Archive actualités du vendredi 14 mai 2021
La Grèce et l'Italie s'ouvrent aux touristes: ce qu'il faut avoir en tête pour voyager
TOURISME - À vos plans de voyages. La haute saison n’est plus très loin et certains pays se préparent à relancer le tourisme tant secoué depuis mars 2020. Ce vendredi 14 mai et ce samedi 15, la Grèce et l’Italie rouvrent respectivement leurs frontières au tourisme. Mais comment voyage-t-on en 2021, alors que le coronavirus sévit toujours? “Ces derniers mois, nous avons pu voir que les voyageurs ont appris à vivre avec le Covid, à dompter leurs peurs, notait en début d’année Christophe Fuss, directeur des opérations hôtels et clubs TUI France (clubs Marmara et Lookéa), auprès du HuffPost. Ils ont appris à voyager avec le coronavirus, à répondre aux réglementations demandées par les gouvernements, comme les tests PCR, les formulaires à remplir avant le départ, à accepter certains contrôles à l’arrivée et au retour. De plus, il est aujourd’hui plus facile de faire un test et d’avoir les résultats rapidement”. Alors que l’on commence à peine à avoir une visibilité sur les destinations qui seront accessibles cet été, l’heure de planifier concrètement les vacances, pour ceux qui le peuvent, est arrivée. Mais à quoi faut-il s’attendre si l’on veut voyager en pleine période de pandémie? Le HuffPost fait ici le point sur les impératifs à ne surtout pas oublier pendant la préparation de vos vacances. À noter que certaines indications peuvent être amenées à changer en fonction des restrictions gouvernementales et de l’évolution de l’épidémie.Planifier ses vacances des mois à l’avance? Mission impossibleAvant de décider où partir, il faut prendre en compte que la façon de prévoir un voyage n’est plus la même depuis la crise sanitaire. Si jusqu’à récemment vous pouviez vous projeter plusieurs mois à l’avance pour préparer vos vacances d’été à l’étranger, il en va désormais tout autrement dans cette nouvelle vie avec le Covid-19. À défaut de pouvoir prévoir les pics de contamination, les fermetures de frontière et les confinements, les plans de “dernière minute” sont aujourd’hui à privilégier. “Le Covid a bouleversé notre façon de voyager et a été un formidable accélérateur de tendances qui étaient jusque-là en train de germer”, explique au HuffPostDominique Lecea, directeur associé des activités de conseil en tourisme et culture au sein d’In Extenso Tourisme Culture et Hôtellerie. “Le voyageur d’aujourd’hui est un touriste averti, agile, ‘zappeur’, qui s’informe sur ce qu’il se passe dans les autres pays, qui sait rapidement évaluer les offres, jongler entre elles, faire des choix et s’adapter aux conditions sanitaires”, ajoute-t-il.Trouver votre destinationVous voulez partir, mais vous ne savez pas encore où? Votre choix dépendra principalement des restrictions sanitaires et quarantaines ou non imposées dans chaque pays. Pour vous aider dans vos recherches, le comparateur de voyage Kayak.fr a créé un outil, une carte interactive permettant de connaître les territoires ouverts selon votre pays de départ. Ainsi, si vous partez de France, vous pouvez connaître Les pays dont la fermeture de leurs frontières est totale (en rouge)Les pays qui ont une ouverture partielle, précisant les conditions à respecter selon les dernières annonces gouvernementales (rose)Les pays qui prévoient une ouverture prochaine (jaune)Les pays qui ne présentent aucune restriction (vert)Il vous est également indiqué le nombre de nouveaux cas recensés dans chaque pays, la situation aux frontières et les mesures prises pour les voyageurs. Le comparateur d’offres de voyages Skyscanner propose également une carte interactive dédiée aux restrictions de voyages dans le monde.Se tenir informé à chaque étape Vous vous êtes certes renseignés sur la situation sanitaire au moment de prendre vos billets, mais celle-ci peut évoluer très rapidement. Ainsi, les restrictions dans votre pays de destination (si ce n’est en France) sont susceptibles de changer entre le moment où vous prenez vos billets et le jour de votre départ. Avant de partir, consultez donc les mesures sanitaires prises en temps réel, notamment sur la page “conseils aux voyageurs” du site diplomatie.gouv. “Se tenir informé est l’un des éléments les plus importants de la préparation du voyage, signale Christophe Fuss. Cela va être primordial pour un départ serein et pour éviter les mauvaises surprises”. Assurez-vous également d’avoir tous les documents nécessaires pour passer l’étape de l’aéroport, notamment s’il vous est demandé d’effectuer un test