sociale que traverse actuellement le pays, Colin Powell a en effet considéré que le parti avait contribué à exacerber les tensions.“C’est la raison pour laquelle je ne peux plus me définir comme un membre des républicains. Je ne suis plus membre de quoi que ce soit en ce moment.”“Je suis simplement un citoyen qui a voté pour les républicains comme pour les démocrates tout au long de ma carrière. Désormais, je m’occupe uniquement de mon pays, et ne me sens plus concerné par les partis”, a déclaré l’ancien secrétaire d’État, qui s’était opposé à Donald Trump dès le début de son mandat et a voté pour Joe Biden lors de la présidentielle. Il ne s’est d’ailleurs pas privé d’étriller l’attitude des républicains, plus préoccupés par “leur image et leur obsession de ne prendre aucun risque pour leur carrière” que par le bien-être des Américains. “Ils ne vont jamais s’élever pour dire la vérité ou pour critiquer Donald Trump ou les autres membres du parti. Alors que c’est ce dont nous avons besoin. Nous avons besoin de gens qui disent la vérité, qui se rappellent qu’ils sont là pour les citoyens, pour le pays. Pas seulement pour être réélus.”Colin Powell n’est pas le seul républicain à avoir lâché Donald Trump après le chaos à Washington. Mais le symbole est d’autant plus fort qu’il était jusqu’à présent une des personnalités du parti et a occupé des postes importants sous les administrations Reagan et Bush père et fils. Preuve de sa stature, son nom avait notamment été cité pour devenir le colistier du candidat républicain Bob Dole lors de l’élection présidentielle de 1996. Une proposition à laquelle il n’avait jamais donné suite. À voir également sur Le HuffPost: Avant Washington, un autre Capitole avait déjà été envahi par des “patriotes” américains
https://www.huffingtonpost.fr/entry/colin-powell-ne-se-considere-plus-membre-des-republicains-apres-les-violences-a-washington_fr_5ffc9186c5b691806c4b5317Etats-Unis
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Le tournage des "Anges" à La Réunion est annulé après l'altercation avec un maire de l'île
LES ANGES - Si aucune charge n’a été retenue pour le moment à l’encontre de Nehuda et Ricardo, les deux “Anges”, et la nourrice de leur enfant mis en examen après l’agression du maire de Saint-André à La Réunion, l’ampleur de la polémique a contraint la production des “Anges de la téléréalité” à annuler entièrement le tournage sur l’île.“Nous sommes tous consternés par l’injustice de cette polémique qui nous a profondément blessés”, indique un communiqué de la production transmis à la presse ce lundi 11 janvier après-midi. Le directeur de production de “La Grosse Équipe”, Antoine Henriquet, y annonce que le programme de NRJ12 ne sera “finalement pas tourné sur l’île de La Réunion”.Soucieux de préserver “la santé et la sécurité des candidats, de l’équipe et toutes les personnes impliquées dans le tournage de l’émission”, Antoine Henriquet a préféré renoncer à ce dernier sur l’île de la Réunion constatant que “les conditions de sérénité n’y étaient plus réunies”.Une enquête ouverteDimanche après-midi, le procureur de la République Éric Truffery avait ouvert une enquête pour violences volontaires en réunion à la suite d’une altercation dans la salle à manger d’un hôtel de Saint-Denis. La dispute avait éclaté entre les candidats et plusieurs familles, dont celle de Joe Bédier, maire de la ville, après que la nourrice était passée de table en table en intimant aux clients l’ordre de ne pas faire de photos et de vidéos.Bien que les deux candidats aient été écartés durablement du tournage des “Vacances des Anges de la téléréalité”, ces derniers ont été remis en liberté peu après leur mise en examen. Et cela agace le maire de Saint-Denis. “Donc on vient ici, on nous fracasse et on repart”, a-t-il déploré auprès de journalistes à l’annonce leur libération.Le ministre des outre-mer, Sébastien Lecornu, a apporté son soutien à Joe Bédier, comme quasiment toute la classe politique locale.Les actes de violence commis en marge du tournage @LesAngesTV sont inadmissibles ! Je condamne fermement l’agression du maire de Saint-André, Joe Bédier, et de sa famille. Une enquête a été ouverte pour violences volontaires en réunion par le procureur de Saint-Denis.— Sébastien Lecornu (@SebLecornu) January 10, 2021Des vidéos publiées en ligne par des témoins et montrant la violence de la bagarre ont soulevé une grande indignation au sein de la population. Sur les réseaux sociaux des milliers de messages, souvent ouvertement xénophobes, condamnaient les “Anges” et leur demandaient de “retourner chez eux”.C’est donc ça qu’ils font les anges ?Pitoyable, moi qui voulait y participer bah putain ma phobie. Ricardo il a chauffé tout un peuple il sait pas dans quoi il s’est embarqué ce trou du cul !!! Je suis choqué. Ils ont agressés bêtement le maire d’une commune à la Réunion. pic.twitter.com/eiFxSFZGd2— ???????????????????????? ???? (@XavieerDrls_27) January 10, 2021L’adresse du lieu de tournage, une villa de grand standing sur la côte ouest, a été diffusée sur internet et des appels au rassemblement “contre les démons” ont été lancés.Mise en ligne dimanche soir, une pétition réclamant l’annulation du tournage de l’émission avait déjà recueilli plus de 13.800 signatures lundi après-midi. À voir également sur Le HuffPost: Pascal de “Koh-Lanta” se lâche sur la production et les internautes LIRE AUSSI :
Kim Kardashian et Kanye West séparés? La rumeur enfle
La gagnante de "Koh Lanta: les 4 terres" revient sur un aspect très moqué de son anatomie
https://www.huffingtonpost.fr/entry/le-tournage-des-anges-a-la-reunion-est-annule_fr_5ffc66ddc5b6c77d85e8a8c0Télévision
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Greta Thunberg offre son résumé du One Planet Summit, Macron répond (CA)
ENVIRONNEMENT - Dirigeants et acteurs économiques se sont engagés lundi 11 janvier à faire plus pour la biodiversité, dont dépend la survie de l’humanité, lors d’une conférence organisée à Paris, le One Planet Summit, sans toutefois détailler leurs promesses ni mettre beaucoup plus d’argent sur la table.Alors que la rencontre n’était pas encore terminée, l’activiste qui défend le climat et l’environnement, Greta Thunberg, a résumé la conférence en partageant un long tweet mais au ton très critique. Le président de la République a choisi la fin de la séance pour répondre à l’adolescente suivie sur Twitter par plus de 4 millions de personnes, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article. La conférence a été consacrée à quatre thèmes: protection des écosystèmes terrestres et marins; promotion de l’agro-écologie; mobilisation des financements; lien entre déforestation, préservation des espèces et santé humaine.“On va tous mourir”Au niveau international, aucun des objectifs fixés pour la décennie écoulée en termes de protection de la biodiversité n’a été atteint, a rappelé Emmanuel Macron. Ce constat ne la cependant pas empêché de souligner les aspects positifs de ce type de rencontre. “Les choses ne changent pas du jour au lendemain. Elles supposent des actions concrètes sur le terrain a t-il affirmé pour répondre “aux gens qui adorent la déploration et qui vont continuer à dire “on va tous mourir”″. Avec ces mots, le Président de la République a semblé s’adresser à Greta Thunberg, sans toutefois la nommer. Reprenant également l’expression “blabla” que l’activiste a utilisée à dix reprises dans son message partagé sur Twitter pour évoquer le One Planet Summit, Emmanuel Macron a opposé les mots de l’adolescente à une vision qui se concentre sur l’avenir, ancrant le sommet qui s’est tenu ce lundi 11 janvier comme un acte essentiel à l’avancement. Protéger les océansCe sommet a permis de faire un point sur “la coalition pour la haute ambition”, portée par le Costa Rica, la France et le Royaume-Uni. Elle compte à présent plus de 50 États engagés pour protéger “au moins 30% des terres et des océans”.