Archive Actualités du Samedi 16 Octobre 2021
Coronavirus en Martinique : Affrontements entre manifestants et forces de l'ordre au CHU
Trois personnes ont été interpellées et quatre gendarmes blessés
https://www.20minutes.fr/societe/3149843-20211016-coronavirus-martinique-affrontements-entre-manifestants-forces-ordre-chu#xtor=RSS-149Société,Coronavirus,Martinique
Jessica Thivenin et Thibault Garcia dévoilent enfin le visage de leur fille Leewane
Sur leurs comtpes Instagram, samedi 16 octobre 2021, Jessica Thivenin et Thibault Garcia ont enfin révélé le visage...
https://www.purepeople.com/article/jessica-thivenin-et-thibault-garcia-devoilent-le-visage-de-leur-fille-leewane_a459037/1People
Robert Ménard implore Éric Zemmour et Marine Le Pen de s'unir pour la présidentielle
POLITIQUE - Le maire d’extrême droite de Béziers (Hérault) Robert Ménard, qui avait invité le polémiste Éric Zemmour ce samedi 16 octobre, l’a imploré, ainsi que Marine Le Pen (RN), à “se retrouver en février prochain” pour s’unir avant la présidentielle.“Faire l’union des droites, c’est être capable de faire passer la France avant l’ego des uns et des autres”, a plaidé Robert Ménard devant 1200 personnes réunies dans une salle de Béziers pour voir Éric Zemmour.“Je demanderai, je souhaiterai, j’implorerai, que vous deux, toi et Marine, Marine et toi, de se retrouver en février prochain, chacun sait que c’est à ce moment-là que les choses se cristallisent”, a-t-il demandé.Robert Ménard, qui avait déjà promis de soutenir Marine Le Pen en 2022, a demandé qu’à cette échéance de février “celui qui à ce moment-là sera derrière l’autre accepte de se retirer”.Après son intervention, Éric Zemmour, dont la candidature à l’élection présidentielle est toujours hypothétique, a remercié Robert Ménard de ses “sages conseils”.“Mais nous sommes en octobre, nous ne sommes pas encore en février”, a-t-il ajouté. “J’ai un peu de mal à me retirer alors que je ne me suis pas encore présenté”.Après Nîmes et Montpellier, Éric Zemmour a été reçu à Béziers ce samedi après-midi. D'abord à la mairie, par Emmanuelle et Robert Ménard. Puis par plus de 1000 personnes qui se sont massées dans la salle Zinga Zanga. https://t.co/m77lTb1c9xpic.twitter.com/VW1LN4L7Z6— Midi Libre Béziers (@MLBeziers) October 16, 2021“L’élection présidentielle (...) ce n’est pas une élection pour être Premier ministre”“Ce n’est pas mon sujet. Mon sujet, c’est défendre mes idées et être entendu par un maximum de gens. Je ne suis pas dans une logique partisane. L’élection présidentielle au suffrage universel ce n’est pas une élection pour être Premier ministre”, a-t-il ensuite développé devant un groupe de journalistes qui l’interrogeaient sur l’appel que lui a lancé Robert Ménard.“Quand je dis Marine Le Pen ne gagnera jamais, je dis ce que tout le monde sait (...) Avant que je ne sois pris en compte par les sondages, on avait une Marine Le Pen très haut mais incapable de gagner le second tour et on avait un candidat de droite incapable d’atteindre le second tour car Marine Le Pen était trop haute. Et M. Macron attendait tranquillement son second tour (...) et il allait gagner. C’est ça que ma présence a bouleversé”, a-t-il ajouté, sans vouloir dire s’il sera ou non candidat.Éric Zemmour talonne Marine Le Pen dans le sondage Ifop Fiducial pour Le Figaro publié vendredi, derrière Emmanuel Macron, toujours en tête dans les intentions de vote.Lundi, plusieurs personnalités du Rassemblement national (RN) avaient appelé Éric Zemmour à “ne pas diviser le camp national” face au “fossoyeur” Emmanuel Macron.Fréquemment poursuivi en justice pour des déclarations controversées, Éric Zemmour a été plusieurs fois relaxé mais aussi condamné pour provocation à la discrimination raciale en 2011 et pour provocation à la haine envers les musulmans en 2018.À voir également sur Le HuffPost: Les fans de Zemmour reprennent sans filtre son discours anti-islam
https://www.huffingtonpost.fr/entry/robert-menard-implore-eric-zemmour-et-marine-le-pen-de-sunir-pour-la-presidentielle_fr_616b2307e4b0931431fe313dPOLITIQUE,Zemmour
Hommage à Samuel Paty: à Conflans-Sainte-Honorine, ils racontent pourquoi ils sont venus marcher
HOMMAGE - “On se doit d’être là pour dire qu’on est contre et que ça ne doit plus se passer comme ça.” Comme cette parente d’élève, des centaines de personnes sont venus marcher, ce samedi 16 octobre, dans les rues de Conflans-Sainte-Honorine dans les Yvelines où Samuel Paty enseignait au collège.Comme vous pouvez le voir dans notre vidéo, des habitants, de nombreux parents et élèves ainsi que des élus ont participé à cette marche en mémoire de l’enseignant. “C’est un symbole de l’unité”, nous explique un participant de confession musulmane. “Chaque citoyen, quels que soient ses convictions, son parcours, on se doit d’être solidaire de ses compatriotes meurtris”.Des hommages pour faire front et ne pas oublier. Une habitante confie émue que “c’était un homme qui faisait son travail et qui s’occupait bien des enfants dont on lui avait confié la mission d’apprendre ce que c’est la laïcité”, avant d’ajouter “qu’on a le droit de ne pas être d’accord, mais on ne tue pas pour ça.”Se battre pour la liberté d’expressionLe professeur d’histoire-géographie avait été poignardé et décapité en pleine rue l’après-midi du 16 octobre 2020 par un terroriste tchétchène qui lui reprochait d’avoir montré des caricatures de Mahomet en classe.Un an plus tard, un jeune homme, participant à la marche, dit craindre que “le combat ne soit pas fini”. Selon lui, “il y a encore des professeurs et élèves qui ne peuvent pas s’exprimer comme ils veulent. Il faut encore se battre pour la liberté d’expression.”Le cortège a ensuite rejoint la place de la liberté où plusieurs prises de parole ont eu lieu, un monument en forme de livre ouvert, ayant pour thème la liberté d’expression a été dévoilé au public.À Paris, c’est un square au nom de l’enseignant qui a été inauguré dans la soirée. “Square Samuel Paty. 1973-2020. Professeur d’histoire-géographie assassiné le 16 octobre 2020, victime du terrorisme islamiste”, peut-on lire sur la plaque.Avec @Anne_Hidalgo , les élus de Paris et la famille de Samuel Paty pour inaugurer le square qui porte désormais son nom en face de La Sorbonne.Un lieu emblématique pour celui qui faisait profession d’enseigner et de transmettre les valeurs de liberté. https://t.co/tobeuu7PxI— Jean-Michel Blanquer (@jmblanquer) October 16, 2021La cérémonie s’est déroulée en présence de Anne Hidalgo, des ministres de l’Éducation Nationale et de l’Enseignement Supérieur, d’une quinzaine d’élus parisiens et de la comédienne Sophia Aram, qui a rédigé un texte adressé aux anciens élèves de Samuel Paty à la demande de sa famille.À voir également sur Le HuffPost: Blanquer favorable à ce que chaque département nomme un établissement “Samuel Paty”LIRE AUSSI:Corbière répond à l'avalanche de critiques pour ces propos sur les caricatures à l'écoleL'émouvante lettre de Sophia Aram aux élèves de Samuel Paty
https://www.huffingtonpost.fr/entry/hommage-a-samuel-paty-a-conflans-sainte-honorine-ils-nous-confient-pourquoi-ils-sont-venus-marcher_fr_616afc82e4b005b245bdc2d7Actualités
Attaque en Norvège : La conversion à l'islam du tueur à l'arc en question
Espen Andersen Bråthen a tué cinq personnes avec un arc mercredi en Norvège
https://www.20minutes.fr/monde/3149775-20211016-attaque-norvege-conversion-islam-tueur-arc-question#xtor=RSS-149Monde
Courbet déchaîné, Macron footballeur, les larmes de Jarry : Le zapping Pure Médias
"La Veille Pure Médias" vous propose une sélection des moments forts de ces derniers jours à la télévision.
https://www.ozap.com/actu/courbet-dechaine-macron-footballeur-les-larmes-de-jarry-le-zapping-pure-medias/609510Télévision,Football,Médias,Zapping
Lyon / Monaco : sur quelle chaîne et à quelle heure voir le match en direct ?
La 10ème journée de Ligue 1 se poursuit ce samedi 16 octobre : l'Olympique Lyonnais reçoit l'AS Monaco au Groupama Stadium. Sur quelle chaîne et à quelle heure voir le match en direct ?