PCR moins de 72h avant le départ, une attestation sur l’honneur ou une preuve de votre vaccination pour les pays qui le demandent.Voici quelques informations (à jour ce 14 mai): Les voyages en Europe sont possibles, mais soumis aux restrictions en vigueur dans chaque pays notamment la présentation d’un test PCR négatif. Certains imposent une quarantaine et un motif impérieux comme le Portugal. D’autres gardent leurs frontières complètement fermées comme la Norvège et la Hongrie. Pour la Grèce par exemple, les résidents des pays de l’UE sont dispensés de la quarantaine préventive de 7 jours s’ils ont un test PCR négatif ou un certificat de vaccination de plus de 14 jours, rédigé en anglais. À partir du 16 mai, l’Italie lève la quarantaine de cinq jours qu’elle imposait aux voyageurs européens. Vous voulez voyager hors Europe? Pour le moment les frontières restent fermées, hors motifs impérieux ou professionnels, et tout déplacement international est totalement et strictement déconseillé jusqu’à nouvel ordre. Toutefois, le motif impérieux n’est pas requis pour les voyages à destination de l’Australie, la Corée du Sud, d’Israël, du Japon, de la Nouvelle-Zélande, du Royaume-Uni et Singapour.À savoir qu’au retour, une quarantaine de dix jours est obligatoire à l’arrivée en France pour les voyageurs venant de Turquie, du Bangladesh, du Sri Lanka, du Pakistan, du Népal, des Émirats arabes unis, du Qatar, du Brésil, d’Argentine, du Chili, d’Afrique du Sud, de la Colombie, du Bahreïn, du Costa Rica et d’Uruguay. Dans tous les cas, pour revenir en France, il faut obligatoirement présenter le résultat d’un test RT-PCR négatif réalisé moins de 72 heures avant le départ et d’une attestation sur l’honneur indiquant que:Vous ne présentez pas de symptômes d’infection à la COVID-19 ;Vous n’avez pas été en contact à votre connaissance avec un cas confirmé de Covid-19 dans les 14 jours précédant votre voyage ;Vous acceptez, si vous avez 11 ans ou plus, qu’un test ou un examen biologique de dépistage virologique de détection du SARS-Cov-2 puisse être réalisé à votre arrivée en France ; (pour les mineurs cette déclaration peut être signée par le représentant légal.) ;L’assurance, un nouveau “réflexe” de la période CovidVous pensez avoir pensé à tout, coché toutes les cases pour un voyage réussi? Malgré toutes les précautions évoquées jusqu’ici, il n’est pas garanti que vous puissiez partir. Au vu de la situation actuelle, les annulations et retards de vol sont courants. Ainsi, “aujourd’hui ce n’est même plus une recommandation que de prendre une assurance voyage, c’est indispensable, ce doit être un réflexe”, assure Christophe Fuss. Mais attention aux petits caractères en bas de page. En effet, de nombreuses compagnies d’assurance voyage ne couvrent pas les problèmes liés à des ”événements connus” -sauf si elles disent explicitement couvrir ce risque. Or on peut estimer que depuis le 12 mars, date à laquelle l’OMS a déclaré officiellement la pandémie, le coronavirus est un événement connu. Aussi, d’autres polices d’assurance ne couvrent que les voyages vers certaines destinations, généralement celles considérées comme à faible risque relatif au taux de contamination. Enfin, assurez-vous de vos options en cas d’annulation de votre voyage, de rapatriement ou si vous tombez malade pendant votre séjour.Adapter son calendrier de vacances à celui de la vaccination Autre paramètre à prendre en compte avant de partir à l’étranger: le calendrier de vaccination. Le ministère de la Santé a invité, mardi 11 mai, les Français à adapter leur calendrier de vacances à celui de leur vaccination. En effet, pour ceux ayant reçu une première dose de vaccin et doivent recevoir la deuxième pendant leur congé, il est demandé à ce que la seconde soit réalisée dans le même centre de vaccination, sauf “exception”, en cas d’“impératif”.“La règle, c’est que la deuxième dose a lieu dans le centre où on a fait sa première dose” et la possibilité de “prendre sa deuxième dose dans un autre endroit où on va aller passer ses vacances (...) doit être l’exception”, en cas d’“impératif”, pour ne pas entraîner une “désorganisation”, a déclaré le ministère dans un communiqué, expliquant qu’il était “très difficile de réussir à anticiper le nombre de doses supplémentaires” à envoyer dans un département donné.Toutefois “il est possible de prendre rendez-vous dans un autre centre de vaccination pour recevoir la seconde injection. Il faut en revanche veiller à annuler le second rendez-vous pris dans le centre d’origine, afin de libérer une dose