“Pour atteindre une protection de 30% de l’océan, des aires marines protégées (AMP) devront être établies en haute mer”, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui, a réagi la coalition d’ONG High seas alliance.Une nouvelle coalition, beaucoup plus modeste (six pays), a été lancée pour la Méditerranée, très polluée et victime de surpêche. La France espère la renforcer d’ici le congrès de l’UICN prévu en septembre à Marseille.L’épidémie de Covid-19 a mis en lumière les liens entre la destruction de la nature et l’émergence de nouvelles maladies. Pour prévenir de nouvelles épidémies, une initiative nommée Prezode, qui rassemble des instituts de recherche en France (Inrae, Cirad, IRD...), en Asie, en Afrique, en Amérique latine ou encore des universités, a été mise sur pied, a expliqué à l’AFP Philippe Mauguin, président de l’Inrae.“Le changement climatique doit être vu à présent comme une partie d’un programme global pour protéger la nature”, a relevé pour sa part le Premier ministre britannique Boris Johnson, dont le pays accueillera la COP26 pour le climat en novembre.Réveil tardif Pour l’ONG Avaaz, ce sommet montre que “les dirigeants mondiaux commencent à se réveiller et à réaliser que la perte de biodiversité est une menace pour notre sécurité alimentaire, nous rend vulnérable aux pandémies et minera tout progrès pour stabiliser le climat”. Pour autant, protéger 30% de la Terre “ne va pas assez loin”.Clément Sénéchal de Greenpeace France pointait du doigt sur Twitter des décisions récentes prises par la France, dont la “réintroduction des néonicotinoïdes”. La Ligue de protection des oiseaux (LPO) demande d’“interdire la chasse d’espèces menacées”Avec ce sommet, tenu en grande partie par visioconférence, la France a souhaité relancer la diplomatie verte, après une année blanche en termes de sommets internationaux. Il a été précédé par une rencontre consacrée à la “grande muraille verte” qui lutte contre la désertification dans onze pays au sud du Sahara.2021 devrait en effet voir se succéder le congrès mondial de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN, en septembre), la 15e réunion de la Convention de l’ONU sur la diversité biologique (COP15), la COP26 pour le climat (en novembre) et la COP contre la désertification.Découvrez L’enver(t) du décor, le podcast environnement du HuffPost, pour aller contre les idées reçues et apprendre à agir (vraiment) pour l'environnement, dans une discussion décontractée à bâtons rompus.Abonnez vous sur Apple Podcasts, Spotify ou bien toute autre application de podcast. À également sur Le HuffPost: Au One Planet Summit, Macron reconnaît l’échec de la communauté internationaleLIRE AUSSI
2020 est l'année la plus chaude à égalité, mais 2016 a triché
Ce cours d'eau en Serbie est si pollué que ses déchets risquent de bloquer un barrage
https://www.huffingtonpost.fr/entry/greta-thunberg-offre-son-resume-du-one-planet-summit-macron-repond_fr_5ffca333c5b6c77d85e90e0cEmmanuel Macron
Maeva Martinez maman : le prénom angélique de son fils dévoilé et grande nouvelle
L'ancienne candidate de "Secret Story" a dévoilé deux grandes nouvelles sur Instagram, le 11 janvier. Maeva Martinez...
https://www.purepeople.com/article/maeva-martinez-maman-le-prenom-angelique-de-son-fils-devoile-et-grande-nouvelle_a419399/1people
Cécilia (Mamans & Célèbres) célibataire : Sa relation à peine officialisée, elle annonce sa rupture
La candidate de "Mamans & Célèbres" est de nouveau un coeur à prendre. Le 11 janvier, Cécilia a annoncé en story...
https://www.purepeople.com/article/cecilia-mamans-celebres-celibataire-sa-relation-a-peine-officialisee-elle-annonce-sa-rupture_a419411/1people
Les Marseillais à Dubaï : Manon Marsault sur le point de rejoindre le tournage ? Julien Tanti lâche une énorme info
Manon Marsault serait-elle sur le point de rejoindre le tournage des Marseillais à Dubaï ? Julien Tanti lâche une énorme info qui veut tout dire !
Lire l'article complet par ici
https://www.melty.fr/les-marseillais-a-dubai-manon-marsault-sur-le-point-de-rejoindre-le-tournage-julien-tanti-lache-une-enorme-info-a745557.htmlTélévision,Tournage
Les Anges, la violente altercation : les candidats remis en liberté, mais l'enquête se poursuit
Les candidats de la prochaine saison des "Vacances des Anges" impliqués dans la violente altercation, à la Réunion,...
https://www.purepeople.com/article/les-anges-la-violente-altercation-les-candidats-remis-en-liberte-mais-l-enquete-se-poursuit_a419405/1people
Laura Lempika et Nikola Lozina (LMvsMonde5) parents de Zlatan, elle se confie pour la première fois sur son accouchement
Nikola Lozina et Laura Lempika des Marseillais vs le reste du Monde 5 sont devenus très récemment les parents d'un petit Zlatan ! La candidate donne de nombreux détails sur son accouchement...
Lire l'article complet par ici
https://www.melty.fr/laura-lempika-et-nikola-lozina-lmvsmonde5-parents-de-zlatan-elle-se-confie-pour-la-premiere-fois-sur-son-accouchement-a745549.htmlTélévision
Phébé – Comment réconcilier l'Amérique avec elle-même
Le penseur conservateur David French propose davantage de pluralisme, a tous les echelons politiques, afin d'attenuer la division qui mine les Etats-Unis.
https://www.lepoint.fr/phebe/phebe-comment-reconcilier-l-amerique-avec-elle-meme-11-01-2021-2409027_3590.php#xtor=RSS-221
Au One Planet Summit, Macron reconnaît l'échec de la communauté internationale
ENVIRONNEMENT - “Pas un seul des 20 objectifs qui allaient de l’arrêt de l’extinction des espèces à la réduction de la pollution et à la préservation des forêts n’est atteint”, a reconnu Emmanuel Macron à l’ouverture du “One Planet Summit” 2020, ce lundi 11 janvier. Consacré à la biodiversité, l’objectif du sommet, organisé par la France, est de relancer une diplomatie verte mise à l’arrêt par le Covid-19.Et comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article, le président de la République a reconnu le retard de la communauté internationale en termes de protection de la biodiversité et de lutte contre le réchauffement climatique. “Sur la biodiversité, la communauté internationale avait défini en 2010 les engagements d’Aichi. Dix ans plus tard, le constat est sans appel. Pas un seul des 20 objectifs qui allaient de l’arrêt de l’extinction des espèces à la réduction de la pollution et à la préservation des forêts n’est atteint, a reconnu Emmanuel Macron.“Il nous faut regarder en face cet échec, pas du tout pour crier au drame ou pour le contempler avec une fascination quelconque pour le désastre, juste pour accélérer notre action avec des choses très concrètes et un suivi réaliste de celle-ci. Et commencer l’année 2021 avec ce One Planet Summit est très important parce que c’est l’année de la réconciliation de tous nos défis.”Préservation des écosystèmes Une trentaine de personnalités sont intervenues, principalement en “visio” en raison de la crise sanitaire. Parmi elles, le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres, le président de la Banque mondiale David Malpass, l’héritier du trône britannique le prince Charles, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, la chancelière allemande Angela Merkel, les premiers ministres britannique Boris Johnson et canadien Justin Trudeau, le président du Costa Rica Carlos Alvarado, la présidente de la BCE Christine Lagarde ou le patron de l’OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus.Chacun a présenté des initiatives ou pris des engagements concrets autour des quatre thèmes de la conférence: protection des écosystèmes terrestres et marins; promotion de l’agroécologie; mobilisation des financements; lien entre déforestation, préservation des espèces et santé humaine.Paris espère ainsi “faire converger les enjeux climatiques et la préservation des écosystèmes,” explique une source à l’Elysée. Car face aux épidémies comme au réchauffement (l’année 2020 vient de se classer comme la plus chaude ex-aequo jamais enregistrée) “la préservation de la biodiversité est quelque part notre assurance vie collective”.À voir également sur Le HuffPost: À Rio de Janeiro, une déferlante de déchets plastiques s’est échouée sur la plage
https://www.huffingtonpost.fr/entry/au-one-planet-summit-macron-reconnait-lechec-de-la-communaute-internationale_fr_5ffc5fe9c5b66f3f795fc5d6Emmanuel Macron
Kamala Harris : En jean et baskets en couverture de Vogue ? Les internautes consternés !
