Aux Pays-Bas, une tribune du stade de Nimègue s'écroule
FOOTBALL - Une partie d’une tribune d’un stade de foot s’est écroulée ce dimanche 17 octobre aux Pays-Bas à l’issue de la rencontre d’Eredivisie entre NEC Nimègue et Vitesse Arnhem (0-1), sans faire de blessé.La partie basse de la tribune du stade de Nimègue s’est écroulée lorsqu’une quarantaine de supporters fêtaient en sautant la victoire des joueurs d’Arnhem, venus saluer leurs fans après avoir remporté le derby.“À ma connaissance, il n’y a pas de blessés”, a déclaré à la télévision publique néerlandaise NOS Wilco van Schaik, président de NEC Nimègue. “Je suis sans voix. Il y a toutes sortes de choses qui vous passent par la tête”, a-t-il poursuivi.D’après les images, un conteneur placé sous la tribune a évité que celle-ci ne s’effondre totalement.#PaysBas ?????????? - Une section des tribunes du club néerlandais NEC Nijmegen's Goffert Stadium s'est effondrée dimanche alors que les fans de Vitesse Arnhem en visite célébraient la victoire 1-0 de leur équipe. Aucune blessure n'a été signalée.pic.twitter.com/QErnylh2Y2— ????—???·?•????? (@NewsInt_) October 17, 2021“C’était choquant”“Je suis très choqué par ce qui s’est passé”, a déclaré le maire de Nimègue, Hubert Bruls, qui a assisté au match avec son homologue d’Arnhem, Ahmed Marcouch. “Heureusement, pour autant que l’on sache, personne n’a été blessé. Je veux qu’une enquête soit menée aussi vite que possible”, a-t-il ajouté.L’actuel stade de Goffert (Goffertstadion), qui compte 12.500 places, a été inauguré en 1999 et appartient à la municipalité de Nimègue.“C’était choquant”, a déclaré Riechedly Bazoer, défenseur d’Arnhem. “Heureusement, tout le monde a survécu”, a-t-il ajouté auprès de NOS.“Un stade qui devrait être sûr s’effondre. Cela doit faire l’objet d’une enquête”, a réagi la fédération de football KNVB.Un porte-parole de l’agence gouvernementale chargée d’enquêter sur de tels incidents a déclaré qu’il n’avait pas encore été décidé si une enquête allait être ouverte. “Il est trop tôt pour dire quoi que ce soit à ce sujet maintenant”, a-t-il déclaré, cité par NOS.À voir également sur Le HuffPost: Les images de Macron footballeur pour le Variétés club de France
https://www.huffingtonpost.fr/entry/pays-bas-une-tribune-du-stade-de-nimegue-secroule_fr_616c89b4e4b00cb3cbd45603SPORT
Avec Éric Zemmour, le RN tente la câlinothérapie (mais ça ne marche pas)
POLITIQUE - “Ce que Marine Le Pen souhaite faire, c’est un gouvernement d’union nationale (...) et probablement qu’Éric Zemmour sera le bienvenu dans ce gouvernement”. Ce samedi 16 octobre soir sur le plateau de l’émission On est en direct, le président du Rassemblement national par intérim, Jordan Bardella, ne tenait plus rigueur de la “forme de brutalité” qu’il déplorait vigoureusement chez le polémiste il y a encore quelques jours. Car après avoir tenté de le diaboliser (ce qui a semé le doute en interne), l’heure est désormais à l’apaisement au sein du parti lepéniste, conscient que les attaques répétées contre un homme apprécié des électeurs RN peuvent s’avérer contre-productives. Un changement de ton parfaitement assumé au sein du parti de Marine Le Pen. “Il faut arrêter ça, j’ai essayé et ça ne marche pas. J’ai eu l’impression de faire du SOS-Racisme et d’être Caroline Fourest en plateau”, aurait fait savoir, selon Le Figaro, Jordan Bardella lors d’une réunion à huis clos. Si consigne a été donnée de ne plus tacler frontalement le candidat putatif, hors de question toutefois de donner l’impression de battre en retraite. “J’aimerais qu’Eric Zemmour prenne conscience que je n’ai aucune responsabilité dans la situation du pays et que c’est Emmanuel Macron qui est au pouvoir. Il devrait donc réserver ses piques au président de la République plutôt qu’à quelqu’un qui défend la France avec conviction, honnêteté et pugnacité (depuis) plus longtemps que lui”, a déclaré ce samedi Marine Le Pen, en marge d’un déplacement dans le Vaucluse, se