pour une autre personne, susceptible alors de pouvoir récupérer le rendez-vous”, détaille la Direction Générale de la Santé (DGS).Alors, concrètement, vous pourrez quand même vous faire vacciner sur votre lieu de vacances, mais n’oubliez pas qu’il n’est pas encore possible de se faire vacciner contre le Covid-19 à l’étranger. Seuls quelques pays ou états ont évoqué la volonté de jouer sur le tourisme vaccinal pour relancer leur économie touristique, comme Cuba, les Émirats arabes unis, la Floride ou encore la Russie... moyennant un coût parfois très élevé. À voir également sur Le HuffPost: Les restrictions dues au Covid-19 ont fait du Mexique le 3e pays le plus visité en 2020LIRE AUSSI:La Polynésie ne recense aucun nouveau cas de Covid-19 pour la 1ère fois depuis juilletÀ cause du covid, la Chine va marquer physiquement la frontière au sommet de l'Everest
https://www.huffingtonpost.fr/entry/vacances-grece-italie-conditions-touristes-ce-quil-faut-avoir-en-tete-pour-voyager_fr_609bc812e4b03e1dd383c3c2INTERNATIONAL
Suez et Veolia ont signé "un accord définitif de rapprochement"
ÉCONOMIE - Les deux géants français de l’eau et des déchets Veolia et Suez, rivaux depuis 150 ans, ont scellé ce vendredi 14 mai l’accord qui verra le premier mettre la main sur une bonne part du second, réduit pour l’essentiel à ses activités françaises.Après des mois de bataille financière, politique et médiatique, le traité de paix a été formalisé et approuvé par les conseils d’administration des deux groupes, reprenant largement le contenu de l’entente trouvée il y a un mois au terme d’une médiation éclair.Cet “accord de rapprochement” permet à Veolia “d’acquérir les actifs stratégiques nécessaires à son projet de construction du champion mondial de la transformation écologique, tout en garantissant un périmètre industriel et social cohérent et pérenne pour le nouveau Suez”, explique un communiqué commun.Veolia y confirme ses engagements sociaux (maintien de l’emploi et des statuts sociaux des salariés), mais aussi que le prix d’acquisition de Suez sera relevé à 20,50 euros par action (dividende inclus), valorisant sa cible à quelque 13 milliards d’euros.“Aucune réjouissance de notre côté bien au contraire, seulement le constat d’un énorme gâchis industriel et d’une incertitude sociale plus que jamais prégnante pour les salariés de Suez”, ont néanmoins réagi ce vendredi soir dans un communiqué les syndicats CFDT, CFTC et CGT de Suez.Le conseil d’administration de ce dernier a jusqu’au 29 juin pour émettre un “avis motivé” recommandant l’OPA de son rival de toujours.Suez a longtemps ferraillé pour contrarier l’offensive de Veolia, jusqu’à un armistice conclu le 11 avril dans un hôtel parisien, sous les auspices de l’ancien patron historique de Suez, Gérard Mestrallet, et du cabinet de médiation Equanim. Les deux groupes s’étaient alors donné jusqu’à ce vendredi pour formaliser leur accord.Veolia va racheter une large part des activités de Suez à l’international -États-Unis, Amérique latine, Espagne, Australie, Royaume-Uni- pour peser environ 37 milliards d’euros de chiffre d’affaires (contre 26 milliards en 2020), avec quelque 230.000 salariés. Le groupe aura 5% de part du marché mondial dans ses secteurs d’activité.Son rival a sauvé sa peau mais en sortira très diminué: le “nouveau Suez” fera moins de la moitié du groupe actuel, avec un chiffre d’affaires de près de 7 milliards d’euros contre 17,2 milliards en 2020. Il doit garder, outre la France, des actifs dans l’eau, son métier historique, en Italie, au Sénégal, en Inde et en Chine.La guerre avait commencé fin août, quand Veolia a proposé de racheter les 29,9% détenus par Engie dans Suez. Au grand dam de ce dernier qui n’a toutefois pas réussi à empêcher la vente, conclue dès octobre, et se trouvait à la merci d’une OPA ayant de fortes chances de réussir.Objectif fin 2021Veolia espère cet été l’aval des autorités de la concurrence, et l’objectif pour mener à bien l’OPA et la création du nouveau Suez est fixé à la fin 2021.Concrètement, Veolia prévoit dans la foulée de son OPA de céder assez d’actifs pour maintenir le “nouveau Suez” indépendant, largement concentré sur l’eau et la France, et devant être repris par de nouveaux actionnaires.Un accord de principe a ainsi été signé ce vendredi entre les deux groupes et un consortium d’investisseurs constitué des fonds Meridiam et GIP, ainsi que de la Caisse des Dépôts, indique le communiqué ce vendredi.GIP et Meridiam, à hauteur de 40% du capital chacun, et le Groupe CDC (avec sa filiale la CNP Assurances) à