La vice-présidente élue des États-Unis aime les baskets ! Elle en porte en couverture du magazine Vogue. Ce choix a...
https://www.purepeople.com/article/kamala-harris-en-jean-et-baskets-en-couverture-de-vogue-les-internautes-consternes_a419408/1people
Aux Pays-Bas, Geert Wilders veut « désislamiser » la société
L'extreme droite de Geert Wilders, leader de l'opposition, a publie son programme avant les legislatives de mars : sortie de l'UE et bannissement de l'islam.
https://www.lepoint.fr/europe/aux-pays-bas-geert-wilders-veut-desislamiser-la-societe-11-01-2021-2409064_2626.php#xtor=RSS-221Société
Vogue accusé d'avoir éclairci la peau de Kamala Harris en couverture
MODE - La couverture de Kamala Harris en Une du magazine passe mal. Ce dimanche 10 janvier, le magazine de mode est accusé d’avoir “blanchi” la peau de la vice-présidente élue des États-Unis sur les deux images où elle apparaît pour le numéro de février. Les internautes dénoncent un éclairage trop lumineux des photographies qui pâlirait le teint de Kamala Harris. La première femme élue vice-présidente des Etats-Unis est métisse, avec un père d’origine jamaïcaine et une mère d’origine indienne.Vice President-elect @KamalaHarris is our February cover star! Making history was the first step. Now Harris has an even more monumental task: to help heal a fractured America—and lead it out of crisis. Read the full profile: https://t.co/W5BQPTH7AUpic.twitter.com/OCFvVqTlOk— Vogue Magazine (@voguemagazine) January 10, 2021Sur la première couverture, Kamala Harris porte un costume noir décontracté avec les emblématiques baskets Converse et se tient, les mains jointes sur fond de tissus rose et vert. Le tout accompagné de la phrase: “By the people, for the people: The United States of fashion” (“Par le peuple, pour le peuple: les États-Unis de la mode”). La deuxième, beaucoup plus sobre, montre la vice-présidente dans un costume bleu de la marque américaine Michael Kors. Sur les réseaux sociaux, les critiques pleuvent depuis dimanche: “Attendez, la couverture de Kamala Harris est réelle? s’est interrogée une internaute. Je pensais qu’elle était fausse, tellement elle est mauvaise”. Une autre internaute a, elle, fustigé une “couverture décolorée”. Wait that Kamala Vogue cover is real?! I thought it was fake—that’s how bad it is. Did they just ask her to send them photos her husband took or— ??Imani Gandy ?? (@AngryBlackLady) January 10, 2021Kamala Harris is about as light skinned as women of color come and Vogue still fvcked up her lighting. WTF is this washed out mess of a cover? pic.twitter.com/5O2q0axA0G— E. Vaughan (@HypeVaughan) January 10, 2021D’autres utilisateurs ont pointé la responsabilité de la rédactrice en chef de Vogue, Anna Wintour, accusée de sous-représenter la communauté noire et les minorités aux États-Unis. “Anna Wintour doit partir et immédiatement présenter ses excuses” a notamment écrit une internaute.Auprès du New York Post, Vogue a nié avoir éclairci la peau de Kamala Harris après le shooting photo. #AnnaWintour should retract the cover and make an apology NOW. https://t.co/Z3bAUWHgVK— SuthunGirl ???? (@Suthungirl4041) January 10, 2021En juin dernier déjà, lors des manifestations du mouvement Black Live Matters, qui milite depuis 2013 contre le racisme systémique envers les Noirs, le magazine Vogue et Anna Wintour avaient été accusés de racisme. L’influente rédactrice en chef du magazine avait alors reconnu des “erreurs” dans une lettre adressée à ses collaborateurs. Elle avait également admis qu’elle “n’en a pas fait assez pour faire briller les employés et les stylistes noirs”.Ce n’est ainsi pas la première fois que Vogue est au cœur d’une polémique après avoir fait une Une aux couleurs jugées “trop fades”. En juillet dernier, les internautes avaient accusé le magazine d’avoir utilisé un éclairage trop clair et appelé à embaucher des photographes noirs lorsque l’athlète Simon Biles, quadruple championne olympique, était apparue en couverture du magazine. I adore Simone Biles and am thrilled she’s on this cover... but I hate these photos. I hate the toning, I hate how predictable they are, I hate the social crop here (wtf?) and I super hate that Vogue couldn’t be bothered to hire a Black photographer. https://t.co/az0gLugdzS— Morrigan McCarthy (@MorriganMcC) July 9, 2020À voir également sur le HuffPost: Cette danseuse vous explique ce qu’est l’appropriation culturelle en moins de 4 minutes
https://www.huffingtonpost.fr/entry/vogue-accuse-davoir-eclairci-la-peau-de-kamala-harris-en-couverture_fr_5ffc00b9c5b691806c4a694fEtats-Unis
Sébastien Le Fol – Et si la gauche revenait…
EDITO. La crise a remis au gout du jour le discours etatiste, y compris dans la bouche d'Emmanuel Macron. La gauche saura-t-elle en profiter en 2022 ?
https://www.lepoint.fr/editos-du-point/sebastien-le-fol/sebastien-le-fol-et-si-la-gauche-revenait-11-01-2021-2409090_1913.php#xtor=RSS-221
Marion Bartoli : Régime drastique pour perdre les kilos de sa grossesse
Après l'accouchement, Marion Bartoli souhaite retrouver la forme ! Pour cela, elle suit un régime rigoureux et très...
https://www.purepeople.com/article/marion-bartoli-regime-drastique-pour-perdre-les-kilos-de-sa-grossesse_a419396/1people
Après son soutien à Trump devant le Capitole, Ariel Pink lâché par son label
C’est dans un tweet publié le 9 janvier que Mexican Summer a annoncé la rupture : "A cause des récents événements, Mexican Summer et toute son équipe ont décidé d’arrêter leur collaboration professionnelle avec Ariel Rosenberg alias Ariel Pink...
https://www.lesinrocks.com/2021/01/11/musique/musique/apres-son-soutien-a-trump-devant-le-capitole-ariel-pink-lache-par-son-label/
Capitole envahi : Rudy Giuliani révoqué par ses pairs ?
L'Association du barreau de l'Etat de New York a lance une enquete pour une possible revocation de l'adhesion de l'avocat personnel de Donald Trump, explique CNBC.
https://www.lepoint.fr/monde/capitole-envahi-rudy-giuliani-revoque-par-ses-pairs-11-01-2021-2409118_24.php#xtor=RSS-221
Meghan Markle et Harry de retour à Londres au printemps ? Trois événements incontournables
Les 100 ans du prince Philip, la parade Trooping The Colour pour les 95 ans d'Elizabeth II, l'inauguration de la...