https://www.programme-television.org/news-tv/Lyon-Monaco-sur-quelle-chaine-et-a-quelle-heure-voir-le-match-en-direct-4678482Télévision
Hommage à Samuel Paty: Blanquer et Castex dévoilent une plaque
VICTIME DU TERRORISME - Un moment de souvenir et de recueillement national. Ce samedi 16 octobre, un an jour pour jour après l’assassinat de Samuel Paty -coupable selon son agresseur d’avoir montré des caricatures de Mahomet en classe- le Premier ministre Jean Castex et le ministre de l’Éducation Jean-Michel Blanquer ont dévoilé une plaque en son hommage au ministère de la rue de Grenelle. Un objet sur lequel on peut lire: “Hommage à Samuel Paty, professeur d’Histoire-géographie et d’enseignement moral et civique, assassiné par un terroriste islamiste pour avoir enseigné et défendu les valeurs de la République dont la liberté d’expression”. Dans la foulée, Jean Castex a rendu hommage au professeur en le présentant comme “un serviteur de la République (...) victime du terrorisme islamiste et de la lâcheté humaine”.“Rien ne saurait être pire que l’oubli” Samuel Paty a été “frappé à mort dans les conditions les plus abjectes qui soient au nom de l’obscurantisme le plus barbare, tout simplement parce qu’il remplissait sa mission dans un de ces collèges de France”, a affirmé le chef du gouvernement lors de ce premier hommage au ministère de l’Education, avant une journée qui verra également des cérémonies à l’Élysée et dans la ville où le professeur enseignait. “Rendre hommage à Samuel Paty c’est rendre hommage à la République”, a-t-il ajouté en présence de la famille de la victime et de nombreux anciens ministres de l’Éducation (Vincent Peillon, Luc Chatel, Jack Lang, Jean-Pierre Chevènement, Luc Ferry, Lionel Jospin, Najat Vallaud-Belkacem et Benoît Hamon). EN DIRECT | Hommage à Samuel Paty. https://t.co/IGoh4vYnum— Gouvernement (@gouvernementFR) October 16, 2021“Rien ne saurait être pire que l’oubli”, a insisté Jean Castex, partageant son émotion face à la famille de l’enseignant d’Histoire-géographie, sauvagement assassiné le 16 octobre 2020 (poignardé et décapité) à Eragny-sur-Oise, dans le Val-d’Oise, tout près de son collège de Conflans-Sainte-Honorine, pour avoir montré des caricatures à ses élèves lors d’un cours sur la liberté d’expression.“Nous devons tous les jours rester fidèles à la mémoire de Samuel Paty en nous engageant toutes et tous à servir et à défendre aux côtés de nos enseignants, que nous avons le devoir de ne pas laisser seuls face à ces circonstances, ces valeurs fédératrices et plus modernes que jamais inscrites au frontispice de nos écoles qui ont pour nom ‘Liberté, égalité fraternité’”, a-t-il déclaré.“Un emblème pour la liberté, pour la République”“Samuel Paty a été victime du terrorisme islamiste et de la lâcheté humaine (...) Rendre hommage au professeur Paty, c’est aussi faire prospérer plus que jamais le projet républicain”, “le plus prometteur rempart contre toutes les barbaries”.Plus tôt dans la matinée, au micro de France 2, le ministre Jean-Michel Blanquer avait expliqué que le professeur Paty était un “emblème pour la liberté, pour la République, et pour cela, il faut montrer une forme de force et de sérénité.” Une manière de marteler l’importance de cette journée d’hommages. Hommage à Samuel Paty Professeur d’histoire – géographie et d’éducation morale et civique, assassiné le 16 octobre 2020 pour avoir enseigné et défendu les valeurs de la République dont la liberté d’expression pic.twitter.com/ypwbfQu44g— Ministère Éducation nationale, Jeunesse et Sports (@education_gouv) October 16, 2021“Cet hommage, qui a commencé hier, est là pour montrer qu’il y a une force des bonnes valeurs, c’est-à-dire les valeurs de la France et de la République”, a-t-il ajouté. Des millions d’élèves en France ont célébré vendredi la mémoire du professeur d’histoire-géographie, à travers une minute de silence, un chant, un débat sur la liberté d’expression.De rares incidents ont été recensés, selon Jean-Michel Blanquer, qui avait prévenu qu’en cas de perturbations lors des hommages les concernés seraient “sanctionnés”. “On a recensé 98 incidents (...) Ce sont des incidents de nature variable: des interruptions pendant les hommages, un élève qui dit n’importe quoi ou un élève qui est menaçant. Tout ceci reste des cas très isolés et que nous traitons, il y a un suivi”, a-t-il précisé.Un square Samuel Paty inauguré à ParisSamedi soir, un square au nom de Samuel Paty a été inauguré face à La Sorbonne en présence de sa famille, dernière séquence d’une journée d’hommages un an jour pour jour après l’attentat.Avec @Anne_Hidalgo , les élus de Paris et la famille de Samuel Paty pour inaugurer le square qui porte désormais son nom en face de La Sorbonne.Un lieu emblématique pour celui qui faisait profession d’enseigner et de transmettre les valeurs de liberté. https://t.co/tobeuu7PxI— Jean-Michel Blanquer (@jmblanquer) October 16, 2021 La place située entre La Sorbonne et l’hôtel de Cluny avait été bouclée par la police pour cet hommage en présence des ministres de l’Education Jean-Michel Blanquer et de l’Enseignement supérieur Frédérique Vidal, d’une quinzaine d’élus parisiens et de la comédienne Sophia Aram, qui a rédigé un texte adressé aux anciens élèves de Samuel Paty à la demande de sa famille. “One”, la chanson de U2 appréciée de Samuel Paty, a de nouveau retenti. Le titre du groupe de rock irlandais avait déjà accompagné l’hommage national organisé dans la cour de la prestigieuse université le 21 octobre 2020. À voir également sur le HuffPost: “Le mal est en nous”: l’émotion de Macron à l’évocation de Samuel Paty et du terrorismeLIRE AUSSI:Samuel Paty raconté par ceux qui le connaissaient"Ce 15 octobre, je rends hommage à Samuel Paty avec mes élèves, comme tous les jours"
https://www.huffingtonpost.fr/entry/hommage-a-samuel-paty-blanquer-et-castex-devoilent-une-plaque_fr_616a9780e4b00cb3cbd3415bActualités
Chicago - Hard Habit To Break (Official Music Video)
https://www.youtube.com/watch?v=_aCAZNcTVeoMusique
Samuel Paty - Tous les établissements scolaires de France vont rendre hommage aujourd'hui sous différentes formes au professeur tué pour avoir montré des caricatures de Mahomet
12h53: "La mémoire de Samuel Paty en aucun cas ne sera oubliée", déclare le Ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer12h21: Le point à la mi-journéeTout au long de la journée de vendredi, écoliers, collégiens et lycéens rendent hommage à Samuel Paty, tué il y a un an pour avoir montré en classe des caricatures de Mahomet. Minute de silence, débats en classe, projection de documentaires autour de la laïcité... Charge aux équipes pédagogiques de décider du contenu de cet hommage."Les établissements ont la liberté de s'organiser. Cela pourra prendre la forme d'échange, de discussion. C'est l'occasion de parler de la place du professeur, du savoir", a expliqué jeudi le ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer.A Villeneuve-d'Ascq, près de Lille, des élèves de 1ère générale du lycée Raymond-Queneau ont échangé pendant une heure vendredi matin autour de la liberté d’expression, lors d’un cours d’EMC (éducation morale et civique)."Qu’est-ce pour vous la liberté d’expression? Est-ce que vous vous sentez libres de vous exprimer dans la vie de tous les jours sans blesser les autres? A-t-on le droit de blasphémer?", demande Anne-Sophie Branque, professeure d’histoire-géographie, à sa classe d’une vingtaine d'élèves de 15 ans."Samuel Paty avait fait un cours en parlant du prophète", avance Chaymae, une élève de la classe. "Non, il a fait un cours sur la liberté d'expression en utilisant des caricatures de Charlie Hebdo en tant qu'exemple", reprend la professeure. "Attention à ce que vous avez comme information. Il ne faut surtout pas faire d’amalgame. On a dans nos cours la liberté pédagogique. Samuel Paty a fait son cours sans offenser l'autre", a-t-elle insisté auprès de la classe.Le contenu de cette heure de cours dépend aussi "de l'âge des élèves. Pour des élèves assez jeunes, ça sera plutôt des choses du type: +Quel est la place du professeur pour vous?+ (...) Plus l'élève est grand, plus c'est facile de parler d'esprit critique", précise le ministère, soulignant qu'"en général, c’est à partir du CP qu’on peut faire ce genre d’hommage". Il est "extrêmement difficile" d’expliquer aux enfants ce qui s’est passé le 16 octobre 2020 mais "c’est important de dire la vérité aux enfants", selon la ministre de l'Enseignement supérieur Frédérique Vidal, interrogée sur Franceinfo.En revanche, Jean-Michel Blanquer a déjà prévenu: si ces hommages venaient à être "perturbés", les élèves concernés seraient "sanctionnés", a-t-il insisté au micro de RMC jeudi.11h12: "C'est important de dire la vérité aux enfants, il faut leur dire qu'il s'est passé quelque chose de terrible", déclare Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation au micro de France Info.10h32 La grande mosquée de Paris a fait savoir à l'AFP que son recteur et ses imams se recueilleraient dans la matinée devant le collège de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) où enseignait Samuel Paty.08h00: Tous les établissements scolaires de France vont rendre hommage aujourd'hui sous différentes formes au professeur d'histoire-géographie, Samuel Paty, tué pour avoir montré des caricatures de Mahomet en classe.Minute de silence, débats en classe, projection de documentaires autour de la laïcité Charge aux équipes pédagogiques de décider du contenu de cet hommage. "Les établissements ont la liberté de s'organiser. Cela pourra prendre la forme d'échange, de discussion. C'est l'occasion de parler de la place du professeur, du savoir", a expliqué jeudi le ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer.La commémoration de l'assassinat de Samuel Paty, il y a un an, "est l'occasion d'un temps de réflexion et d'échanges avec les élèves.Ce temps pourra notamment prendre la forme, à partir du cycle 3 [CM1, CM2, 6e] d'une séquence spécifique sur la construction de l'esprit critique, ainsi que sur le métier de professeur, son rôle et sa légitimité", selon le site Eduscol, qui fournit des contenus pédagogiques aux enseignants.Le contenu de cette heure de cours dépendra aussi "de l'âge des élèves. Pour des élèves assez jeunes, ça sera plutôt des choses du type : +Quel est la place du professeur pour vous?+ () Plus l'élève est grand, plus c'est facile de parler d'esprit critique", précise le ministère, soulignant qu'"en général, c’est à partir du CP qu’on peut faire ce genre d’hommage".En revanche, Jean-Michel Blanquer a déjà prévenu : si ces hommages venaient à être "perturbés", les élèves concernés seront "sanctionnés", a-t-il insisté au micro de RMC jeudi.Le ministre a rappelé que de telles sanctions avaient dû être aussi appliquées l'année dernière, peu après l'assassinat. "Des problèmes il y en a eu, mais au moins ils sont signalés. Ils sont aussi circonscrits.Quand on pense aux dizaines de milliers de lieux où cela a été fait, c’est évidemment un pourcentage très faible. Mais là où c’est fait, c’est signalé et sanctionné", a-t-il ajouté. - "Emotion qui remonte" -Mercredi déjà, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin avait appelé les préfets à une "vigilance totale" lors de cet hommage, et plus particulièrement "dans et aux abords des établissements scolaires". La grande mosquée de Paris a indiqué à l'AFP que son recteur et ses imams se recueilleront vendredi matin devant le collège de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) où enseignait Samuel Paty.Du côté des enseignants, Sophie Vénétitay, secrétaire générale du Snes-FSU, premier syndicat du secondaire (collèges et lycées), explique qu'on "sent beaucoup d'émotion qui remonte chez les profs à la veille de cet hommage, face aux souvenirs et au choc que cela a représenté"."Il y a une volonté des enseignants de vouloir lui rendre hommage dignement", dit-elle. Samedi, "dans l’entrée même du ministère, une plaque qui pour toujours rendra hommage à Samuel Paty sera inaugurée.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-477286-en-direct-samuel-paty-tous-les-etablissements-scolaires-de-france-vont-rendre-hommage-aujourd-hui-sous-differentes-formes-au-professeur-tue-pour-avoir-montre-des-caricatures-de-mahomet.html
Finistère - Fourgonnette a en effet été retrouvée sur le toit d’un Abribus : On sait en fin ce qui s'est vraiment passé et comment elle est arrivée là !