hauteur de 20%, deviendraient les actionnaires de la nouvelle entité. Leur offre prévoit dans un deuxième temps un actionnariat salarié à hauteur de 3%, qui pourrait être porté à 10% d’ici à 7 ans, précise-t-on ce vendredi.Ce consortium “s’engage sur le long terme auprès du nouveau Suez et sera en mesure d’apporter un soutien à son développement et sa croissance”, ajoute le communiqué, sans précisions.Il devra remettre à Veolia une “offre ferme” d’ici au 29 juin. Son prix, non dévoilé, devait être “en cohérence” avec celui proposé par Veolia pour l’ensemble de Suez.Le PDG de Veolia Antoine Frérot a salué ce vendredi “un pas de géant pour Veolia, pour l’école française de la transformation écologique et pour la préservation de l’environnement”, et un accord qui selon lui “ne fait que des gagnants”.Pour le directeur général de Suez Bertrand Camus, le futur Suez “bénéficiera d’une base industrielle et technologique robuste. Porté par un actionnariat stable avec une place importante réservée aux salariés, il aura une forte capacité de développement à l’international”.La procédure d’information-consultation des CSE de Suez peut d’ores et déjà démarrer.À voir également sur Le HuffPost: Canal de Suez: l’Ever Given a été remis à flot, le trafic reprendLIRE AUSSI:Pourquoi les "OPA hostiles" façon Veolia-Suez ont du mal à passer en FranceVeolia lance une OPA sur Suez sans son accord, la justice ordonne qu'elle la retire
https://www.huffingtonpost.fr/entry/suez-et-veolia-ont-signe-un-accord-definitif-de-rapprochement_fr_609ed903e4b014bd0cabef28
Dominique Reynié : « La droitisation est un mouvement profond »
ENTRETIEN. Pour le directeur du think tank Fondapol, la poussee des valeurs et des positionnements de droite est une realite non seulement francaise mais europeenne.
https://www.lepoint.fr/politique/dominique-reynie-la-droitisation-est-un-mouvement-profond-14-05-2021-2426396_20.php#xtor=RSS-221Actu
La quarantaine obligatoire à l'arrivée en France étendue à 4 autres pays
VOYAGES - Les voyageurs en provenance de quatre pays supplémentaires, dont la Colombie, devront observer, à partir de dimanche 16 mai, une quarantaine obligatoire de dix jours à l’arrivée en France en raison de la circulation de l’épidémie de coronavirus dans ces pays, a annoncé Matignon vendredi.Cette restriction s’appliquera également au Bahreïn, au Costa Rica et à l’Uruguay. Douze pays étaient déjà soumis à de telles restrictions dont le Brésil, l’Inde, l’Afrique du Sud, l’Argentine et la Turquie.Alors que la situation épidémique s’améliore sur le territoire national, la propagation du virus dans certains pays, et en particulier de plusieurs variants d’intérêt faisant craindre un risque de transmissibilité accrue ou d’échappement vaccinal, impose un renforcement des mesures de contrôle des arrivées depuis ces pays”, a justifié Matignon dans son communiqué.Possible visite des forces de l’ordre sur le lieu de quarantaineComme pour les voyageurs revenant des autres pays à risques, les forces de l’ordre pourront vérifier de manière inopinée leur présence sur leur lieu de quarantaine et leur infliger une amende de 1000 à 1500 euros en cas d’absence.“La liste des motifs et des catégories de personnes autorisées à venir en France est restreinte” pour l’essentiel, aux seuls ressortissants nationaux, leurs conjoints et enfants, et aux ressortissants de l’Union européenne ou d’un pays tiers ayant leur résidence principale en France.Le dispositif de test avant l’embarquement est, lui, “renforcé, en imposant un test PCR négatif de moins de 36h (au lieu de 72h), ou un test PCR négatif de moins de 72h accompagné d’un test antigénique négatif de moins de 24h”, a aussi précisé Matignon.Les premières quarantaines obligatoires avaient été mises en place à partir du 24 avril pour l’Inde, le Brésil, l’Argentine, le Chili, l’Afrique du Sud, avant d’être étendues à sept autres pays le 8 mai.À voir également sur Le HuffPost: Avec la pandémie, les voyages en réalité virtuelle sont en plein essorLIRE AUSSILe pont de l'Ascension, un Covid-test pour ces communes touristiques avant l'étéVoilà à quoi pourraient ressembler les voyages dans les trains supersoniques
https://www.huffingtonpost.fr/entry/la-quarantaine-obligatoire-a-larrivee-en-france-etendue-a-4-autres-pays_fr_609e4f44e4b014bd0caaab30INTERNATIONAL
Le variant indien progresse en France et inquiète au Royaume-Uni