https://www.purepeople.com/article/meghan-markle-et-harry-de-retour-a-londres-au-printemps-trois-evenements-incontournables_a419369/1people
L'éviction de Trump par Twitter gêne le gouvernement qui prône une régulation des réseaux sociaux
POLITIQUE - Effet boomerang. Après la décision de Twitter de supprimer de façon permanente le compte Twitter d’un président en exercice, Donald Trump, plusieurs élus, dont des membres de la majorité, sont montés au créneau dans le week-end pour dénoncer une “censure” décidée sans le moindre contrôle démocratique. Même chose ce lundi 11 janvier du côté de l’exécutif. Gabriel Attal, prote-parole du gouvernement, a indiqué sur Europe 1 qu’il se sentait “mal à l’aise” face à l’initiative du réseau social. “Bannir une personne, c’est-à-dire la réduire au silence sur les réseaux sociaux qui sont devenus une forme d’espace public, ça me semble compliqué en l’absence de critères spécifiquement établis”, a estimé le ministre, pointant la différence qu’il y a entre “modérer un contenu et empêcher une personne de s’exprimer sur les réseaux sociaux”.Sur France inter, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, est allé plus loin. “Ce qui me choque, c’est que ce soit Twitter qui ferme parce que la régulation des géants du numérique ne peut pas se faire par l’oligarchie numérique elle-même”, s’est indigné le locataire de Bercy, estimant que la modération des réseaux sociaux devait être assurée “par le peuple souverain, par les États et par la justice”. Une vision des choses conforme à ce qu’avait déclaré la veille le secrétaire d’État au numérique Cédric O, lequel plaide pour “une supervision démocratique” des géants du web.Or, sur Twitter justement, plusieurs membres de l’opposition pointent une forme de paradoxe, en renvoyant le gouvernement à la loi Avia contre la haine en ligne, censurée en très grande partie par le Conseil constitutionnel au mois de juin. “Les macronistes qui font semblant de s’inquiéter du pouvoir de censure arbitraire des Gafa... alors que c’est exactement ce qu’ils voulaient imposer en France avec la loi Avia”, tacle le député insoumis Bastien Lachaud. Dimanche sur LCI, le leader de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon a également affirmé que le texte porté par Laetitia Avia avait créé les conditions de l’instauration d’une “censure privée” en France, annonciatrice de ce qu’a décidé Twitter à l’égard du président américain. Délégation de la modérationVraiment? Retour sur la loi Avia contre la “haine en ligne”. L’objectif de ce texte était de “mettre fin à l’impunité” qui s’observe sur les réseaux sociaux, en obligeant les principaux acteurs du numérique à faire le ménage eux-mêmes sur leurs plateformes. Comment? En supprimant sous 24 heures tout contenu “comportant manifestement une incitation à la haine ou une injure discriminatoire à raison de la race, de la religion, du sexe, de l’orientation sexuelle ou du handicap”. En cas de manquement à ces obligations, Twitter, Facebook et consorts s’exposaient à de très fortes amendes, pouvant aller jusqu’à 1,25 million d’euros. Pour les détracteurs du texte, ce délai très court n’allait produire qu’un seul effet: l’atteinte à la liberté d’expression. Car, sous la masse des signalements venant d’internautes, les plateformes n’auraient pas eu le temps de traiter convenablement chaque requête, préférant donc à terme la censure expéditive pour éviter les amendes. Le Conseil constitutionnel leur a donné raison, considérant que “le législateur a porté à la liberté d’expression et de communication une atteinte qui n’est pas adaptée, nécessaire et proportionnée au but poursuivi”. Et d’insister: “L’atteinte à la liberté d’expression et de communication ne résultait donc pas de ce que des propos illicites devaient être retirés par les opérateurs de plateforme en ligne, mais de ce que le dispositif retenu par le législateur ne pouvait que conduire à entraîner également le retrait de propos licites au seul motif qu’ils ont fait l’objet d’un signalement”. Responsabilisation des plateformesNonobstant la censure des Sages, la suppression du compte Twitter du président américain relève-t-elle de la même logique? Difficile de l’affirmer. Après de très nombreuses précautions prises à l’endroit de Donald Trump, le réseau social a justifié sa décision par le “risque de nouvelles incitations à la violence” qui pouvait émaner des tweets du président sortant. Parmi les tweets ayant incité la plateforme à sévir, celui où Donald Trump affirmait ne pas vouloir assister à la cérémonie d’investiture de Joe Biden. Motif invoqué: son absence pourrait être comprise comme l’indication que l’événement pourrait constituer une “cible sûre”. Des explications tirées par les cheveux et assez éloignées des contenus “manifestement illicites” qui étaient visés dans la loi Avia. Jointe par Le HuffPost, Laetitia Avia explique que la décision de Twitter n’a que peu à voir avec ce qu’elle défendait. “L’article 1 de notre loi prévoyait de supprimer des contenus, et non des comptes”, souligne la députée de Paris, avant d’ajouter: “il ne s’agissait pas de déléguer un pouvoir aux plateformes, puisqu’elles l’ont déjà. Il était question de leur donner une injonction à agir sur la base d’un cadre juridique”. Pour autant, on retrouve le même esprit, à savoir la responsabilisation des plateformes face à des comportements qui, en plus de contrevenir à leurs conditions générales d’utilisation, peuvent avoir de lourdes conséquences hors des réseaux sociaux. Conséquences qui sont systématiquement reprochées à ces plateformes quand un acte grave se produit, comme lors de l’attentat commis contre Samuel Paty. “Je veux que les réseaux sociaux prennent leur responsabilité”, avait déclaré Marlène Schiappa après l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine. La ministre déléguée à la Citoyenneté avait d’ailleurs convoqué les plateformes place Beauvau afin de faire le point sur “la complaisance vis-à-vis des prêcheurs de haine et le cyberislamisme”. Or, d’une forme de passivité à l’égard de l’ensemble de la haine en ligne à la suppression d’un compte d’un président en exercice affichant des millions d’abonnés au compteur, un énorme cap a été franchi. D’autant que, comme le souligne Éric Dupond-Moretti en marge de l’examen de la loi renforçant les principes républicains (et comportant un volet sur la haine ligne), s’observe une sorte de deux poids de mesures. À titre d’exemple, le compte de l’ancien premier ministre de la Malaisie, qui avait affirmé sur Twitter que les musulmans “ont le droit de tuer des millions de Français”, est toujours actif, contrairement à celui de Donald Trump. Ce qui fait dire au commissaire européen Thierry Breton dans une tribune au Figaro que la décision unilatérale de Twitter doit servir de précédent à l’Union européenne pour se doter d’un “contrôle démocratique” afin d’éviter à l’avenir “qu’un PDG puisse débrancher le haut-parleur du président des États-Unis sans autre forme de contrôle et de contre-pouvoir”. “Nous devons fixer les règles du jeu et organiser l’espace informationnel avec des droits, obligations et garanties clairement définis”, insiste-t-il. C’est d’ailleurs ce pour quoi la France plaide à Bruxelles. Après l’assassinat de Samuel Paty, Cédric O plaidait pour que la future législation européenne sur les services numériques (Digital services act) jette “les bases d’une véritable supervision des réseaux sociaux en matière de modération”. Un énorme chantier juridique dont l’échec de la loi Avia avait pointé toute la difficulté. À voir également sur Le HuffPost: Quand Laetitia Avia pensait avoir écrit une loi “solide et juridiquement viable”LIRE AUSSI
Parler, le réseau préféré des pro-Trump bientôt invisible?