La commune de Plounéventer, dans le nord du Finistère, a été le théâtre d’une aventure aussi insolite que mystérieuse. Une fourgonnette a en effet été retrouvée garée... sur le toit d’un Abribus. Après plusieurs jours d'enquête, l'auteur des faits a été identifié. La photo de cette scène surréaliste, qui n'est pas un montage, avait fait le tour des réseaux sociaux.C’est dans la matinée du lundi 11 octobre 2021, que les habitants de la commune avaient pu découvrir ce véhicule perché dans les airs. Le cliché, qui a été beaucoup relayé, a aussi fait l’objet de détournements comme celui de la page Instagram Memes de Brest, qui surfe sur le mythe de l’alcoolisme breton.L'utilitaire blanc a été descendu de son piédestal dans la journée de lundi par les services communaux.La gendarmerie de Landivisiau a ensuite réussi à identifier le propriétaire du véhicule, un homme issu de la communauté des gens du voyage, mais pas l'auteur ni le motif de cette mauvaise blague. Selon les informations du Télégramme, l'auteur des faits, un agriculteur, a été identifié par la gendarmerie. Après un «conflit commercial» lié à une vente de voiture, l'individu se serait vengé en déposant la fourgonnette de son voisin sur un Abribus à l'aide d'un transpalette. La mairie de la commune de Plounéventer ne portera pas plainte, mais une procédure sera engagée pour mise en danger.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-477262-finistere-fourgonnette-a-en-effet-ete-retrouvee-sur-le-toit-d-un-abribus-on-sait-en-fin-ce-qui-s-est-vraiment-passe-et-comment-elle-est-arrivee-la.html
Bien-être animal : L214 manifeste devant plusieurs restaurants Burger King pour dénoncer les pratiques d’élevage des poulets vendus dans ses fast-food - VIDEO
Ce vendredi, L214 lance une campagne d’ampleur contre Burger King, pour convaincre l'enseigne "de s'engager contre les pires pratiques d'élevage et d'abattage des poulets", explique l'association. Cette dernière organise une mobilisation devant le siège parisien de l'enseigne et devant ses restaurants partout en France, la diffusion d'une vidéo satirique et la signature d'une pétition en ligne : "L214 entend alerter les consommateurs sur les pratiques de Burger King."Dans un communiqué de presse, L214 explique: "Tandis que ses concurrents KFC, Subway, ainsi que de nombreuses autres enseignes de la restauration ont déjà pris l’engagement de bannir le pire de l’élevage intensif de leurs approvisionnements en viande de poulet en appliquant les mesures du European Chicken Commitment, Burger King s’y refuse toujours et continue de s’approvisionner auprès des pires élevages intensifs."Et d'ajouter: "Baisse des densités dans les élevages, races de poulets à croissance moins rapide, lumière naturelle, enrichissement du milieu de vie, abandon de l’accrochage des poulets encore conscients à l’abattoir : ces mesures soutenues par une trentaine d’associations européennes sont pourtant un strict minimum."L214 diffuse dès aujourd'hui une vidéo satirique dans laquelle le groupe, qui se présente comme le « roi du burger », apparaît comme étant avant tout le « Roi de la Cruauté » envers les poulets.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-477289-bien-etre-animal-l214-manifeste-devant-plusieurs-restaurants-burger-king-pour-denoncer-les-pratiques-d-elevage-des-poulets-vendus-dans-ses-fast-food-video.html
17 octobre 1961: Sortir durablement du déni mémoriel
En septembre 2018, la reconnaissance par Emmanuel Macron de la responsabilité de la France dans la mort de Maurice Audin, militant de la décolonisation assassiné par l’armée française, avait permis de nourrir des espoirs. Après le premier pas fait par François Hollande en 2012 - il avait parlé en 2012 des “souffrances de la colonisation”, avec notamment les massacres de Sétif, Guelma et Kherrata, ainsi que de l’usage de la torture dans les rangs français - nous nous acheminions un peu plus vers la reconnaissance des crimes commis pendant la guerre d’Algérie, et plus largement des atrocités de la colonisation. En parlant, vis-à-vis de l’Algérie, d’une prétendue “rente mémorielle”, le Président de la République a fait deux pas en arrière. Il a surtout prouvé avec fracas à quel point propager ce type de pensée est non seulement contre-productif, mais peut devenir dangereux. Car, non, le devoir de mémoire n’est pas une rente ni un abaissement, mais bien une condition du mieux vivre ensemble dans notre société. Ce samedi, Emmanuel Macron s’est semble-t-il finalement décidé à refaire un pas en avant, en reconnaissant des “crimes inexcusables pour la République” et en déposant une gerbe près du Pont de Bezons, où la répression du 17 octobre 1961 a là-aussi tué. Tant mieux!L’histoire de tousIl est désormais impératif d’en finir avec cet “en-même-temps” variant en fonction des publics et des auditoires, et d’entrer durablement dans l’âge de la maturité mémorielle. C’est à cette seule condition que nous pourrons poser durablement des actes pour permettre à la France et à l’Algérie de regarder leur passé en face, et de mieux envisager leur futur ensemble.Car, au fond, l’erreur consisterait à croire que la mémoire de la guerre d’Algérie ne concerne qu’une génération de personnes qui auraient connu ces crimes, ou les auraient vécus de près, avec cette idée selon laquelle on ne pourrait pas en parler sans porter atteinte à telle ou telle partie de la population française. Je crois au contraire que cette histoire appartient à toutes celles et ceux qui vivent dans notre pays. Le rapport particulièrement éclairant de l’historien Benjamin Stora, avec des propositions à la fois fortes et sensées, doit maintenant être suivi d’effets dans sa globalité. Mettons en avant les faits, précis, reconnaissons les discriminations et les exactions dont ont été victimes les populations algériennes. Rendons hommage aux grandes figures du combat algérien pour l’indépendance.Faisons entrer au Panthéon Gisèle Halimi, immense avocate et militante contre la guerre et pour l’indépendance de l’Algérie. Je regrette que le président Macron y ait pour le moment renoncé, et je crois fermement que la “panthéonisation” de celle qui est à la fois un symbole de l’anticolonialisme et du féminisme serait un signal très fort, notamment pour les jeunes générations. Accordons, dans les programmes scolaires, plus de place à l’histoire coloniale de la France en Algérie, en généralisant cet enseignement à l’ensemble des élèves. Donnons aux rues de notre pays des noms de Françaises et de Français aux parcours particulièrement remarquables et issu·e·s des anciennes colonies françaises.La construction d’une mémoire commune et apaiséeExigeons, comme je le réclame depuis des années, la création d’une journée nationale de commémoration de la guerre d’Algérie et des crimes de la décolonisation. En Seine-Saint-Denis, département fortement marqué par les événements du 17 octobre 1961, nous prenons déjà toute notre part à l’effort de commémoration. Dès 2018, nous avons été le premier Département à mettre en place un cycle durable de commémorations, avec des tables-rondes d’historien·ne·s, des ateliers avec des collégien·ne·s et des usager·e·s de centres sociaux, des projections de films. En 2021, pour le soixantième anniversaire du 17 octobre 1961, nous allons renforcer ces actions en multipliant les projets éducatifs dédiés, en faisant davantage encore pour que l’art et la culture concourent à l’information et la transmission auprès du plus grand nombre.60 ans après, je formule le souhait que le président de la République engage enfin notre pays dans la construction d’une mémoire commune et apaisée. Car comme le disait Alexis de Tocqueville, “quand le passé n’éclaire plus l’avenir, l’esprit marche dans les ténèbres”.A voir également sur Le HuffPost: Macron “demande pardon” aux harkis au nom de la France
https://www.huffingtonpost.fr/entry/17-octobre-1961-sortir-durablement-du-deni-memoriel_fr_616aef44e4b079111a4a7f60POLITIQUE
L'équipe Macron a "trahi" Bayrou en 2017 et tenté de l'acheter, affirment les journalistes Davet et Lhomme
POLITIQUE - “Trahi” par l’équipe d’Emmanuel Macron sur la place du MoDem à l’Assemblée en 2017, son allié François Bayrou s’est vu proposer un dédommagement financier qu’il a refusé, affirment les journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme dans leur livre Le traître et le néant.Les auteurs, qui précisent avoir prévenu la centaine d’interlocuteurs qu’ils enregistraient leurs entretiens, citent François Bayrou expliquant qu’il a passé un accord avec Emmanuel Macron peu de temps après son élection en mai 2017 pour se répartir les 577 circonscriptions, dont 144 pour le MoDem.Mais le lendemain, le secrétaire général du parti LREM Richard Ferrand n’annonce que 16 circonscriptions pour le MoDem. François Bayrou voit rouge mais Emmanuel Macron reste silencieux. François Bayrou “est revenu à la charge et puis finalement il a grappillé” des circonscriptions et obtenu une cinquantaine de sièges de députés, résument les auteurs auprès de l’AFP.Surtout, certains macronistes ont “sous-entendu qu’ils pouvaient payer, nous donner de l’argent pour compenser”, écrivent Gérard Davet et Fabrice Lhomme en citant François Bayrou qui calcule, selon eux, la somme de “quatre millions d’euros”.Interrogé par l’AFP, l’entourage de Richard Ferrand, devenu depuis président de l’Assemblée nationale, dit qu’il n’est “pas au courant” qu’un tel marché ait pu être proposé.“Il y a eu ce moment de tension autour du nombre de députés que nous allions avoir et en effet des mots malheureux ont été prononcés en disant ‘si vous n’avez le nombre de députés on peut vous garantir des ressources’”, a de son côté expliqué mercredi François Bayrou, interrogé sur Europe 1.Une proposition financière “repoussée par nous sans discussion”“Mais ce sont des pratiques que nous n’avalisons pas”, a-t-il ajouté, précisant que pour lui, Emmanuel Macron “n’est pas dans les petites manœuvres” et qu’il revotera ”évidemment” pour lui s’il se présente en 2022.“Toute proposition de compensation financière, bien que commune et légale entre partis politiques, a été repoussée par nous sans discussion”, a complété ce dimanche 17 octobre François Bayrou dans une interview au Journal du Dimanche.Au-delà de cet épisode, les auteurs ont rencontré de nombreux interlocuteurs qui se sont sentis “trahis” par le chef de l’État, dont en premier lieu l’ex-président socialiste François Hollande, mais ils n’ont pas eu accès à Emmanuel Macron ni à sa garde rapprochée.Dans leur enquête, ils soulignent les procédures judiciaires qui semblent “enterrées” sur la vente contestée d’Astom à General Electric quand Emmanuel Macron était ministre de l’Economie (2014-2016). Ils s’interrogent sur la nomination d’Éric Dupond-Moretti à la tête du ministère de la Justice sur fond d’“intérêts conjoints” de l’ex-président Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron.Ils retiennent de leur enquête sur Emmanuel Macron “un opportuniste habité par son destin, comme dit Alain Minc” avec “une conception du pouvoir qui décrédibilise les contre-pouvoirs” et qui “atomise les oppositions”.Une conception qui accentue le phénomène “d’un pays déboussolé” qui n’a “plus qu’un choix qui sera entre l’extrême droite et un homme raisonnable”, résument pour l’AFP les deux journalistes.Selon eux, il y a les pro-Macron, comme Benjamin Griveaux qui “sont convaincus que cette stratégie est “brillantissime” car les électeurs “choisiront toujours le raisonnable”. “Et puis vous avez tous les autres qui sont nombreux, qui nous disent: mais c’est hyper dangereux” parce que “si les gens en ont marre de toi, c’est le chaos”.À voir également sur Le HuffPost: Bayrou se défend après ses propos sur la classe moyenne à 4000 euros
https://www.huffingtonpost.fr/entry/equipe-macron-a-trahi-bayrou-en-2017-et-tente-de-lacheter-affirment-les-journalistes-davet-et-lhomme_fr_616b4d07e4b005b245bde74aPOLITIQUE
Pour 2022, ces élus ne parraineront aucun candidat tant que la gauche reste divisée
POLITIQUE - Le poing levé, ils ne veulent pas baisser les bras. Alors que la perspective d’une union à gauche en vue de l’élection présidentielle de 2022 paraît très mal embarquée, plusieurs élus se sont donnés rendez-vous ce samedi 16 octobre en Seine-Saint-Denis pour faire pression sur les différents candidats de gauche. Un événement auquel s’est rendu Le HuffPost, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article. Le but de cette réunion d’élus locaux? Signer le serment de Romainville, qui vise à entériner un principe simple: faire la grève des parrainages à l’élection présidentielle tant que la gauche n’aura pas désigné un candidat unique. François Dechy, maire de Romainville et organisateur de l’événement, a détaillé sa démarche au micro du HuffPost.“Il y a d’énormes convergences. Il faut les mettre en œuvre à l’échelle nationale. Et donc le bal des égos, le bal des appareils politiques, alors que face à nous il y a un risque de cinq ans de plus de Macron, ou pire, de tester l’extrême droite, c’est irresponsable”, explique l’édile.