VARIANTS - Avec près de 80% des contaminations, le variant britannique reste nettement majoritaire en France métropolitaine. Mais une augmentation du nombre de contaminations liées au variant indien (B.1.617) du coronavirus est également observée en France depuis une quinzaine de jours, même si cette souche du Covid demeure très marginale.C’est le constat posé par Santé Publique France dans son point épidémiologique hebdomadaire publié ce jeudi 13 mai dans la soirée, qui relève “24 épisodes impliquant au moins un cas” de variant indien rapportés dans sept régions métropolitaines ainsi qu’en Guadeloupe où il avait été repéré en premier en mars sur des voyageurs en transit en provenance d’Inde.De fait, “la grande majorité des épisodes déclarés à ce jour est liée à des cas de retour d’un séjour en Inde”, insiste Santé Publique France pour qui “aucun élément en faveur d’une diffusion communautaire significative n’a été rapporté en France”.Deux clusters familiaux sans lien direct avec l’Inde, un en Auvergne-Rhône-Alpes et un en Île-de-France, laissent toutefois “suspecter que des chaînes de transmission du lignage B.1.617 se soient produites, de façon locale, autour de cas importés”, précise SPF.Le Royaume-Uni maintient son déconfinementSi la France reste pour l’heure sereine et vigilante sur la progression de ce variant, classé “préoccupant” par l’OMS en raison d’un risque d’augmentation de la transmissibilité ou d’un échappement immunitaire, le Royaume-Uni surveille de très près sa diffusion sur son territoire, en raison de ses liens historiques avec l’Inde.Le nombre de cas au Royaume-Uni a grimpé de 520 la semaine dernière à 1313 cette semaine, selon le ministère de la Santé. La plupart des cas sont concentrés dans le nord-ouest de l’Angleterre comme la ville de Bolton, et certains à Londres.Le Premier ministre britannique Boris Johnson a exprimé jeudi son inquiétude face à ces poussées localisées en Angleterre, n’écartant “rien” pour le combattre tout en se montrant confiant quant à la poursuite du déconfinement. Car ce lundi marque une étape sensible de la réouverture au Royaume-Uni avec la reprise du service en salles pour les pubs et restaurants, la réouverture des cinémas et théâtres. Les rencontres en intérieur seront de nouveau autorisées.Si le calendrier du déconfinement n’a pas été modifié, le gouvernement britannique a mis en place une campagne de dépistage accéléré. Il étudie la possibilité de raccourcir l’intervalle entre les deux doses de vaccin (jusqu’à trois mois actuellement) ou d’élargir la vaccination aux plus jeunes pour tenter de contenir la poussée du variant indien.À voir également sur Le HuffPost: Les mutations des virus expliquées en 2 minutes
https://www.huffingtonpost.fr/entry/le-variant-indien-progresse-en-france-et-inquiete-au-royaume-uni_fr_609e40b7e4b014bd0caa6cfdSCIENCE,Royaume-Uni
À l'Inter Milan, Lautaro Martinez et Antonio Conte apaisent leurs tensions dans un combat de boxe
FOOTBALL - Pour régler leurs différends, ils ont préféré le ring de boxe à l’octogone. Lors du match entre l’Inter Milan et l’AS Roma du mercredi 12 mai dernier, en Italie, un vive échange a opposé le joueur Lautaro Martinez et son entraîneur Antonio Conte.Dans le cadre de la 36ème journée du championnat italien de football, l’Inter Milan recevait à domicile l’équipe de l’AS Roma. À la 77ème minute, Antonio Conte avait décidé de sortir son attaquant Lautaro Martinez, alors qu’il n’était pas titulaire au coup d’envoi et n’était entré en jeu qu’à la 36e pour remplacer Alexis Sanchez blessé. Un fait rarissime dans le football, qui a provoqué la colère de l’attaquant argentin.Le lendemain, afin d’apaiser les tensions, les joueurs ont improvisé un combat de boxe entre les deux hommes, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article.[???? VIDÉO] ???????? #SerieA???? Oh la grosse altercation entre Antonio Conte et Lautaro Martinez !???? L'Argentin n'a visiblement pas aimé être remplacé...https://t.co/I3Zu0rBtp1— beIN SPORTS (@beinsports_FR) May 12, 2021L’Inter Milan réalise une saison pleine de réussite. Ils ont récemment été sacrés champions d’Italie. Pour ne pas entailler cette belle dynamique et faire naître des tensions, les joueurs ont voulu régler ces indifférents dès le lendemain de l’incident.Comme vous pouvez le voir dans la vidéo, le joueur Romelu Lukaku présente les deux combattants, sous les rires et les cris d’encouragement de ses coéquipiers. Il reprend la mythique phrase de Michael Buffer “Let’s get ready to rumble” (préparez-vous au combat).Le combat sera remporté par les deux acteurs, qui se sont réconciliés de la meilleure des manières. L’équipe organisera même un barbecue après l’entraînement pour célébrer cette belle fin de saison.À voir également sur Le HuffPost: Un alligator s’incruste à l’entraînement du Toronto FC