En changeant ses règles sur le partage de données, WhatsApp a fait le bonheur d'un de ses concurrents
https://www.huffingtonpost.fr/entry/le-malaise-de-lexecutif-face-a-leviction-de-trump-est-il-contradictoire-avec-la-loi-avia_fr_5ffc1829c5b6c77d85e82be6Société,Twitter,Réseaux sociaux
À Riom dans le Puy-de-Dôme, un lycée fermé après des menaces de mort
ÉDUCATION NATIONALE - Le lycée Pierre Joël Bonté de Riom (Puy-de-Dôme) a été fermé ce lundi en raison “d’insultes et menaces de mort” visant des enseignants et un lycéen est en garde à vue, a-t-on appris ce lundi 11 janvier de sources concordantes.Une enquête confiée au commissariat de Clermont-Ferrand a été ouverte pour “menaces de mort sous conditions”, a indiqué à l’AFP le procureur de la République Éric Maillaud. Un lycéen de l’établissement âgé de 15 ans est en garde à vue lundi matin, a-t-il précisé.“Nous avons décidé de fermer le lycée ce lundi à la suite d’insultes et de menaces de mort, pour protéger les élèves et le personnel, mais nous accueillons les lycéens qui n’auraient pas reçu l’information et le personnel qui souhaite venir”, a précisé de son côté une porte-parole du rectorat, confirmant une information du quotidien La Montagne. Un autre élève avait été placé en garde à vue ce week-end mais celle-ci a été levée, selon le procureur.Image en lien avec le djihadismeLes premiers messages envoyés la semaine dernière à des enseignants et conseillers d’éducation étaient ”à caractère pornographique” puis se sont transformés ce week-end en “menaces de violences, de viol et de mort”, a-t-il précisé.Un dernier message comportait en pièce jointe une image en lien avec le djihadisme “comme on en trouve partout”, a-t-il ajouté, écartant pour l’instant le caractère terroriste de ces menaces.Les messages ont tous été envoyés par courriel via l’ENT, outil de communication de l’Éducation nationale permettant aux établissements de communiquer avec les familles. “Des investigations informatiques se poursuivent”, a indiqué Éric Maillaud. Une cellule psychologique a été mise en place dans l’établissement qui compte environ 1.000 élèves.À voir également sur Le HuffPost: “Nous leur devons le respect”, dans le Puy-de-Dôme, Darmanin sur les lieux de l’assassinat des trois gendarmesLIRE AUSSI:
Un pompier blessé après des violences en marge d'un mouvement lycéen à Compiègne
"Avenir Lycéen: Blanquer rêve que les jeunes soient des pantins"
https://www.huffingtonpost.fr/entry/un-lycee-du-puy-de-dome-ferme-apres-des-menaces-de-mort-visant-des-enseignants_fr_5ffc34a8c5b66f3f795f7be7violences
Mad Mag (NRJ12) : Une ex-chroniqueuse est enceinte, photo ensoleillée
Une ancienne chroniqueuse de NRJ12 a annoncé une bonne nouvelle le 10 janvier 2021. La principale intéressée a...
https://www.purepeople.com/article/mad-mag-nrj12-une-ex-chroniqueuse-est-enceinte-photo-ensoleillee_a419330/1people
Pourquoi il faut rouvrir au plus vite le compte Twitter de Donald Trump
Le récent bannissement du président défait américain Donald Trump de Twitter ainsi que de Facebook, suite à l’invasion du Capitole le 6 janvier dernier par des centaines de ses sympathisants, pose question dans la grande démocratie américaine. Au-delà du succès trumpien, qui marquera la fin de son mandat hollywoodien, de cette action qu’il a appelé de ses vœux, on peut s’interroger sur les conséquences à court et moyen terme d’une telle décision. Les 88 millions d’abonnés du compte Twitter @realDonaldTrump sont désormais perdus sans la parole de leur gourou politique et médiatique. Mais sûrement pas pour longtemps. En tout cas, au vu des réactions depuis 24 heures, force est de constater que la “tweetomatie” fera date dans l’histoire contemporaine de la politique et de la gouvernance mondiale.En effet, connu pour ses excès, ses mensonges, ses attaques virulentes, sa haine, Trump n’en est pas à son galop d’essai sur les réseaux sociaux et cela ne devrait pas l’arrêter. C’est aussi un pionnier. Car c’est probablement le premier leader mondial qui a autant usé et abusé d’un réseau social, au point de devenir l’un des plus grands influenceurs mondiaux. Twitter n’a eu que peu à y redire pendant quatre ans, mais sentant désormais le vent du boulet, ses dirigeants se permettent dorénavant de clouer le bec à Trump, maintenant qu’il remet en cause clairement les principes de la démocratie américaine, en contestant depuis deux mois, chaque jour que Dieu fait, les résultats du scrutin du 3 novembre. N’en attendait-on pour autant pas moins de ce dernier? Il faut reconnaître que Twitter a pu jouir du spectacle et s’offrir une promotion mondiale comme jamais. Depuis 4 ans, Twitter a pu jouir du spectacle et s’offrir une promotion mondiale comme jamais. Mais maintenant, n’est-ce-pas une violation flagrante de la liberté d’expression que de fermer son compte, dans un pays où la règle est de pouvoir quasiment tout dire sans complexes et sans limites? N’y aurait-il pas des intérêts politiques derrière qui arrangeraient le réseau social, censé être totalement indépendant? Essayer de faire taire Trump l’a toujours servi. Car aussi chaotique soit la fin spectaculaire de son mandat, Trump marquera l’histoire par la méthode. Jamais une diplomatie internationale n’aura été insufflée, dictée via un réseau social, devenu indispensable à la Maison Blanche ces dernières années, dans la conduite de la politique américaine et donc du monde. Assis confortablement dans son canapé, au milieu des dorures et des fioritures, il a suffi que Donald Trump bombarde ses tweets pour orienter les relations internationales, faisant fi via l’écran de son téléphone du droit international comme du multilatéralisme, et imposer au fond dans une tweetologie effrénée sa vision d’une géopolitique transactionnelle, qui a signé le grand retour du bilatéralisme.Le mouvement pourrait-il être réversible avec l’arrivée de Joe Biden à la Maison Blanche, dont on peut douter de l’habileté à manipuler de tels instruments? Pas sûr. À l’heure des drones, l’accélération de la gestion d’une politique virtuelle, avec la pandémie de Covid-19, s’est faite d’autant plus facilement que tous les grands sommets, les visites officielles et d’État sont tombés à l’eau en 2020. Et nous en avons encore au moins pour un an. Occuper, comme l’a fait Trump, l’espace virtuel et le temps par cette politique cybernétique pourtant erratique, a su quand même séduire 70 millions d’Américains qui ont tout de même voté pour lui le 3 novembre dernier. Quoi qu’on en dise, Trump a bousculé la politique comme jamais et d’autres leaders dans le monde, au nom de leur intérêts personnels l’emportant sur l’intérêt général, pourraient suivre le mouvement. Et pas que les dirigeants populistes du moment, de Jaïr Bolsonaro, à Narendra Modi, en passant par Viktor Orban. Jamais une diplomatie internationale n’aura été dictée via un réseau social, devenu indispensable à la Maison Blanche ces dernières années dans la conduite de la politique américaine et donc du monde. Au-delà des excès de Donald Trump une fois encore, l’écarter des réseaux de cette manière, car l’on parle d’un bannissement “permanent”, ne pourrait que renforcer le camp de ses aficionados, qui seront pour les quatre prochaines années de plus en plus remontés, entretenus confortablement par leur leader maximo dans la certitude d’un grand complot mondial ourdi contre lui. Trump saura au combien exploiter cette victimisation pour revenir au premier plan par d’autres moyens modernes ou post-modernes. Vendredi, il accusait déjà le réseau de vouloir “museler la liberté d’expression”, ce qui objectivement est une réalité. Pour autant, afin de poursuivre le combat à mort qu’il est prêt à engager, il pourrait rapidement à tout le moins reprendre les grands meetings