disant “convaincue” que le polémiste finira par la rejoindre. Dépasser les querelles pour aboutir au rassemblement, voilà le message martelé ces dernières heures par les soutiens de la candidate. “Il faut être idiot pour ne pas le voir, on aura besoin inévitablement à un moment donné les uns des autres, l’un de l’autre”, a déclaré ce dimanche sur BFMTV Gilbert Collard, qui a assisté à sa conférence nîmoise vendredi soir, “comme lecteur, et non comme électeur”. La veille, c’est Robert Ménard qui jouait les entremetteurs, implorant le polémiste et la candidate à s’entendre pour éviter une dispersion des voix du “camp national”. Problème: Éric Zemmour reste tout à fait sourd à ces invitations.“Je dis ce que tout le monde sait” Au contraire, l’ancienne vedette de CNews fait tout pour marquer sa différence avec Marine Le Pen, répétant à qui veut l’entendre qu’elle restera une perdante. “Quand je dis Marine Le Pen ne gagnera jamais, je dis ce que tout le monde sait”, a rétorqué illico Éric Zemmour, estimant que “l’élection présidentielle au suffrage universel ce n’est pas une élection pour être Premier ministre”. Une manière d’adresser une fin de non recevoir aux responsables RN qui voudraient l’acheter contre un ticket gouvernemental. Cette position n’est, en réalité, pas surprenante de sa part, puisqu’il a souvent affirmé se référer à l’élection de 1995 (qui a opposé à droite Jacques Chirac et Édouard Balladur), allant jusqu’à revendiquer le monopole de l’héritage du RPR. “C’est à dire le rassemblement de la droite populaire, bonapartiste, gaulliste qui rassemble les classes populaires et la bourgeoisie patriote”, assure-t-il. Or, dans cette perspective, il n’a aucun intérêt à convoler avec la candidate RN, d’autant que, selon cette analyse du Parisien, le profil de son électorat se rapproche davantage de celui de la droite traditionnelle que celui de Marine Le Pen, qui plaît davantage aux jeunes et aux classes populaires. Ce qui, dans une logique de campagne électorale consistant à consolider sa base au premier tour puis de l’élargir au second, explique son étanchéité aux sirènes frontistes.Raison pour laquelle il ne s’empêche pas de taper, et de taper très fort. Depuis Béziers, il a accusé les candidats qui se positionnent sur le pouvoir d’achat (dont Marine Le Pen fait partie) de “mépriser les Français”. Ce qui, sans surprise, a tout de suite réveillé les rancœurs des proches de la député du Pas-de-Calais. “Comme Macron, Zemmour ne s’est jamais présenté à une élection locale et n’a pas conscience de ce que vivent les vrais gens. Un peu d’humilité et de chaleur humaine lui feraient du bien. Et de modestie également”, a commenté, amer, le maire d’Hénin-Beaumont Steeve Briois, jugeant “inutiles” les “attaques répétées et déplacées” du polémiste. Une pique qui souligne que le RN n’a pas encore trouvé la bonne formule pour mettre à distance la menace Zemmour. À voir également sur Le HuffPost: Les fans de Zemmour reprennent sans filtre son discours anti-islamLIRE AUSSI#LesProfsAvecCthulhu: la réponse par l'absurde de ces profs aux enseignants pro-ZemmourAprès Pécresse, Bertrand va finalement reprendre sa carte LR avant le congrès
https://www.huffingtonpost.fr/entry/pourquoi-la-calinotherapie-du-rn-envers-eric-zemmour-ne-marche-pas_fr_616be16fe4b005b245be1bd0POLITIQUE,Zemmour
On est en direct : Jordan Bardella tacle Eric Zemmour sur la question des prénoms (VIDEO)
Invité de "On est en direct" sur France 2, Jordan Bardella a glissé un tacle à Eric Zemmour en revenant sur la polémique des prénoms.
https://www.programme-television.org/news-tv/On-n-est-pas-couche-Jordan-Bardella-tacle-Eric-Zemmour-sur-la-question-des-prenoms-4678527Télévision,Zemmour
Marseille / Lorient : sur quelle chaîne et à quelle heure voir le match en direct ?
L'Olympique de Marseille accueille le FC Lorient ce dimanche 17 octobre en clôture de la 10ème journée de Ligue 1. Sur quelle chaîne et à quelle heure voir le match en direct ?