https://www.huffingtonpost.fr/entry/inter-milan-lautaro-martinez-et-antonio-conte-apaisent-leurs-tensions-dans-un-combat-de-boxe_fr_609e43cce4b063dccea842f8LE BON LIEN
Des rues seront piétonnisées pour accueillir des terrasses éphémères à Paris cet été
PIÉTONS - Au moins une centaine de rues de Paris pourraient de nouveau être piétonnisées pour accueillir des terrasses éphémères cet été, comme à l’été 2020, sur la base de projets déposés par les commerçants, a indiqué vendredi la mairie de Paris, confirmant une information de RMC.L’été passé, après la première vague du Covid-19, une centaine de rues avaient été fermées à la circulation le temps d’un soir, d’un week-end ou toute la semaine, après acceptation d’une grande majorité des dossiers. “On peut se dire qu’au minimum, on repart sur quelque chose d’à peu près similaire”, dit à l’AFP Olivia Polski, adjointe au commerce de la maire PS Anne Hidalgo.Dès ce week-end, les bars et restaurants parisiens, autorisés à rouvrir leurs terrasses le 19 mai comme partout en France, pourront déposer leur dossier qui pourra aboutir à l’été, le temps que les services de la Ville les instruisent, a précisé l’adjointe socialiste.Les commerçants devront également obtenir l’aval de la préfecture de police, des pompiers et des maires d’arrondissement “pour que les riverains ne soient pas pénalisés”, souligne Olivia Polski, qui exclut de fermer à la circulation une voie empruntée par un bus.Le fait que les commerçants soient à l’initiative des projets, “au plus près de la réalité” de leur quartier, doit permettre de limiter les nuisances et les dérives, estime Olivia Polski, qui laissera les maires d’arrondissement juger a posteriori. “Là où il y aura des problèmes, on n’autorisera plus.”Un dispositif exceptionnelCe dispositif exceptionnel est indépendant de la concertation en cours sur les extensions de terrasses permises depuis le premier confinement, qui doit aboutir à la définition d’un nouveau règlement des étalages et des terrasses (RET).Celui-ci sera soumis au vote du Conseil de Paris début juillet et appliqué progressivement à la place du simple régime déclaratif en vigueur jusqu’au 30 juin, explique Olivia Polski.C’est dans ce nouveau cadre réglementaire que ces extensions de terrasses pourront être pérennisées, notamment sur des places de stationnement, et soumises à un droit de terrasses, sujet sensible pour l’exécutif parisien.“On a fait une exonération depuis mars 2020, tant sur les terrasses que sur les extensions de terrasse, qui va jusqu’à fin juin, soit 16 mois en tout”, rappelle Olivia Polski. “A partir du moment où ces places de stationnement n’étaient pas dans le règlement, si on veut les pérenniser, il faut fixer un tarif pour ces emplacements.”Confrontée à un début de polémique sur la fin de ces exonérations pour un secteur durement éprouvé par la crise, Anne Hidalgo a annoncé la prolongation des exonérations jusqu’à fin septembre. Les commerçants “n’auront pas à payer, rien, jusqu’à la fin de l’été, ni les terrasses, ni les extensions”, confirme son adjointe.A voir également sur Le HuffPost: On a trouvé la terrasse la plus instagramable de Paris
https://www.huffingtonpost.fr/entry/des-rues-seront-pietonnisees-pour-accueillir-des-terrasses-ephemeres-a-paris-cet-ete_fr_609ecd98e4b0909248038ff5Actu
10 personnes partagent le meilleur conseil en amour qu'on leur ait donné
AMOUR - Les conseils de notre entourage sur nos relations ont souvent le don de nous filer de l’urticaire. Seulement parfois, ces petites graines qu’ils et elles plantent dans nos têtes en mal de recul peuvent s’avérer tout à fait salutaires. Des formules toutes faites ou plus personnalisées, qui vont finalement avoir un impact non négligeable sur la façon dont on analyse nos comportements, et ce qu’on peut bien faire de mal pour que nos amours foirent autant.On a voulu connaître celles qui vous ont fait changer, avancer, grandir. Alors on a demandé à dix d’entre vous de nous les décrire. Emma, 35 ans: “On n’est pas là pour convaincre qui que ce soit”“Le truc auquel je pense tout de suite, c’est une phrase que m’ont souvent dite mes amies, mais que mon psy m’a aidée à vraiment réaliser: ce n’est pas ‘toi’. Pas ta faute si une histoire ne fonctionne pas, que la personne qui te plaît ne veut pas être avec toi, ou que ton aventure ne se transforme pas en histoire d’amour. Ça ne veut rien dire sur ce que tu ‘vaux’, ce que tu es. Il ne faut surtout pas se remettre en question et se flageller