glorifiants dont il raffole, et dont il ne s’est jamais privé en pleine campagne présidentielle et en pleine pandémie, malgré une situation sanitaire catastrophique. Nous assistons, en quelques jours aux États-Unis, non seulement à un risque de dégradation de l’unité déjà fragile du pays, ainsi qu’à une censure, sans procès, sur la base d’un délit d’opinion, qui devrait inquiéter le monde entier. Ce n’est pas que du show. Les personnages de bande dessinée, de cartoons et autre comics, n’étaient pas inspirés cette semaine par un nouveau spectacle de Broadway au Capitole. Ces gens, avec la mise à mort médiatique qui s’engage contre Trump, pourraient bien devenir très dangereux. Et comme à chaque mort symbolique, Trump a toujours ressuscité, on peut s’interroger sur l’urgence en démocratie de faire rouvrir au plus vite le compte Twitter de ce dernier, afin qu’il puisse au moins cracher sa violence, plutôt que de la contenir pendant les quatre ans à venir, et risquer de voir le pays basculer dans les prémices d’une guerre civile.Il est déjà clair que le trumpisme survivra, notamment via la tweetologie. Mais l’une des missions premières de Joe Biden sera bien d’essayer de réenraciner la pratique politique dans la réalité au plus vite, et dans le concret. C’est peut-être là, malgré les critiques le visant sur son âge depuis des mois, l’un des principaux avantages de la “maturité” du nouveau président élu. À voir également sur Le HuffPost: Arnold Schwarzenegger réagit aux événements du Capitole et se paie Trump
https://www.huffingtonpost.fr/entry/pourquoi-il-faut-rouvrir-au-plus-vite-le-compte-twitter-de-donald-trump_fr_5ffc635fc5b66f3f795fc9faEtats-Unis,Twitter,Donald Trump
Nancy Pelosi prête à lancer une deuxième procédure de destitution contre Donald Trump
ÉTATS-UNIS - Trump pourra-t-il rester à la Maison Blanche jusqu’au 20 janvier? Les démocrates américains ont averti ce dimanche 10 janvier qu’ils sont prêts à lancer dans les prochains jours un nouvel “impeachment”, une procédure de destitution historique contre Donald Trump, si le vice-président Mike Pence ne se résout pas à le démettre de ses fonctions, à la suite des violences du Capitole.Quatre jours après les événements du Capitole, qui ont fait 5 morts et ébranlé l’Amérique, la présidente de la Chambre des représentants Nancy Pelosi a annoncé une série d’actions pour faire partir le président républicain, qualifié de “menace imminente” contre la démocratie et la Constitution américaines.Les démocrates vont d’abord en appeler à Mike Pence. La Chambre sera amenée ce lundi 11 janvier, et au besoin mardi, à se prononcer sur une résolution lui demandant de démettre Donald Trump de ses fonctions. Lors d’une procédure rapide puis, si c’est nécessaire lors d’un vote formel.La puissante cheffe des démocrates, 80 ans, affirme que la procédure de destitution sera introduite dans la foulée. L’article de mise en accusation est déjà rédigé. 25e amendement Les démocrates demandent à Mike Pence d’activer en urgence le 25e amendement de la Constitution qui consiste pour le vice-président et les principaux ministres à constater l’inaptitude du président à exercer sa fonction.Fidèle de Donald Trump mais n’ayant plus de contacts avec lui depuis les événements de mercredi dernier, Mike Pence n’a montré jusqu’ici aucune volonté de déclencher ce dispositif.Nancy Pelosi précise que le vice-président disposera de 24 heures pour répondre à l’injonction de la Chambre qui reviendrait à lui faire endosser les pouvoirs exécutifs pour les dix derniers jours du mandat Trump. Le président élu Joe Biden doit prêter serment le 20 janvier sur les marches du Capitole.Les démocrates estiment que le milliardaire républicain est désormais un président “déséquilibré” et dangereux et qu’il doit donc être écarté.The person who is running the Executive Branch of our government is deranged, unhinged, and dangerous. @60Minutespic.twitter.com/HoiTWc1zQx— Nancy Pelosi (@SpeakerPelosi) January 11, 2021Ils considèrent aussi qu’il a encouragé ses partisans à marcher mercredi dernier sur le Capitole où Mike Pence, tenu par la Constitution, annonçait solennellement les résultats de l’élection présidentielle du 3 novembre. Une victoire de Joe Biden que Donald Trump n’a jamais voulu accepter.Quelques élus républicains ont appelé dimanche Donald Trump à démissionner pour épargner au pays les complexités de la procédure d’impeachment comme du 25e amendement.Actes impardonnablesCe “serait la meilleure option”, a affirmé sur CNN le sénateur Pat Toomey. Depuis le scrutin présidentiel du 3 novembre qu’il a perdu, Donald Trump “a sombré dans un niveau de folie et a commis des actes absolument impensables et impardonnables”, a-t-il ajouté. “La meilleure chose pour l’unité du pays, ce serait qu’il démissionne”, a renchéri sur ABC Adam Kinzinger, élu républicain de la Chambre.Isolé à la Maison Blanche, lâché par plusieurs ministres, le milliardaire américain ne semble guère disposé à s’en aller de son plein gré. Il prévoit même un déplacement mardi au Texas pour vanter sa politique d’immigration et la construction du mur frontalier avec le Mexique.Mais, évincé de Twitter et des autres grands réseaux sociaux qui veulent éviter de nouvelles incitations à la violence, Donald Trump a désormais des alternatives limitées pour communiquer avec le grand public.Au pouvoir depuis 2017, Donald Trump a déjà été visé au Congrès par une première procédure de destitution, ouverte par la même Nancy Pelosi fin 2019 sous l’accusation d’avoir demandé à un pays étranger, l’Ukraine, d’enquêter sur son rival Joe Biden. Il avait été acquitté au Sénat, à majorité républicaine, début 2020.Donald Trump pourrait ainsi devenir le seul président américain de l’Histoire mis en accusation à deux reprises dans une telle procédure de destitution.Mais il s’agit d’une procédure longue et compliquée et plusieurs voix se sont élevées dans le camp démocrate jugeant qu’elle pourrait freiner les projets de Joe Biden, qui a fait de la réponse à la pandémie de Covid-19 sa priorité.“Donnons au président élu 100 jours” au début de son mandat pour lui permettre de s’attaquer aux problèmes les plus urgents, a suggéré l’élu démocrate de la Chambre James Clyburn. “On pourrait peut-être introduire les articles (de mise en accusation) un peu après”.Le sénateur démocrate Joe Manchin a estimé pour sa part sur CNN qu’une procédure de destitution après le 20 janvier “n’aurait aucun sens”.Joe Biden reste très prudent. La décision sur l’“impeachment” revient au Congrès, a-t-il affirmé. À voir également sur Le HuffPost: Schwarzenegger réagit aux événements du Capitole et se paie Trump
https://www.huffingtonpost.fr/entry/nancy-pelosi-prete-a-lancer-une-deuxieme-procedure-de-destitution-contre-donald-trump_fr_5ffb98d4c5b66f3f795f0d69Etats-Unis,Donald Trump
À l'université de Nantes, des examens repoussés après un incendie volontaire