Certains élus nous font remonter des pressions de leur propre camp.Mathilde Imer, porte-parole de la Primaire populaire. Les élus qui se sont joints à cette initiative ont par ailleurs signé une tribune pour peser sur les différentes écuries. “Aujourd’hui, près d’une dizaine de candidatures écologistes, de gauche et humanistes sont d’ores et déjà annoncées pour la présidentielle. Nous refusons de jouer un rôle dans cette tragédie. Nous refusons de participer à la mise en scène de notre défaite et de notre impuissance”, écrivent les signataires de ce texte, parmi lesquels figurent l’eurodéputé Raphaël Glucksmann et son collègue de Nouvelle Donne Pierre Larrouturou.Et de prévenir: “Notre signature en faveur d’un candidat à l’élection présidentielle est un acte qui nous engage, d’abord envers celles et ceux qui nous ont élus et qui sont las de l’émiettement et des oppositions factices. C’est pourquoi aujourd’hui, nous, élus ayant le pouvoir de parrainer les candidats à la présidentielle, faisons le serment de n’accorder nos parrainages que lorsque les conditions du rassemblement auront été réunies”. Porte-parole de la primaire populaire, Mathilde Imer expliquait sur place que ce mouvement n’est pas sans risque pour ceux qui y prennent part, à rebours des consignes de leurs familles politiques respectives. ″Évidemment, cette initiative ne plaît pas à tout le monde. Certains élus nous font remonter des pressions de leur propre camp”, a-t-elle confié au HuffPost. Un signal qui montre que leur combat s’annonce particulièrement compliqué, pour ne pas dire désespéré. À voir également sur Le HuffPost: Présidentielle 2022: pourquoi ces militants de la Primaire populaire croient encore à l’union de la gauche
https://www.huffingtonpost.fr/entry/pour-2022-ces-elus-ne-parraineront-aucun-candidat-tant-que-la-gauche-reste-divisee_fr_616ad3ede4b0931431fe0b65POLITIQUE
Alexis Corbière répond à l'avalanche de critiques pour ces propos sur les caricatures à l'école
POLITIQUE - Une minute et huit secondes. C’est le temps que dure cette séquence qui enflamme le monde politique ce samedi 16 octobre, jour des commémorations liées à l’assassinat de Samuel Paty. Il s’agit d’un extrait de l’émission Ça vous regarde de LCP, sur laquelle intervenait le député de Seine-Saint-Denis, Alexis Corbière. Aux côtés de l’élu insoumis, se tenaient Jean-Pierre Obin, ancien inspecteur général de l’Éducation nationale, et Iannis Roder, professeur d’histoire-géographie et membre du Conseil des sages sur la laïcité. Dans cette courte séquence correspondant aux toutes dernières secondes de l’émission (dont l’intégralité est à regarder ici), le parlementaire alerte sur la nécessité d’utiliser des outils adaptés en classe. “J’ai 53 ans. À mon époque, Charlie Hebdo était un journal réservé aux adultes. Est-ce qu’il y a des dessins là-dedans qui ne sont pas faits pour des adolescents? Ce n’est pas pour autant que j’empêche la critique des religions. Un outil pédagogique doit être adapté à un enfant. Vous ne parlez pas de certaines choses à un enfant de 10 ans, comme un collégien ou comme un lycéen”, déclare l’élu LFI, enseignant de profession.“Le métier d’enseignant, ce n’est pas de choquer en permanence les élèves, mais de le faire progresser”, insiste Alexis Corbière, pour qui ‘l’école doit rester un lieu de transmission”. Des propos qui, comme le montre l’extrait ci-dessous, n’ont soulevé aucune réaction en plateau. Caricatures de Charlie Hebdo : "N'y a t-il pas là dedans des dessins qui ne sont pas fait pour des adolescents ?", interroge @alexiscorbiere. "Ce n'est pas pour autant que j'empêche la critique des religions, mais un outil pédagogique doit être adapté." #SamuelPaty#CVRpic.twitter.com/DzXpK82pBS— LCP (@LCP) October 15, 2021Isolé par LCP, ce passage sorti du contexte général de l’échange a déclenché une avalanche de réactions indignées à l’aune de l’anniversaire de la mort de Samuel Paty. En creux, Alexis Corbière se retrouve accusé de légitimer le passage à l’acte ayant conduit à la décapitation du professeur.“Honteux”“Laisser penser que Samuel Paty est responsable de son propre assassinat est juste honteux! Ce qui n’est ‘pas fait pour les adolescents’ c’est l’endoctrinement fanatique ! Les enseignants doivent être soutenus dans leur mission. Ils sont la première ligne républicaine”, s’est indigné le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure. “Il s’agit de l’assassinat d’un professeur. La démagogie électorale n’explique ni n’excuse pas tout. Ces propos sont irresponsables. Ils portent en eux la répétition du drame. Ils suscitent pourtant peu de réactions de la part d’un monde qui flétrit volontiers à l’unisson”, renchérit le politologue (ex-candidat UMP aux régionales de 2015) Dominique Reynié. “Cette suspicion est aussi scandaleuse que mal venue en ce jour d’hommage à Samuel Paty. Certains responsables de la France insoumise sont à la dérive sur ce qui devrait nous rassembler”, ajoute de son côté le maire socialiste de Montpellier (particulièrement engagé sur le thème de la laïcité) Michaël Delafosse. Sur Twitter, la séquence isolée par LCP devient virale, et accumule les retweets et réactions indignées. Contacté par Le HuffPost, l’élu insoumis exprime sa consternation. “Je ne parlais pas de Samuel Paty”, explique Alexis Corbière, qui dénonce “une polémique manœuvrière indigne” montée en épingle par ses détracteurs. “Tout support pédagogique doit être adapté aux élèves, en fonction de leur âge. La liberté de conscience, et donc celle de critiquer les religions, doit être enseignée à l’école, avec finesse. Les enseignants ne sont pas toujours bien accompagnés”, poursuit le député, qui estime que “Samuel Paty a été irréprochable” dans son approche pédagogique. Pour preuve, “l’élève qui a lancé la polémique n’avait pas participé à son cours”. Il n’empêche, cette sortie ravive les procès en “islamo-gauchisme” régulièrement faits à une partie de la gauche. Un terme qui a rapidement refait surface après cette séquence, utilisé notamment par le Syndicat des Commissaires de la Police Nationale. “Dis papa, c’est quoi l’islamogauchisme? Ben, écoute Alexis Corbière qui essaye de justifier l’injustifiable, alors qu’un professeur, Samuel Paty, a été décapité par un islamiste. Lui et ses amis préfèrent traiter les policiers de barbares d’ailleurs, plutôt que les islamistes”, accuse cette organisation syndicale.À voir également sur Le HuffPost: Sécurité globale: Ugo Bernalicis a appelé Darmanin Gérald Le Pen
https://www.huffingtonpost.fr/entry/corbiere-sattire-une-avalanche-de-critiques-pour-ces-propos-sur-les-caricatures-a-lecole_fr_616ac1f6e4b0931431fdf3b5POLITIQUE
17 octobre 1961: Macron reconnaît des "crimes inexcusables pour la République"
POLITIQUE - Les termes sont forts et ils étaient attendus. Dans un communiqué ce samedi 16 octobre, Emmanuel Macron a reconnu des “crimes inexcusables pour la République”, à l’issue d’une cérémonie officielle pour les 60 ans du massacre des Algériens commis lors du 17 octobre 1961.Le chef de l’État “a reconnu les faits: les crimes commis cette nuit-là sous l’autorité de Maurice Papon sont inexcusables pour la République”, indique un communiqué de l’Élysée, diffusé juste après une cérémonie sur les berges de la Seine, à la hauteur du pont de Bezons, emprunté il y a 60 ans par les manifestants algériens qui arrivaient du bidonville voisin de Nanterre à l’appel de la branche du FLN installée en France. EN DIRECT | Commémoration à l'occasion du 60ème anniversaire du 17 octobre 1961.https://t.co/5Ggy7sbDtr— Élysée (@Elysee) October 16, 2021“La France regarde toute son Histoire avec lucidité et reconnaît les responsabilités clairement établies”, précise le communiqué de l’Élysée. C’est la première fois qu’un président français se rend sur les lieux du massacre dont le nombre de morts est estimé par les historiens à au moins plusieurs dizaines, le bilan officiel n’en dénombrant que trois. Un pas de plus dans la reconnaissanceEn employant le terme de “crimes”, Emmanuel Macron a en partie suivi les préconisations de l’historien Benjamin Stora, auteur d’un rapport remis à la présidence sur la guerre d’Algérie. Ce dernier avait plaidé pour que le massacre du 17 octobre soit reconnu comme “un crime d’État”, soulignant l’importance que cela revêtait “pour les petits-enfants de l’immigration, qui s’interrogent sur la façon d’être français ou franco-algérien et sur leur rapport à leur pays d’origine”. “Cette mémoire-là doit être restituée, au même titre que les autres”, avait expliqué le spécialiste des questions mémorielles dans Libération. Une demande aussi relayée par certaines personnalités de gauche, comme l’Insoumis Alexis Corbière et le candidat du PCF à la présidentielle Fabien Roussel. Emmanuel Macron, qui a observé une minute de silence et déposé une gerbe sur les berges de la Seine, est ainsi allé plus loin que la “sanglante répression” admise par François Hollande en 2012. Selon l’Élysée, le chef de l’État “rend hommage à la mémoire de toutes les victimes” d’une “tragédie longtemps tue, déniée ou occultée”.“La France regarde toute son Histoire avec lucidité et reconnaît les responsabilités clairement établies. Elle le doit d’abord et avant tout à elle-même, à toutes celles et ceux que la guerre d’Algérie et son cortège de crimes commis de tous côtés ont meurtris dans leur chair et dans leur âme. Elle le doit en particulier à sa jeunesse, pour qu’elle ne soit pas enfermée dans les conflits de mémoires et construise, dans le respect et la reconnaissance de chacun, son avenir”, fait valoir la présidence. Le 17 octobre 1961, alors qu’une manifestation était organisée à Paris pour protester contre l’interdiction aux Algériens de sortir de chez eux après 20H30, une répression - “brutale, violente, sanglante”, selon l’Élysée - s’est abattue sur les manifestants.“Près de 12.000 Algériens furent arrêtés et transférés dans des centres de tri au stade de Coubertin, au Palais des sports et dans d’autres lieux. Outre de nombreux blessés, plusieurs dizaines furent tués, leurs corps jetés dans la Seine. De nombreuses familles n’ont jamais retrouvé la dépouille de leurs proches, disparus cette nuit-là”, a rappelé samedi la présidence française.À voir également Le HuffPost: Macron rend hommage au résistant Hubert Germain, “gardien du flambeau du général de Gaulle”