à cause de ça.Bien sûr, il arrive que certains aient des comportements destructeurs et qu’ils doivent bosser sur eux, mais la plupart du temps, si quelqu’un ne veut pas de toi, c’est juste que ce n’est pas la bonne personne pour toi, et il ne faut vraiment pas se dire qu’on n’est pas assez bien pour eux et qu’on ne vaut rien. On n’est pas là pour convaincre qui que ce soit. On est là pour trouver notre binôme, quelqu’un qui nous fera nous sentir vraiment bien. Ça date de quelques années, mais j’aurais adoré le comprendre plus jeune au lieu de me torturer sur ce que je faisais de mal”. Louise, 32 ans: “Le concept de la loi de l’esprit”“Une amie proche m’a un jour initiée au concept de la ‘loi de l’esprit’. Pendant nos périodes de célibat, on subit la loi de l’esprit, qui fait qu’on garde la dernière personne qui a compté en tête. Et bien, ce n’est pas parce qu’on y pense qu’on est forcément folle amoureuse d’elle, c’est aussi souvent que ton esprit a besoin de meubler et garde le dernier mec, la dernière fille que tu as apprécié·e au premier plan.À partir du moment où j’ai compris ça, ça m’a permis de dédramatiser. On n’a pas laissé partir le mec de sa vie, c’est juste qu’il n’y a personne d’autre à ce moment-là et ton cerveau te joue des tours. Ça vaut aussi dans le sens où si tu vois toujours un mec, impossible de te le sortir de la tête. Il faut couper les ponts pour passer à autre chose.”Maeva, 31 ans : “On ne sait si c’est l’homme de sa vie qu’à la fin”“C’était il y a quelques années, j’étais séparée de mon copain avec qui j’avais passé presque dix ans, car je n’étais plus sûre de moi. Je regardais A Star is Born (que j’ai trouvé chiant soit dit en passant) et quand Lady Gaga chante ‘Don’t wanna know another kiss, Don’t wanna feel another touch’, ça m’a fait pleurer. Je me suis rendu compte qu’en fait, ça y est, j’avais fait le tour en m’amusant et que c’était lui que je voulais. Sauf que lui ne voulait plus de moi. Un déclic à l’issue peu positive sur le coup.Heureusement, quelques mois plus tard, on s’est remis ensemble, et on a décidé d’acheter un appartement à deux. J’ai eu des doutes, je me suis demandé si c’était bien d’acheter avec lui car je ne savais pas si c’était lui, l’homme de ma vie? Et la mère d’une amie m’a dit quelque chose que j’ai trouvé bien. ‘On ne sait si c’est l’homme de sa vie qu’à la fin de sa vie, pas avant de l’avoir vécue’. Dans son exemple à elle, elle était persuadée que son ex-mari était l’homme de sa vie alors que pas du tout. Et ça m’a vraiment rassurée : on ne peut pas savoir à l’avance, il faut essayer et se lancer. Depuis, tout va bien.” Thomas, 34 ans: “Ma sœur m’a aidé à changer de perspective”“Je crois que le meilleur conseil qu’on m’ait donné, c’est ma grande sœur qui vivait à New York à l’époque. Ça faisait quelques mois que je n’étais plus avec mon ex, j’étais à fond sur une autre fille et j’avais commencé à revoir une ancienne copine parce que la fille en question n’était pas du tout à fond sur moi. Je ne trouvais pas de boulot, je voyais les mêmes gens, je faisais les mêmes soirées, donc je tournais en rond. Et ma grande sœur m’a dit: ‘Viens vivre quelques mois à New York chez moi’.Ça a été l’une des meilleures expériences de ma vie et c’est là où j’ai rencontré ma copine, avec qui je suis depuis six ans. Ce n’est pas tant New York en elle-même qui m’a aidé que le fait de changer de perspective. Et aussi, de sortir de la pression sociale. Car en débarquant dans une nouvelle ville sans connaître personne, tout le monde se fiche de ce que tu fais au quotidien, et ça m’a libéré. Au point que j’étais dans un état d’esprit beaucoup plus adapté à rencontrer quelqu’un”.Gabrielle, 27 ans: “J’ai pu faire confiance en l’amour que les gens me portent”“Il y a quelques années, je discutais avec ma psy de ma vie sentimentale et des relations qui m’attristaient profondément. Elle a analysé que, plutôt que les comportements d’ex-copains, c’était à cause de ma peur de l’abandon que j’avais aussi mal. Je ne souffrais pas de la perte d’une personne dans mon quotidien, mais plutôt de ce qu’être quittée ou déçue renvoyait à mon histoire personnelle. Le fait d’avoir mis le doigt là-dessus m’a permis de prendre du recul sur mes amours, et leur importance.Plus tard, ça a eu une réelle répercussion dans mes relations, et pas uniquement amoureuses. J’ai pu remettre en perspective ce que je ressentais. Réaliser que ces émotions étaient parfois disproportionnées par rapport aux agissements des personnes. En fait, ça m’a appris à faire confiance en l’amour que les