ÉDUCATION - Un incendie volontaire a touché dans la nuit de dimanche à lundi un bâtiment de l’Université de Nantes où devait se tenir des examens ce lundi 11 janvier, sans faire de victime mais rendant les lieux inutilisables, a-t-on appris auprès de l’institution et de la police.“La présence de tags sur place montre l’intention des auteurs de l’acte d’empêcher la tenue des examens”, indique dans un communiqué l’Université de Nantes, expliquant que “la façade du bâtiment est fortement dégradée avec un départ de feu depuis les deux portes d’entrée, le rendant inutilisable pour une durée indéterminée”. (1/5)????Un incendie volontaire a touché la halle du SUAPS dans la nuit de dimanche à lundi. La façade du bâtiment est fortement dégradée avec un départ de feux depuis les deux portes d’entrée, le rendant inutilisable pour une durée indéterminée. ?? pic.twitter.com/3WE5HwPWve— Université de Nantes (@UnivNantes) January 11, 2021 “Partiels en distanciel ou pas de partiels du tout”, “Examen sous Covid”, “Foutage de gueule”, figurent parmi les tags retrouvés “sur les murs du gymnase, également sur un muret au niveau d’une entrée et à l’arrière du bâtiment”, a détaillé la police.“À l’arrivée des pompiers, des poubelles étaient en feux devant ces deux portes d’entrée” de la halle du SUAPS (Service Universitaire des Activités Physiques et Sportives) où les tables étaient prêtes pour la tenue d’examens”, a décrit la police précisant qu’il s’agissait d’un “incendie criminel”.“Rien ne peut justifier que l’on incendie un bâtiment public. Les conséquences auraient pu être beaucoup plus graves. J’ai une pensée particulière pour nos étudiants qui préparent leurs examens de longue date”, a déclaré Carine Bernault, présidente de l’Université de Nantes.“Nous nous réorganisons en ce moment même pour que les examens de cette première session prévus dans la halle du SUAPS se tiennent dans les meilleurs délais et dans le respect des conditions sanitaires”, a-t-elle ajouté. “Un dépôt de plainte est en cours auprès des autorités compétentes”, indique l’Université dans son communiqué.Quatre engins et 17 sapeurs-pompiers ont été engagés pour éteindre le feu peu après minuit, ont expliqué les pompiers.Le casse-tête de l’organisation des examens “Une fois de plus l’expression d’une minorité a empêché la majorité des étudiants de passer leur partiel”, a réagi lundi la ministre de l’Enseignement supérieur Frédérique Vidal, lors d’un déplacement à l’université de Cergy, parlant d’un acte “inadmissible”. “C’est quelque chose d’insupportable pour la ministre que je suis et probablement pour la majorité des étudiants”, a-t-elle poursuivi.Elle a rappelé que la question des examens en présentiel ou à distance “s’est déjà posée à la fin du semestre dernier”. Ils avaient été alors majoritairement organisés à distance, ce qui avait suscité bon nombre de critiques.“Il y a des examens qui peuvent se tenir à distance sans problème, il y a des évaluations qui nécessitent que l’on soit en présentiel, il n’y a que l’équipe pédagogique qui peut en juger”, a poursuivi la ministre. En l’absence de mesures gouvernementales fixes, les universités ont donc dû s’organiser individuellement. “Les situations sont diverses d’une université à l’autre, selon ses locaux et l’effectif. Il n’y a pas de choix qui soit meilleur que l’autre”, expliquait ainsi à l’AFP à la mi-décembre Guillaume Gellé, vice-président de la Conférence des présidents d’université (CPU). “Et si l’établissement se tourne vers le passage en présentiel, c’est dans le cadre d’un protocole sanitaire extrêmement strict et encadré”, souligne ce président de l’université de Reims.Ce qui, à en croire les témoignages sur les réseaux, n’a pas toujours été le cas, notamment dans la capitale. Début janvier, les étudiants en médecine de deux universités parisiennes ont ainsi lancé le hashtag #MentalBreakUP pour dénoncer les conditions d’examens en présentiel, entre autres. D’autres universités, qui ont opté pour des examens à distance, ont elles été confrontées à des soucis techniques, comme par exemple l’impossibilité pour les élèves de rejoindre à temps la plateforme d’examens. “L’épreuve avait lieu de 15 heures à 17 h 35 et je n’ai réussi à me connecter qu’à 17 h 31. J’ai pu répondre à toute vitesse à huit questions sur un total de vingt-huit”, témoigne ainsi dans Le Monde un étudiant de Paris-Nanterre.Cc @Univ_ParisAvoir cours en distanciel pendant 3 mois avec toutes les difficultés que cela représentent pour les étudiants et passer ces partiels à 350 dans un gymnase en présentiel 3 jours après les fêtes... SÉRIEUSEMENT ? Où est la sécurité, où est la justice ? pic.twitter.com/DuSX5gaFsW— Julien Guibert (@Julien_AGEP) January 4, 2021????Pour mieux comprendre ce qu'est le mentalbreakup. Voici les explications en photos.#mentalbreakup@Univ_Parispic.twitter.com/Lf37I5zg4Q— ACRP (@ACRP_UP) January 6, 2021À voir également sur Le HuffPost: Fermer encore les écoles? Ce n’est pas la solution pour ces profs
https://www.huffingtonpost.fr/entry/a-luniversite-de-nantes-des-examens-repousses-apres-un-incendie-volontaire_fr_5ffc705ac5b66f3f795fde0ecoronavirus,Incendie
L'Arabie Saoudite, pays du pétrole, va construire une ville sans voiture
URBANISME - Certaines décisions sont paradoxales. L’Arabie saoudite est le premier exportateur de pétrole brut au monde. C’est aussi un des pays les plus polluants et pollués, en termes de particules fines, selon l’OMS. C’est pourtant sur ce territoire que pourrait voir le jour un concept urbain écologique radical: une ville sans automobiles, avec “zéro voiture, zéro route, zéro émission de CO2”.Le prince dirigeant Mohammed ben Salmane vient d’annoncer ce dimanche 10 janvier le lancement de ce projet “Neom”, une zone du nord-ouest du royaume actuellement en développement. Région futuriste et touristique, Neom figure sur la liste des nombreux mégaprojets en cours destinés à diversifier l’économie de l’Arabie saoudite qui dépend très largement de l’exportation de l’or noir.“En tant que président du conseil d’administration de Neom, je vous présente “The line”, une ville pouvant accueillir un million d’habitants, de 170 km de long et qui préservera 95% des zones naturelles”, a annoncé le prince héritier Mohammed ben Salmane dans une déclaration retransmise à la télévision.“Il n’y aura ni voiture, ni route et zéro émission de carbone”, a ajouté le dirigeant de facto de la première économie du monde arabe, régulièrement classée parmi les pays les plus pollueurs au monde.Des transports à grande vitesse“Nous devons transformer les villes en villes du futur”, a-t-il déclaré, parlant d’une “révolution civilisationnelle”. Les détails du projet seront communiqués ultérieurement, a assuré le prince Mohammed, avant de montrer des images de synthèses de la “ligne” ainsi que des paysages de déserts immaculés et de mers bleues.La ville piétonne disposera de services tels que des écoles ou des centres de santé, ainsi que d’espaces verts, mais aussi des transports en commun à grande vitesse, avec aucun trajet qui ne devrait durer plus de 20 minutes, selon un communiqué de Neom.Elle reposera également sur les technologies de l’intelligence artificielle (IA) et des ”équipements à faible impact carbone, alimentés par une énergie 100% renouvelable”. La construction de “The line” débutera au premier trimestre 2021 et sera financée par le Fonds d’Investissement publique (PIF) saoudien, principal instrument de la politique de diversification de l’économie du pays.Le projet permettra de créer 380.000 emplois et sa contribution au PIB est estimée à 180 milliards de riyals (plus de 39 milliards d’euros) d’ici 2030, selon le communiqué de Neom.Encore faut-il qu’il voie le jour. Depuis 2017, certains observateurs internationaux dénoncent un “rêve d’adolescent” qui ne tiendrait pas compte des moyens technologiques de l’Arabie Saoudite. À voir également sur Le HuffPost: Avec le deepfake, un musée redonne vie à Salvador Dali
https://www.huffingtonpost.fr/entry/larabie-saoudite-pays-du-petrole-va-construire-une-ville-sans-voiture_fr_5ffc0aadc5b63642b6fd21a9pollution
Mort de Georges Pernoud: Cet ex-journaliste de Thalassa se serait bien passé de l'hommage de Marine Le Pen