https://www.huffingtonpost.fr/entry/17-octobre-1961-macron-denonce-des-crimes-inexcusables-pour-la-republique_fr_616adfa6e4b079111a4a76cbPOLITIQUE,Crimes
Blasphème : Des lycéens nantais menacés de mort après la diffusion d'une vidéo où ils miment une prière musulmane - Leur lycée a été placé sous protection policière - Regardez
Une dizaine de lycéens nantais sont les cibles d’injures et de menaces en ligne après la diffusion sur les réseaux sociaux d’une vidéo dans laquelle on les voit, mimant une prière musulmane au cours d’une soirée, pendant laquelle on distingue des ricanements et des mots prononcés en arabe."La vidéo, plus bête que méchante" selon un proche du dossier qui parle à Presse Océan, date de janvier 2021 alors que les adolescents étaient encore collégiens. Diffusée dans un premier temps dans un cercle fermé, elle a été exhumée en début de semaine dans des conditions qui restent à déterminer et postée, lundi 11 octobre sur Twitter.Très vite, certains internautes ont cherché à identifier les jeunes apparaissant sur les images : des comptes Instagram et Snapchat de lycéens ont été dévoilés sur la toile, accompagnés du nom du lycée Guist’hau, dans lequel certaines victimes seraient scolarisées.Le chef d’établissement a alerté la police mardi. Depuis, les forces de l’ordre patrouillent régulièrement aux abords du lycée, sécurisant les entrées et les sorties par principe de précaution.Le parquet, indique Renaud Gaudeul, procureur de la République de Nantes, a ouvert une enquête pour association de malfaiteurs en vue de commettre un crime ou un délit punis d’au moins cinq ans de prison.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-477292-blaspheme-des-lyceens-nantais-menaces-de-mort-apres-la-diffusion-d-une-video-ou-ils-miment-une-priere-musulmane-leur-lycee-a-ete-place-sous-protection-policiere-regardez.html
Vives tensions ce matin dans "Morandini Live" entre le gilet jaune Jérôme Rodrigues et des représentants de En Marche et des Républicains
Ce matin, Jean-Marc Morandini présentait un nouveau numéro de "Morandini Live" en direct sur CNews. Sur le plateau, plusieurs invités étaient réunis pour débattre de l'actualité : le gilet jaune Jérôme Rodrigues ; Patrick Karam, vice-président de Libres! au conseil régional d'Ile-de-France ; Ergün Toparslan, porte-parole Terres de Progrès - LREM ; Maurice Signolet, ancien commissaire divisionnaire de la police nationale. Très vite, les échanges ont été tendus entre Jérôme Rodrigues et les autres personnes présentes en plateau concernant la police et leurs interventions lors des différentes manifestations des Gilets Jaunes qui se sont déroulées en France."Aujourd'hui, dans la rue, je croise un policier, je lui présente ma carte d'identité. Aujourd'hui, sur une manifestation, je ne présente plus ma carte d'identité", a notamment affirmé Jérôme Rodrigues sur le plateau. Jeanmarcmorandini.com vous propose de (re)découvrir cette séquence diffusée ce matin en direct dans "Morandini Live" sur CNews (voir vidéo ci-dessus).
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-477337-vives-tensions-ce-matin-dans-morandini-live-entre-le-gilet-jaune-jerome-rodrigues-et-des-representants-de-en-marche-et-des-republicains.html
Les gilets jaunes peinent à se remobiliser sur les ronds-points
GILETS JAUNES - Des “gilets jaunes” ont tenté un timide retour sur les ronds-points ce samedi 16 octobre dans divers endroits en France pour protester contre la hausse des prix de l’énergie et la baisse du pouvoir d’achat, ont constaté des journalistes de l’AFP.Interrogé par l’AFP sur l’affluence aux ronds-points, le ministère de l’Intérieur, qui ne disposait pas de chiffrage national, a évoqué une “présence faible sur le territoire”. Cent personnes se sont rassemblées à Toulon, 60 à Beauvais (Oise), a-t-on mentionné place Beauvau.À Châlons-en-Champagne, une petite vingtaine de “gilets jaunes” ont occupé un rond-point à la sortie de la ville dès le matin, selon un correspondant de l’AFP. “Nous sommes apolitiques mais on ne se retrouve plus dans ce gouvernement ni dans les candidats à l’élection présidentielle, on veut un candidat qui connaisse la misère sociale”, a expliqué un membre du collectif chalonnais Liberté citoyenne.Les manifestants demandaient la mise en place du référendum d’initiative citoyenne (RIC), revendication centrale du mouvement depuis les premières occupations de ronds-points à l’automne 2018.Près d’Orléans, une quinzaine de manifestants se sont retrouvés sur un rond-point sans blocage de la situation, rapporte France Bleu.Comme samedi dernier, des #GiletsJaunes sont positionnés près du rond-point Gérondeau, à Saran, au nord d'Orléans. Ils sont une quinzaine et ne bloquent pas la circulation. Elle est légèrement ralentie dans le sens Nord/Sud pic.twitter.com/5HgbN36mAD— France Bleu Orleans (@FBOrleans) October 16, 2021 À Toulouse, entre vingt et trente personnes se sont réunies au rond-point emblématique de la “Socamil”, au sud-ouest de la ville, avec des pancartes comme “Vivre, oui, survivre, non” ou “Pas de paix sans justice”. Sur place, elles dénonçaient les “violences policières” ou encore la baisse du niveau de vie, a constaté un journaliste de l’AFP.“On ne gagne même pas le SMIC horaire, on n’a même pas de travail à plein temps et nous avons trop d’enfants à notre charge pour pouvoir s’en occuper correctement”, a expliqué une femme d’une trentaine d’années se présentant comme éducatrice.Une cinquantaine de “gilets jaunes” se sont rassemblés dans l’après-midi au rond-point des Buers à Villeurbanne, banlieue de Lyon, a indiqué la préfecture, selon laquelle ils se sont rapidement dispersés.En Vendée, ils étaient une vingtaine à se rassembler aux Herbiers pour rejoindre en opération-escargot un rond-point à La Roche-sur-Yon, selon Ouest-France.Gilets jaunes et pass sanitaireLors de ce 14e samedi de mobilisation contre les mesures anti-Covid mises en place par le gouvernement, des gilets jaunes renforçaient par ailleurs, comme chaque semaine, les manifestations anti-pass sanitaire.Ainsi à Pau, ancienne place forte des “gilets jaunes”, où un cortège a réuni 700 personnes en direction d’un rond-point qui a été brièvement occupé pendant une vingtaine de minutes, selon un correspondant de l’AFP. Des regroupements similaires ont aussi eu lieu à Montpellier et à Nice.Des centaines de manifestants à l’intérieur de la gare de Nice #GiletsJaunesSaison2#Manifestation16octobre#nicepic.twitter.com/GXu92cimjo— Petit Comité (@PetitComit8) October 16, 2021Le rond point Près de arène à Montpellier bloqué par les #GiletsJaunesSaison2 et la manif contre le #PasseSanitaire#Manifs16octobrepic.twitter.com/1Pt5FWuXFU— Ricardo Parreira (@RicardParreir) October 16, 2021 À Caen, ils étaient 270, dont une trentaine de “gilets jaunes”, à manifester contre la hausse du prix des carburants et pour une “convergence des luttes”.À voir également sur Le HuffPost: Pourquoi les prix du gaz ne cessent d’augmenter (et c’est pas fini)LIRE AUSSI:De plus en plus de Français souffrent de précarité énergétique, surtout chez les jeunesFace à la hausse des prix de l'énergie, Castex annonce un "bouclier tarifaire"
https://www.huffingtonpost.fr/entry/les-gilets-jaunes-peinent-a-se-remobiliser-sur-les-ronds-points_fr_616b0c8ce4b079111a4a8c11Actualités,Gilets jaunes
Éric Dupond-Moretti explique la difficulté de construire de nouvelles prisons: "Ceux qui appellent le plus à cela sont totalement absents quand il s'agit de les construire dans leur ville" -VIDEO
Le ministre de la Justice, Éric Dupond-Moretti, a expliqué la difficulté de construire de nouveaux établissements pénitentiaires devant la commission des lois de l’Assemblée nationale: "Ceux qui appellent le plus à la construction de prisons sont totalement absents quand il s'agit de les construire sur leur circonscription ou dans leur ville",a-t-il d'abord déclaré.Et d'ajouter "Si vous saviez les excuses parfois abracadabrantesque qui ont été présentées […] Je vous en cité une : "vous ne pouvez pas construire de prison ici, car traditionnellement on fait une battue de sangliers" […] J'ai répondu "il y aura des miradors"""Voilà ce qu’on entend… Quand on n’a pas envie, on n’a pas envie.", a-t-il conclu.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-477259-eric-dupond-moretti-explique-la-difficulte-de-construire-de-nouvelles-prisons-ceux-qui-appellent-le-plus-a-cela-sont-totalement-absents-quand-il-s-agit-de-les-construire-dans-leur-ville-video.html
Dans la Somme, des demandes de cartes d'identité retardées à cause du nom trop long de la commune, incompatible avec le format du nouveau document mis en circulation
Des habitants de Saint-Quentin-la-Motte-Croix-au-Bailly (Somme) ont vu leur demande de carte nationale d'identité retardée, le nom trop long de leur commune étant incompatible avec le format du nouveau document mis en circulation cette année, a indiqué le maire, confirmant une information du Courrier Picard. L'édile (divers gauche), Raynald Boulenger, a expliqué à l'AFP avoir été alerté par un habitant qui ne parvenait pas à obtenir le document, dont il avait besoin pour passer rapidement son code de la route.En cause: les 38 caractères du nom de la commune, qui ne rentrent pas dans le format de la nouvelle carte d'identité mise en circulation cette année."Cinq ou six personnes" sur cette commune d'environ 1.300 habitants ont été concernées, a expliqué M. Boulenger, précisant que les faits remontent à "mars et avril" dernier.Après que la préfecture a été alertée, une solution a été trouvée: une carte d'identité provisoire a été éditée avec le nom de la commune limité à "Saint-Quentin-La-Motte", le temps que le problème soit résolu d'ici "la fin de l'année", selon l'édile.Les habitants recevront alors une nouvelle carte d'identité avec le nom complet, a-t-il précisé.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-477310-dans-la-somme-des-demandes-de-cartes-d-identite-retardees-a-cause-du-nom-trop-long-de-la-commune-incompatible-avec-le-format-du-nouveau-document-mis-en-circulation.html
Apple devance Xiaomi et récupère la 2e place du marché des smartphones
Apple est parvenu à devancer Xiaomi et Oppo. Malgré la sortie tardive des iPhone 13 et la pénurie de puces informatiques, le géant de la Silicon a réussi à reprendre la deuxième place du marché, juste derrière l'indétrônable Samsung. Lors...