gens me portent.”Mélodie, 24 ans: “Tu n’as pas envie d’être avec quelqu’un qui ne veut pas de toi”“Je passais par un énième échec amoureux que j’avais du mal à avaler, et mon frère m’a dit un truc que j’ai vécu comme une illumination. ‘Si quelqu’un ne veut pas être avec toi, il ne faut pas se torturer parce que toi non plus, tu n’as pas envie d’être avec quelqu’un qui ne veut pas être avec toi’. J’étais célibataire à l’époque, je venais tout juste de me séparer de mon ex, et ça m’a aidée à mieux vivre cette rupture-là.Plus tard, ça m’a aussi permis de mieux encaisser les quelques râteaux que j’ai enchaînés avant de rencontrer mon copain. J’ai réalisé que l’important, c’était ce que moi je voulais et je n’avais pas à me plier aux autres pour leur plaire”.Étienne, 26 ans: “J’ai compris que tout ne pouvait pas être rationalis锓Il y a deux ans, j’avais du mal à construire une relation stable. J’allais d’histoire en histoire, aucune ne fonctionnant réellement. J’habite en Angleterre et comme mes ‘copines’ finissaient toujours par partir du pays, je me convainquais que c’était la distance qui était à l’origine de ces échecs. Quand j’ai parlé de ça à ma psy, elle m’a confrontée au fait que j’utilisais certainement l’argument de la distance pour expliquer plein de choses qui ne marchaient pas. Et ça a un peu été une épiphanie, ça m’a fait réaliser que je cherchais à tout prix à ce qu’il y ait un enchaînement de causes à effet clair. À tout rationaliser.On est abreuvés de récits, de films, de séries, de livres, où tout est linéaire et tout a un sens. Et ce n’est pas vrai. Souvent, les choses sont plus troubles. Trouver des raisons à tout - et surtout à ce qui ne fonctionne pas, ce qui nous blesse - n’est pas toujours une bonne approche. Parfois, ça ne marche pas et c’est comme ça. On ne peut pas toujours avoir de ‘clôture’ déterminée de chaque rencontre, de chaque relation. Aujourd’hui je laisse plus les choses se passer comme elles sont, sans chercher à me poser de questions, je ne suranalyse plus tout. Et c’est libérateur.”Stéphanie, 33 ans: “Ma tante m’a poussée à accepter au lieu de haïr”“Ma tante m’a dit, quand j’étais complètement paumée et que je souffrais de mes relations présentes et passées, que je ne devais pas essayer de comprendre. Qu’il ne fallait pas haïr mais plutôt accepter, remercier et transformer les énergies négatives. À partir du moment où j’ai vu les choses différemment, où j’ai compris qu’il s’agissait en fait de prendre soin de moi et d’accepter de m’aimer, j’ai pu prendre les bonnes décisions.”Madeleine, 30 ans: “Mon gynéco m’a encouragée à m’écouter”“Après ma séparation avec mon copain de longue date, c’est mon gynéco qui m’a secoué les puces. Il m’a dit que si je n’avais pas confiance en moi sur le fait que je pouvais faire de nouvelles rencontres, que je me persuadais que ça prendrait du temps d’être heureuse, que si je m’apitoyais sur mon sort et sur une rupture à 26 ans, personne n’aurait envie d’être autour de moi. À l’époque, je ne dormais plus la nuit, je faisais de l’anxiété, des crises de panique. Il m’a dit : ‘Vous pourriez prendre des demi Xanax pour dormir oui, mais ce n’est pas ça votre souci. C’est votre peur de la solitude’.Lire la suite sur:À voir également sur Le HuffPost: Comment cette avocate a pris conscience des stéréotypes sur le handicap après un amour de jeunesse
https://www.huffingtonpost.fr/entry/10-personnes-partagent-le-meilleur-conseil-en-amour-quon-leur-ait-donne_fr_609e514de4b069dc48f9d74cLIFE
Prince Harry s'est fait un ami très célèbre dans son chic quartier
À peine installé en Californie et déjà ami avec les stars du coin ! C'est un peu ce qui est en train de se passer...
https://www.purepeople.com/article/prince-harry-s-est-fait-un-ami-tres-celebre-dans-son-chic-quartier_a436108/1People
Toujours aucune trace du meurtrier des Cévennes, en fuite depuis trois jours
Le double meurtrier des Cévennes était toujours introuvable vendredi à la mi-journée et aucune trace de sa présence n'a pu être relevée.
https://www.parismatch.com/Actu/Faits-divers/Toujours-aucune-trace-du-meurtrier-des-Cevennes-en-fuite-depuis-trois-jours-1737843Actu
Loana enceinte ? Après la rumeur, Sylvie Ortega descend la star : "Elle est délirante"
Alors que Loana a accusé Sylvie Ortega d'avoir lancé une rumeur comme quoi elle attendrait un enfant d'Eryl Prayer, son ancienne agente a tenu à répondre et n'a pas hésité à la tacler...
https://www.programme-television.org/news-tv/Loana-enceinte-Apres-la-rumeur-Sylvie-Ortega-descend-la-star-Elle-est-delirante-4672936Télévision