HOMMAGE - La disparition du présentateur historique de Thalassa, Georges Pernoud, ce dimanche 10 janvier à 73 ans a suscité de nombreux hommages politiques, notamment celui de la présidente du Rassemblement national, Marine Le Pen.“Je suis triste d’apprendre le décès de Georges Pernoud, animateur-créateur de Thalassa, émission emblématique du PAF qui donna en premier une voix au monde méconnu de la mer, dans toute sa variété. J’adresse toutes mes condoléances à ses proches”, a écrit Marine Le Pen sur son compte Twitter. Je suis triste d'apprendre le décès de Georges Pernoud, animateur-créateur de Thalassa, émission emblématique du PAF qui donna en premier une voix au monde méconnu de la mer, dans toute sa variété. J'adresse toutes mes condoléances à ses proches. MLP pic.twitter.com/Vll2sPEK93— Marine Le Pen (@MLP_officiel) January 11, 2021 Des condoléances qui n’ont pas plu à tout le monde. “Notre émission était l’antithèse de vos pauvres préoccupations politiques. Nous aimions les gens, les rencontres, l’ouverture au monde, les échanges, les langues étrangères, le respect des différences: tout ce que vous détestez”, a réagi sur Twitter Bernard Dussol, ancien grand reporter pour Thalassa de 1986 à 2008. Notre émission était l'antithèse de vos pauvres préoccupations politiques. Nous aimions les gens, les rencontres, l'ouverture au monde, les échanges, les langues étrangères, le respect des différences : tout ce que vous détestez. https://t.co/FJFZyNAGTw— Bernard Dussol (@bdussol) January 11, 2021 Montrer le spectacle de la mer et raconter son empreinte dans la vie des hommes était l’objectif de Georges Pernoud, créateur en 1975 de l’émission “Thalassa”, toujours à l’antenne sur France 3, malgré le départ de son fondateur et des audiences qui ont fondu ces dernières années.À travers son programme, le créateur de Thalassa voulait “faire découvrir et aimer” les mers et les océans à des millions de Français “avec tendresse et humilité”, écrit l’Agence France-Presse (AFP). Dés le départ, l’émission s’est constituée en collectif autour des meilleurs professionnels de l’image et du récit.Avec un but, “raconter la mer et toutes les histoires d’hommes qui lui sont rattachées pour l’inscrire dans l’humanité, parce que la mer, c’est la vie et notre avenir”, explique Éric Berg, dernier rédacteur en chef de l’émission à avoir travaillé avec Pernoud. Entre rencontres avec des pêcheurs, découvertes d’archipels, reportages sur la Route du rhum, mais aussi sur des sauvetages de migrants, sur la pêche au thon ou sur les delphinariums... l’émission a abordé “tous les domaines sur fond bleu”, se plaisait à dire l’animateur aux cheveux gris.À voir également sur Le HuffPost: Dans “Thalassa”, cette technique de pêche japonaise testée à Quiberon permet de limiter le gaspillage LIRE AUSSI:
La nouvelle présentatrice de "Thalassa" va vous rappeler des souvenirs
Le pêcheur de ce reportage de France 2 a donné à bien du monde l'envie d'être une Saint-Jacques
https://www.huffingtonpost.fr/entry/mort-de-georges-pernoud-cet-ex-journaliste-de-thalassa-se-serait-bien-passe-de-lhommage-de-marine-le-pen_fr_5ffc4c35c5b691806c4ad6b5décès
En Calabre, le procès XXL contre la 'Ndrangheta
A la mi-janvier s'ouvre un proces hors norme contre la mafia calabraise. Un tournant historique dans cette region ou l'influence des clans reste forte ?
https://www.lepoint.fr/monde/en-calabre-le-proces-xxl-contre-la-ndrangheta-11-01-2021-2408981_24.php#xtor=RSS-221
Le tribunal de Nanterre renonce à juger un homme de 98 ans
Mis en examen pour corruption en 2007, Jean Bonnefont devait etre juge apres une enquete longue de... 19 ans. La procedure est annulee pour >
https://www.lepoint.fr/societe/le-tribunal-de-nanterre-renonce-a-juger-un-homme-de-98-ans-11-01-2021-2409109_23.php#xtor=RSS-221
CES Las Vegas 2021: Nahibu, la start-up qui veut vous faire prendre soin de votre microbiote
Le CES Las Vegas 2021 se tient de lundi à jeudi en virtuel à cause de la crise sanitaire liée au coronavirus. A Rennes, la société Nahibu va présenter ses kits pour tester son microbiote
Santé
« Ségur de la santé » : Des praticiens hospitaliers entament une « grève illimitée »
Les praticiens hospitaliers regrettent que les mesures prises lors du Ségur de la santé ne soient qu’à l’avantage des jeunes professionnels
Société,Santé
Sahel : la moitié des Français opposés à la présence française
EXCLUSIF. Un sondage Ifop/> montre, pour la premiere fois, que 51 % de la population desapprouve les operations militaires au Mali.
https://www.lepoint.fr/monde/sahel-la-moitie-des-francais-opposes-a-la-presence-francaise-11-01-2021-2409098_24.php#xtor=RSS-221
Mobilisation à Paris et au Sénégal après que Diary Sow a disparu
DISPARITION - La disparition de l’étudiante de 20 ans provoque l’émoi en France et au Sénégal. Ce dimanche 10 janvier, le Consulat du Sénégal a lancé un appel à témoins pour retrouver Diary Sow, jeune femme disparue depuis le 4 janvier à Paris.Diary Sow, qui a reçu le prix de “meilleure étudiante” du pays en 2018 et en 2019, a été aperçue pour la dernière fois dans le 13e arrondissement de Paris, où se situe sa résidence étudiante, a indiqué le Consulat. “Elle est élève au lycée Louis le Grand en classe préparatoire”, est-il ajouté. Un appel largement relayé par des personnalités comme Omar Sy ou par l’animatrice Hapsatou Sy.Nous sommes toujours sans nouvelles de Diary Sow 20ans, disparue depuis le 04 janvier 2021. Merci de maintenir l'extraordinaire élan de solidarité afin de la retrouver saine et sauve #RetrouvonsDiarySow#retrouvonsds@kebetu@RokhayaDiallo@OmarSy@HapsatouSy@BeyeHabibpic.twitter.com/jka57P6mG7— Consulat Sénégal (@ConsulSenParis1) January 10, 2021????????????????France/Sénégal : elle a 20 ans et c’est "la meilleure élève" du Sénégal. Etudiante en classe préparatoire à Paris, #DiarySow est portée disparue depuis une semaine. Ses proches se mobilisent pour la retrouver. Reportage @DialloOumy4pic.twitter.com/aHwTrO220Q— Le journal Afrique (@JTAtv5monde) January 10, 2021Une enquête a été ouverte, selon les informations de BFMTV, et a été confiée à la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP). Lorsque Diary Sow ne s’est pas présentée en cours le jour de la rentrée, son établissement a donné l’alerte et contacté sa résidence étudiante. Mais cette dernière, tout comme sa famille, étaient sans nouvelle de l’élève, a rapporté la chaîne d’information. L’ambassade a alors été prévenue de la disparition de l’étudiante. Depuis 5 jours, les services de l’ambassade et du consulat du Sénégal en France sont mobilisés pour retrouver la jeune femme. “La police et les services compétents français sont informés et déploient les diligences qui sont de leur ressort”, a précisé Serigne Mbaye Thiam, ministre de l’Eau et de Assainissement et parrain de la jeune femme, dans un communiqué. La police française a été également “informée”, selon lui. Outre les forces de police, des étudiants sénégalais se sont mobilisés à Paris pour retrouver Diary Sow, auteure du roman “Sous le visage d’un ange”, et qui fait la fierté du Sénégal. Ce dimanche 10 janvier, certains d’entre eux distribuaient des tracts avec sa photo dans le 13e arrondissement de Paris. Distribution de flyers pour tenter de retrouver Diary SOW par les étudiants sénégalais résidents en France #RetrouvonsDiarySowpic.twitter.com/RYDRzMmIEy— Groupe Info Etudes (@infoetudescom) January 10, 2021 À voir également sur le HuffPost: Un an après la disparition de Maëlys, une marche blanche pour réclamer la véritéLIRE AUSSI:
Affaire Fiona: La mère de la fillette condamnée à 20 ans de prison, l'ex-compagnon à 18
Une expertise novatrice pourrait relancer l'enquête sur l'affaire du petit Grégory
https://www.huffingtonpost.fr/entry/paris-senegal-diary-sow-a-disparu_fr_5ffc22acc5b656719887335dFAITS DIVERS
Deux gendarmes se suicident dans leurs casernes de Lyon et Toulouse
Une adjudante-cheffe de 53 ans et un major de 56 ans ont mis fin a leurs jours, >, selon la gendarmerie nationale.
https://www.lepoint.fr/justice/deux-gendarmes-se-suicident-dans-leurs-casernes-de-lyon-et-toulouse-11-01-2021-2409108_2386.php#xtor=RSS-221,Toulouse,Suicide