https://www.phonandroid.com/apple-devance-xiaomi-recupere-2e-place-marche-smartphones.htmlEconomie,Smartphone,Smartphones,Xiaomi
Femme décapitée à Agde: Le suspect placé en garde à vue est un ancien boxeur professionnel - Il était candidat sur une liste FN en 2015 dans le Nord
14h49: Selon Europe 1, en 2015, le suspect a été condamné à trois mois de prison avec sursis et deux ans d'inéligibilité pour avoir inscrit sur sa liste une personne qui ne le voulait pas. Toujours en 2015, "il avait partagé sur sa page Facebook une vidéo qualifiant la journaliste Ruth Elkrief de "judéo-journaliste"", ajoutent nos confrères. 13h15: Le suspect placé en garde à vue est un ancien candidat du Front national (FN) lors d'une élection locale en 2015 dans le Nord, explique BFMTV. 12h15: Le suspect placé en garde à vue dans l'enquête sur la mort d'une septuagénaire à Agde, est un ancien boxeur, selon BFMTV. Il est connu pour des troubles neurologiques. 06h47: Cette nuit un homme suspecté d'avoir tué et décapité la septuagénaire a été interpellé peu avant 21h dans les environs d'Agde. Il a été placé en garde à vue du chef d'assassinat compte tenu des évolutions des investigations laissant présumer des éléments de préméditation, indique dans un communiqué le procureur de Béziers, Raphaël Balland.Il s'agit d'un homme âgé de 51 ans qui connaissait la victime, précise le procureur. Pour bien comprendre ce qui s'est passé, il faut revenir en détail sur les faits. Mercredi soir, le corps d'une institutrice veuve de 77 ans était découvert chez elle, la tête à proximité du corps.C'est son fils qui avait donné l'alerte, s'inquiétant de l'absence de réponse de la victime à ses appels téléphoniques, a indiqué le procureur de Béziers, Raphaël Balland, dans un communiqué.Une autopsie est prévue jeudi après une nuit d'investigations sur place. "Informé de ces faits, le parquet national antiterroriste n'a pas revendiqué sa compétence jusqu'à présent, en l'absence d'éléments qui pourraient le justifier en l'état des investigations", a précisé le procureur qui a confié l'enquête à la police judiciaire de Montpellier.Et "d'importants moyens sont mis en œuvre par la DTPJ de Montpellier pour tenter d'identifier et d'interpeller le ou les auteurs des faits", a ajouté Raphaël Balland.Le procureur a précisé que la victime n'était pas connue de l'autorité judiciaire et que le commissariat d'Agde n'avait recueilli ces dernières années aucune plainte émanant d'elle.Par ailleurs, le procureur a indiqué avoir ouvert une autre enquête pour "violation du secret professionnel et recel de ce délit compte tenu de la nature des informations diffusées par certains médias".
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-477274-femme-decapitee-a-agde-le-suspect-place-en-garde-a-vue-est-un-ancien-boxeur-professionnel-il-etait-candidat-sur-une-liste-fn-en-2015-dans-le-nord.html
Carla Bruni malade : Fiévreuse et patraque, elle s'affiche sans maquillage au lit
Nez qui coule et fièvre sont rarement synonymes de glamour. Sauf pour Carla Bruni qui a souhaité offrir plusieurs...
https://www.purepeople.com/article/carla-bruni-malade-fievreuse-et-patraque-elle-s-affiche-sans-maquillage-au-lit_a458989/1People
EuroMillions: bientôt un jackpot de 230 millions d'euros à gagner
LOTERIE - Jamais une telle somme n’avait été gagnée par un Européen. Et pourtant, le record ne tiendra pas longtemps... Vendredi 15 octobre, un ou une Française a gagné la somme de 220 millions d’euros en trouvant les bons numéros de l’EuroMillions. Un montant encore jamais atteint pour une loterie sur le vieux continent. Mais -et c’est prévu dans la règlement et contenu dans l’idée même du jeu- cela signifie aussi qu’un nouveau plafond va prochainement être fixé à 230 millions d’euros. Ce qui veut dire que si aucun joueur ne trouve la combinaison gagnante pendant un certain nombre de semaines consécutives (entre 9 et 11), alors une somme record sera mise en jeu. Et cette probabilité de voir les joueurs échouer de semaine en semaine et donc ce montant colossal être finalement proposé ne fait qu’augmenter avec les années. En effet, alors que les joueurs -attirés par des gains toujours plus élevés- se multiplient, les organisateurs du jeu ont complexifié l’obtention des bons numéros, en augmentant l’amplitude proposée pour les étoiles.En plus des 5 bons numéros (dans une grille allant de 1 à 50), il faut désormais trouver deux étoiles entre 1 et 12 (contre 1 et 9 au départ, puis 1 et 11), précisent nos confrères du Parisien. Mathématiquement, pour avoir tous les bons chiffres et nombres dans l’ordre, la probabilité est désormais d′1 sur 139 millions pour les joueurs des douze pays qui participent à la super loterie européenne. Une embuche qui ne semble pas rebuter des candidats toujours plus nombreux à l’obtention d’une fortune parfaitement intangible. Les jeux d’argent comportent des risques tels que l’endettement, la dépendance... Une ligne d’écoute et de prévention, “Joueurs info service” existe et est joignable au 09 74 75 13 13. À voir également sur le HuffPost: Pour le loto de Noël, les Espagnols ont dépensé plus de 2,9 milliards d’eurosLIRE AUSSI:Ce que le gagnant de l'EuroMillions va faire de ses 200 millionsLes 210 millions du jackpot de l'Euromillions ont été gagnés en Suisse
https://www.huffingtonpost.fr/entry/euromillions-bientot-un-jackpot-de-230-millions-deuros-a-gagner_fr_616aa029e4b079111a4a4c96Actualités
L'émouvante lettre de Sophia Aram aux élèves de Samuel Paty
LAÏCITÉ - “Je vais simplement vous dire ce que j’ai sur le cœur....” Ce samedi 16 octobre, la France commémore la carrière de Samuel Paty, professeur d’Histoire-géographie assassiné un an plus tôt pour avoir montré, dans le cadre d’un cours sur la liberté d’expression, des caricatures de Mahomet aux élèves qui le souhaitaient. Un enseignant attaché aux principes républicains, comme a tenu à le rappeler Sophia Aram. À la demande de la famille de Samuel Paty, la comédienne a rédigé un texte adressé à ses anciens élèves (qui a été diffusé sur les réseaux sociaux du Secrétariat général du Comité interministériel de Prévention de la Délinquance et de la Radicalisation). Une lettre dans laquelle elle revient sur les enseignements qui étaient si chers au professeur également chargé de l’éducation civique et morale, et sur l’importance pour la démocratie française des valeurs qu’il défendait. “Samuel Paty voulait vous apprendre à penser par vous-mêmes. C’est pour cela aussi que mes amis de Charlie Hebdo ont été assassinés”, explique notamment Sophia Aram, qui insiste sur la nécessité de chérir les principes de liberté de culte et d’expression tels qu’ils sont enseignés en France. Faire vivre le souvenir d’un hommeEn préambule, l’humoriste prévient: elle n’a jamais rencontré Samuel Paty, et a rédigé son courrier simplement à partir de l’image ébauchée de lui depuis son assassinat. “Je me suis dit que je ne connaissais de votre professeur d’Histoire-géo que les hommages qui lui ont été rendus, les mails publiés, le contenu du cours qu’il vous avait tenu sur la liberté d’expression, les témoignages de ses collègues. Des bribes de vie noyées dans un océan de douleur.” Lorsque la famille de Samuel Paty a suggéré que je vous écrive une lettre... https://t.co/qpNxJrrAdR— sophia aram (@SophiaAram) October 16, 2021C’est en cela qu’elle demande à ses lecteurs, les élèves du professeur, de faire vivre sa mémoire, eux qui sont les seuls à garder une trace des moments partagés avec l’enseignant. “Samuel Paty au tableau, ses expressions en classe, ses blagues, les progrès que vous aviez fait ensemble....”, liste-t-elle. “Cette part d’humanité que vous partagez est essentielle. Un bon prof, c’est un compagnon, une rampe qui nous guide tout au long de la vie.” Sophia Aram revient aussi sur l’assassinat en soi. “J’aimerais vous rappeler que vous n’êtes pour rien dans ce drame. Ni vous, ni Samuel Paty, ni ce qu’il a dit, ni les caricatures qu’il a montrées ne sont responsables. Les seuls responsables, ce sont ceux qui l’ont désigné pour cible et celui qui l’a assassiné.” À l’inverse, poursuit-elle, Samuel Paty a simplement voulu partager des connaissances et éveiller ses élèves au monde qui les entoure. Un pilier fondamental de la société française “Samuel Paty n’a fait qu’une chose, c’est vous transmettre un savoir sur la liberté d’expression, la liberté de conscience, la liberté de penser et la liberté de croire ou de ne pas croire. Vous l’appelez comme vous voulez, mais il s’agit bien de liberté, de notre liberté”, se lance Sophia Aram au cœur de son sujet, insistant sur l’aspect indissociable des libertés de croire et de ne pas croire. “Des libertés qui ne font qu’une”, résume-t-elle et “grâce auxquelles il est possible de critiquer et même de rire d’une religion, mais aussi d’adopter ses principes et son dogme.” Elle insiste: “C’est un tout.”Dans son courrier, elle insiste à ce propos sur la spécificité française de la conception de la laïcité. “En France nous avons une chance assez rare: cette liberté est un droit inscrit au cœur de notre République. Et un droit, ce n’est pas un respect déguisé.” Sophia Aram précise ici sa pensée en déclarant qu’à ce titre, personne n’a ”à mettre de l’eau dans le vin de ses conviction pour ménager les susceptibilités”, mais que chacun jouit d’un “droit absolu, celui d’être libre de penser et de croire.” Une vision des choses qui rend viable le modèle de société dans lequel évoluent les anciens élèves de Samuel Paty. “S’il fallait respecter les convictions et les idées de chacun, on ne pourrait plus rien dire”, assure-t-elle. Et d’évoquer les historiens et les archéologues ne pourraient pas remettre en cause l’idée que Dieu aurait créé la Terre, et les convaincus ne pourraient pas dire l’inverse sans blesser ceux qui invoquent la raison. Elle conclut son vibrant plaidoyer pour le respect des libertés de culte et d’expression: “La peine des uns, aussi sincère soit elle, ne peut pas être invoquée pour limiter la liberté des autres de croire et de penser. Cette liberté est un droit.” À voir également sur le HuffPost: Lors de l’hommage national à Samuel Paty, la lecture de la lettre d’Albert Camus à son professeurLIRE AUSSI:#LesProfsAvecCthulhu: la réponse par l'absurde de ces profs aux enseignants pro-ZemmourCe que dit la plaque en hommage à Samuel Paty inaugurée au ministère de l'Éducation nationale
https://www.huffingtonpost.fr/entry/lemouvante-lettre-de-sophia-aram-aux-eleves-de-samuel-paty_fr_616ab160e4b0931431fdedbaActualités
Trois astronautes, dont une femme, ont décollé très tôt samedi pour la station spatiale chinoise en construction, où ils devraient rester six mois
Trois astronautes, dont une femme, ont décollé très tôt samedi pour la station spatiale chinoise en construction, où ils devraient rester six mois, une durée record pour le géant asiatique, selon des images diffusées en direct par la télévision publique CCTV. Leur vaisseau Shenzhou-13 a été propulsé durant la nuit à 00H23 (18H23 HB vendredi) par une fusée Longue-Marche 2F, depuis le centre de lancement de Jiuquan dans le désert de Gobi (nord-ouest).Les trois astronautes vont rejoindre Tianhe ("Harmonie céleste"), le seul module déjà en orbite sur les trois qui constitueront à terme la station spatiale. La mission de l'équipage consiste à poursuivre la construction de la station, à vérifier ses différents équipements et à mener quelques expériences scientifiques.Ils réaliseront par ailleurs deux, voire trois sorties dans l'espace. Leur séjour permettra de doubler le record de durée pour une mission habitée chinoise, établi en septembre par les astronautes de la mission précédente, Shenzhou-12, qui étaient restés trois mois dans Tianhe.Le nouvel équipage comprend deux hommes: le général Zhai Zhigang (55 ans), qui fut le premier Chinois à effectuer une sortie extravéhiculaire en 2008, et Ye Guangfu (41 ans), dont c'est le premier vol dans l'espace.Ils feront équipe avec Wang Yaping (41 ans), qui participe à une nouvelle mission habitée, huit ans après un premier voyage en 2013, qui avait fait d'elle la deuxième Chinoise dans l'espace. Connue pour avoir donné lors de son précédent séjour un cours de physique en direct à 60 millions d'écoliers grâce à une liaison vidéo, elle renouvellera l'expérience lors de cette mission Shenzhou-13.Elle deviendra la première Chinoise à effectuer une sortie dans l'espace. Cette mission est la cinquième sur les 11 (habitées et non-habitées) qui seront nécessaires au total à la construction de la station spatiale chinoise, qui devrait être achevée fin 2022. Appelée Tiangong ("Palais céleste"), elle sera semblable en taille à l'ancienne station soviétique Mir (1986-2001). Sa durée de vie sera d'au moins 10 ans.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-477385-trois-astronautes-dont-une-femme-ont-decolle-tres-tot-samedi-pour-la-station-spatiale-chinoise-en-construction-ou-ils-devraient-rester-six-mois.html
Le député britannique poignardé à plusieurs reprises lors d’une permanence parlementaire est décédé - Un homme a été arrêté - Boris Johnson est rentré en catastrophe à Londres pour gérer la situation
18h25: Boris Johnson, en déplacement à Bristol, a du rentrer précipitamment vers la capitale britannique après la mort du député conservateur David Amess, poignardé par un individu dans l'Essex à l'est de Londres. Le locataire du 10 Downing a pris la parole ce vendredi soir, exprimant son "choc" et sa "tristesse" face à ce drame. "Il a été tué dans sa circonscription, dans une église après près de quarante années de service continu aux habitants de l'Essex et de l'ensemble du Royaume-Uni", a ajouté le Premier ministre britannique.Le vice-Premier ministre et secrétaire d'État à la Justice Dominic Raab a souhaité rendre hommage à "un homme politique plein de bon sens, à un militant formidable au grand cœur et d'une immense générosité, y compris envers ceux avec qui il était en désaccord".L'ancien Premier ministre David Cameron a également fait part de son émotion ce vendredi après-midi: "David Amess était un homme gentil et tout à fait décent - et il était le député le plus engagé que vous puissiez espérer rencontrer. Les mots ne peuvent exprimer adéquatement l'horreur de ce qui s'est passé aujourd'hui".Carrie Johnson, l'épouse du Premier ministre britannique s'est dit "absolument dévastée" par la nouvelle et a salué la mémoire d'un homme politique défenseur des animaux. "Il était extrêmement gentil et bon.Un véritable amoureux des animaux et un vrai gentleman. C'est tellement injuste, mes pensées vont à sa femme et à leurs enfants", a tweeté Carrie Johnson.16h06: Le député britannique David Amess, poignardé alors qu'il tenait une permanence parlementaire dans sa circonscription vendredi dans le sud-est de l'Angleterre, est décédé, ont rapporté les médias britanniques. La police locale, qui n'a pas nommé la victime, a indiqué dans un communiqué que l'homme qui avait été retrouvé blessé était mort sur place, en dépit des efforts des services de secours. "Un homme de 25 ans a été rapidement arrêté après l'arrivée de la police sur place, soupçonné de meurtre", a-t-elle ajouté, indiquant qu'un couteau a été retrouvé.15h32: Les réactions politiques ont immédiatement afflué, dans un pays marqué par l'assassinat en pleine rue en 2016 de la députée europhile Jo Cox une semaine avant le référendum sur le Brexit par un sympathisant néo-nazi. "Nouvelle horrible et profondément choquante", a tweeté le chef de l'opposition travailliste Keir Starmer, adressant ses pensées au député, ses proches et ses collaborateurs.15h27: Un témoin prénommé Anthony a décrit à la radio LBC un important déploiement policier sur place. "J'ai vu quelqu'un être extrait du bâtiment, mis à l'arrière d'une voiture de police", a-t-il raconté. "Apparemment il a été poignardé à plusieurs reprises", a-t-il ajouté à propos du député.15h25: Le point sur ce que l'on saitUn député conservateur britannique, David Amess, 69 ans, a été poignardé vendredi à plusieurs reprises lors d’une permanence parlementaire qu’il tenait dans une église de sa circonscription à Leigh-on-Sea, à l’est de Londres, selon les médias locaux. La police locale a annoncé l’arrestation d’un homme, et confirmé qu’une personne avait été poignardée, sans préciser son identité. Elle a précisé qu’elle ne recherchait « personne d’autre » après l’arrestation.Un témoin prénommé Anthony a décrit à la radio LBC un important déploiement policier sur place. « J’ai vu quelqu’un être extrait du bâtiment, mis à l’arrière d’une voiture de police », a-t-il raconté. « Apparemment il a été poignardé à plusieurs reprises », a-t-il ajouté à propos du député.Les réactions politiques ont immédiatement afflué, dans un pays marqué par l’assassinat en pleine rue en 2016 de la députée europhile Jo Cox une semaine avant le référendum sur le Brexit par un sympathisant néo-nazi. « Nouvelle horrible et profondément choquante », a tweeté le chef de l’opposition travailliste Keir Starmer, adressant ses pensées au député, ses proches et ses collaborateurs.15h18: Il se trouvait dans une église de Leigh-on-Sea, dans sa circonscription de l’Essex, où il tenait une permanence parlementaire, quand il a été attaqué par un homme armé.15h12: Sur Twitter, la police annonce qu'une personne a été arrêtée après les faits. Les autorités précisent que personne d'autre n'est recherché. 15h08: Un député conservateur britannique, David Amess, a été poignardé aujourd'hui à plusieurs reprises lors d'une permanence parlementaire qu'il tenait dans une église de sa circonscription à Leigh-on-Sea, à l'est de Londres, selon la police.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-477346-le-depute-britannique-poignarde-a-plusieurs-reprises-lors-d-une-permanence-parlementaire-est-decede-un-homme-a-ete-arrete-boris-johnson-est-rentre-en-catastrophe-a-londres-pour-gerer-la-situation.html
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Alexia Laroche-Joubert nommée présidente de la société Miss France - Elle assurera ses fonctions aux côtés de Sylvie Tellier qui officiera en tant que directrice générale
Alexia Laroche-Joubert vient d'être nommée présidente de la société Miss France, et assurera ses fonctions «?aux côtés de Sylvie Tellier?» qui officiera en tant que directrice générale, annonce-t-on dans un communiqué. «?Ensemble, elles poursuivent la dynamique d’évolution de la marque et du programme de divertissement, tout en préservant ses valeurs emblématiques et ses fondamentaux?», peut-on lire. Avant d'indiquer que la société a été créée dans le but de «?grandir avec son temps?» .Sur Twitter, Alexia Laroche-Joubert écrit: «?Je suis très fière de prendre la direction de la société Miss France, au-delà d’un rêve de petite fille, d’une très belle marque, d’un des plus grands shows de la télévision, j’aime participer à la mise en avant de jeunes femmes volontaires et ambitieuses?».Dans le communiqué, la productrice confie également: «?Mon histoire avec Miss France remonte à près de 20 ans. À cette période, je rencontrais pour la première fois la dame au chapeau, Geneviève de Fontenay, pour produire deux éditions de l’émission Miss France?».
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-477301-alexia-laroche-joubert-nommee-presidente-de-la-societe-miss-france-elle-assurera-ses-fonctions-aux-cotes-de-sylvie-tellier-qui-officiera-en-tant-que-directrice-generale.html,Miss France,Société
Après le meurtre du député David Amess, le débat sur la sécurité des parlementaires relancé
ROYAUME-UNI - Un pays sous le choc et des questions quant à la sécurité des élus. Après le meurtre -qualifié de terroriste par la police- dans une attaque au couteau du député britannique David Amess, vendredi 15 octobre à Leigh-on-Sea, à l’Est de Londres, le brûlant débat sur les conditions de protection des parlementaires a été rouvert outre-Manche. La mort de Sir Amess, élu député depuis près de 40 ans et loué par des parlementaires de tous bords pour sa gentillesse, a effectivement rappelé un traumatisme récent, l’assassinat de Jo Cox en juin 2016. Cette députée travailliste de 41 ans et mère de deux jeunes enfants, avait été tuée de plusieurs balles et coups de couteau par un extrémiste de droite, Thomas Mair, 53 ans, une semaine avant le référendum britannique sur l’appartenance à l’Union européenne.Ce vendredi, après le meurtre de David Amess, Kim Leadbeater, députée travailliste et sœur de Jo Cox s’est dit “effrayée” par l’attaque et choquée de “penser que quelque chose d’aussi horrible puisse arriver à nouveau à un autre député, à une autre famille”. Ces deux drames interrogent en effet sur les dispositifs de sécurité entourant les députés, en particulier lorsque ceux-ci se trouvent au contact du public dans leurs circonscriptions.Ne pas se “recroqueviller” face à la violence“Après deux meurtres en cinq ans, on doit prendre la sécurité des députés au sérieux”, a plaidé le député travailliste Chris Bryant dans une tribune au quotidien The Guardian. Il a suggéré que dans leurs circonscriptions, les députés rencontrent leurs administrés “seulement sur rendez-vous”.After two killings in five years, we must get serious about MPs’ security https://t.co/dcHT3r9ENW— Chris Bryant (@RhonddaBryant) October 15, 2021“Nous ne voulons pas vivre dans des forteresses. Mais je ne veux pas perdre un autre collègue d’une mort violente”, a-t-il expliqué.Un registre sur lequel l’a rejoint le maire de Londres Sadiq Khan. “Nous ne pouvons pas nous recroqueviller face à ces attaques”, a déclaré l’édile au micro de SkyNews. “Nous allons devoir réexaminer la manière dont nous protégeons les femmes et hommes politiques, mais nous ne pouvons pas perdre ce qui est si crucial en démocratie: la possibilité pour les élus de rencontrer et de se mélanger à la population et aux citoyens qu’ils représentent.” "We can't cower to these sorts of attacks."@SadiqKhan says the security surrounding politicians needs to be 're-examined' following the fatal stabbing of Sir David Amess - but adds that MPs meeting constituents is a "precious" part of democracy.Latest: https://t.co/sKQfeHgFSGpic.twitter.com/vc8tQp5LwK— Sky News (@SkyNews) October 15, 2021La ministre de l’Intérieur Priti Patel “a demandé à toutes les forces de police de revoir les dispositions de sécurité pour les députés avec effet immédiat”, a indiqué vendredi soir son porte-parole, précisant que la ministre en dirait davantage “en temps voulu”.L’inquiétude est nourrie par les chiffres de la police qui montrent une augmentation des actes de délinquance envers les parlementaires. En 2019, Scotland Yard avait évoqué une poussée de 126% entre 2017 et 2018 et une hausse de 90% dans les quatre premiers mois de 2019.Nombre d’élus ont raconté avoir fait l’objet de menaces de mort dans le contexte du Brexit qui a profondément divisé le pays.Des précédents tragiquesEt les menaces et insultes pèsent aussi sur les assistants parlementaires.Jade Botterill, qui a travaillé pour la députée travailliste Yvette Cooper entre 2013 et 2019, a déclaré que cela l’avait poussée à quitter son poste. Dans les bureaux des députés dans leurs circonscriptions, les gens “défilent et c’est le personnel qui subit le plus les attaques la plupart du temps”, a-t-elle raconté. “C’est vraiment pétrifiant en tant que membre du personnel.”En 2000, Andrew Pennington, assistant du député libéral-démocrate Nigel Jones avait été tué à coups de sabre par un homme souffrant de problèmes de santé mentale qui avait aussi blessé le député, alors en pleine permanence parlementaire à Cheltenham, dans l’ouest de l’Angleterre.En 2010, le travailliste Stephen Timms a été poignardé à deux reprises par une jeune islamiste de 21 ans, au prétexte qu’il avait voté en faveur de l’intervention militaire britannique en Irak en 2003. Il s’était remis de ses blessures qui auraient pu lui coûter la vie. “Dans les prochains jours, nous devrons discuter et examiner la sécurité des députés et toutes les mesures à prendre” a déclaré le président de la chambre des Communes, Lindsay Hoyle vendredi. Il a souligné que le drame envoyait “des ondes de choc à travers la communauté parlementaire et l’ensemble du pays”.Une personnalité appréciée et saluéeDans la nuit de vendredi à samedi, quelques heures après que l’enquête sur le meurtre du député a été confiée à la direction antiterroriste, la police métropolitaine a qualifié le crime d’acte terroriste et indiqué que les premiers éléments de l’enquête avaient “révélé une motivation potentielle liée à l’extrémisme islamiste”.Peu de temps après le drame, un homme de 25 ans avait été arrêté dans l’église méthodiste dans laquelle David Amess, âgé 69 ans et père de 5 enfants, recevait ses administrés. Selon des médias locaux, l’homme interpellé serait un ressortissant britannique d’origine somalienne.Immédiatement, de nombreux élus britanniques, alliés comme opposant du conservateur Amess avaient salué sa mémoire et sa personnalité. “Il était l’une des personnalités politiques les plus gentilles, les plus agréables, les plus tendres”, a par exemple déclaré le Premier ministre Boris Johnson. “C’était un homme qui qui croyait passionnément à ce pays et à son avenir. Nous avons perdu aujourd’hui un bon fonctionnaire, un ami et un collègue adoré.” Le chef du parti travailliste Keir Starmer a quant à lui salué “un élu dévoué”, au “profond sens du devoir” et dont l’impact positif sur la vie de ses administrés aura été “puissant”. “Nous montrerons une fois de plus que la violence, les intimidations et les menaces contre notre démocratie ne surpasserons jamais la dévotion inextinguible de nos fonctionnaires dans leur travail.” Sir David Amess. pic.twitter.com/N9bPWGWw0D— Keir Starmer (@Keir_Starmer) October 15, 2021Don't really have the words. The feeling of wanting to be amongst my colleagues is very strong. To lovely David's family nothing but love. https://t.co/unzEkmk3IB— Jess Phillips MP (@jessphillips) October 15, 2021"He was one of the kindest, nicest, most gentle people in politics"PM Boris Johnson pays tribute to Sir David Amess, who was killed after being stabbed in his constituency: "We’ve lost today a fine public servant and a much-loved friend & colleague"https://t.co/ItKZ7yxQQopic.twitter.com/VQ0erq280r— BBC Breaking News (@BBCBreaking) October 15, 2021À voir également sur le HuffPost: “Soirées varicelles”, “désastre”, “mensonges”, Johnson défend son bilan devant le parlementLIRE AUSSI:Passe d'armes entre Paris et Londres au sujet des migrants traversant la MancheBrexit, Covid ou BoJo: qui est responsable des pénuries au Royaume-Uni?
https://www.huffingtonpost.fr/entry/apres-le-meurtre-du-depute-david-amess-le-debat-sur-la-securite-des-parlementaires-relance_fr_616a726ce4b01f6f7e499983INTERNATIONAL,Sécurité
DeepFakes - "Complément d'Enquête" sur France 2 est revenu sur les montages vidéos pornos mettant en scène Enora Malagré : "J'ai l'impression d'avoir subi une agression sexuelle" - Regardez
Complément d'enquête, l'émission d'investigation de France 2, consacrait son numéro hier soir, aux chantages à la vidéo compromettante, à la diffusion de photos intimes et aux montages pornographiques. Et on a découvert les "Deep Fake", pour faire simple des montages numériques où la tête d'une personnalité est glissée à la place d'un acteur ou d'une actrice dans une vidéo, par exemple dans un porno. Des montages si bien faits que l'on on voit absolument pas le trucage. Une découverte pour l'ancienne chroniqueuse de Touche pas à mon poste, qui affirme avoir découvert ça avec les journalistes de l'émission et être encore sous le choc :"Je l'ai appris avec vos journalistes. Je savais qu'il y avait des photos de moi un peu trafiquées qui circulaient. J'ai l'habitude d'être cyberharcelée. J'ai l'habitude d'avoir une image un peu trafiquée, torsadée. Mais ça, je l'ai découvert. Avec le choc aussi que ça provoque. Là, j'ai trouvé ça d'une rare violence.J'ai l'impression d'avoir subi une agression sexuelle et je ne crois pas que le mot soit galvaudé. Il y a quelque chose de cet ordre-là. Étant donné que mon visage est sur un corps. Ce corps a un rapport sexuel avec quelqu'un. Ça, je ne le consens pas. Donc je ressens une profonde atteinte à ma dignité".
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-477280-deepfakes-complement-d-enquete-sur-france-2-est-revenu-sur-les-montages-videos-pornos-mettant-en-scene-enora-malagre-j-ai-l-impression-d-avoir-subi-une-agression-sexuelle-regardez.html,France 2
Après son match de foot de charité, le président Emmanuel Macron a fait la fête hier soir à l’Elysée au son de "I Will Survive" - Regardez
Emmanuel Macron participait hier à un match de football, avec le "Variétés Club de France" au profit de la Fondation des Hôpitaux, présidée par Brigitte Macron, la Première dame. Le président de la République a joué 76 minutes dans l'axe droit du milieu de terrain. Devant 3.000 personnes au stade Léo Lagrange, à Poissy, l'équipe dans laquelle était le chef de l'Etat a marqué six buts contre 1 pour l'équipe adverse du personnel de l'hôpital de la ville des Yvelines.Après le match caritatif, Emmanuel Macron a convié des personnalités à l'Elysée pour le traditionnel dîner du "Variétés Club de France". Lors de la soirée, le Président a fait la fête sur le titre "I Will Survive". Jeanmarcmorandini.com vous propose de découvrir cette séquence (voir vidéo ci-dessus)..Macron fait la fête sur "I Will Survive" à l'Elysée après son match de foot pic.twitter.com/Kg4wPErSFl— BFMTV (@BFMTV) October 15, 2021
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-477343-apres-son-match-de-foot-de-charite-le-president-emmanuel-macron-a-fait-la-fete-hier-soir-a-l-elysee-au-son-de-i-will-survive-regardez.html,Emmanuel Macron