https://www.programme-television.org/news-tv/Marseille-Lorient-sur-quelle-chaine-et-a-quelle-heure-voir-le-match-en-direct-4678484Télévision
Le couple Mauro Icardi-Wanda Nara vit des heures agitées
FOOTBALL - C’est l’un des couples les plus célèbres du foot business. Mauro Icardi, joueur du PSG, et Wanda Nara, agente de celui-ci et mannequin, sont mariés depuis 2014 et ont deux enfants.Ce samedi 16 octobre, il semblerait qu’il y ait de l’eau dans le gaz dans la relation amoureuse entre les deux Argentins. Wanda Nara a en effet publié une story avec un simple message très équivoque sur son compte Instagram: “Une autre famille que tu as détruite pour une salope”.Wanda Nara a aussi cessé, dans la foulée, de suivre le compte Instagram de son mari. Elle a aussi retiré de son compte toutes les photos où elle apparaissait avec celui-ci.Dans le même temps, Ker Weinstein, une blogueuse et influenceuse people, qui revendique 350.000 abonnés sur Instagram, annonçait une séparation entre les deux époux, partageant un message très clair que Wanda Nara lui a envoyé en privé: “Je me suis séparée”.View this post on InstagramA post shared by Chismes de Ker?????? (@chismesdeker) Mauro Icardi et Wanda Nara s’étaient encore affichés publiquement ensemble le 5 octobre au défilé Louis Vuitton lors de la Fashion Week à Paris (voir la photo en tête d’article).À voir également sur Le HuffPost: Pour acheter le maillot de Messi, ils font la queue... jusque dans le métro
https://www.huffingtonpost.fr/entry/le-couple-mauro-icardi-wanda-nara-vit-des-heures-agitees_fr_616b7a2be4b01f6f7e4a28feSPORT
Pass sanitaire : Avec un peu plus de 40.000 manifestants en France, la mobilisation continue de faiblir
Le ministère de l’Intérieur a comptabilisé 171 actions sur tout le territoire pour le quatorzième samedi consécutif de manifestations
https://www.20minutes.fr/societe/3150011-20211017-pass-sanitaire-peu-plus-40000-manifestants-france-mobilisation-continue-faiblir#xtor=RSS-149Société
La bronchiolite de mon fils à un mois de vie a transformé ma vision de la parentalité - BLOG
PARENTALITÉ - Les matins commencent invariablement de la même façon chez nous. Après lui avoir fait une DRP (une désobstruction rhinopharyngée, en gros lui nettoyer le nez avec du sérum physiologique), j’habille mon deuxième fils âgé de neuf mois. Je prends toujours quelques secondes pour regarder son torse.Comment respire-t-il? Est-ce que sa respiration est saccadée? Et surtout, est-ce qu’il “creuse” sous les côtes en inspirant? Lui babille pendant ce temps, il essaie d’attraper mes colliers, de se mettre debout. Il est à mille lieues du sérieux de l’examen que je lui fais subir.Vous avez envie de raconter votre histoire? Un événement de votre vie vous a fait voir les choses différemment? Vous voulez briser un tabou? Vous pouvez envoyer votre témoignage à temoignage@huffpost.fr et consulter tous lestémoignages que nous avons publiés. Pour savoir comment proposer votre témoignage, suivez ce guide!Depuis la fin du mois d’août, il a eu un nombre incalculable de rhumes. Il se réveille systématiquement avec le nez qui coule et souvent une petite toux. C’est la saison et puis il est en crèche, c’est normal. C’est normal sauf que c’est aussi un douloureux rappel pour moi. Toute notre vie ébranléeDepuis le mois de mars 2021, j’attends anxieusement l’hiver à venir. Notre fils a eu une bronchiolite un mois tout pile après sa naissance, le 7 février 2021. Ce fut clairement un manque de chance car, cet hiver-là, entre les gestes barrières et les confinements, ce virus avait bien moins circulé que d’ordinaire. Et cette bronchiolite a ébranlé toute notre vie. Nous avons connu les urgences pédiatriques, le transfert en SAMU au milieu de la nuit pour l’hospitaliser en réanimation, l’intubation et la sédation pendant neuf jours interminables avant la sortie au bout de quinze jours.Aujourd’hui, notre fils ne garde aucune séquelle, a priori, de cette maladie… Si ce n’est une fragilité. Avoir eu une bronchiolite si jeune, cela n’a pas renforcé ses défenses immunitaires, cela pourrait même être le contraire, selon les médecins qui le suivent.“Mais ça va aller, il est plus costaud maintenant”, ne cesse de nous répéter notre médecin traitant. Combien de fois nous a-t-il dit après une consultation prise en urgence le jour même: “Il va très bien, ne vous inquiétez pas.” Ou même une fois: “Non, n’insistez pas, je ne lui donnerai pas de traitement, il n’en a pas besoin.” Avant de devenir parent, j’avais déjà entendu parler de la bronchiolite. Quand notre premier fils est né, j’étais déjà bien au fait de ce virus et des symptômes. Notre aîné comme la majorité des enfants de zéro à deux ans n’en a pas eu. Dans notre entourage, un petit garçon né comme notre aîné en automne en a eu une sans aucune hospitalisation à deux mois de vie. Clairement, nous avons manqué de chance.Comme le rappelle l’hôpital Necker sur son site, la bronchiolite touche “30% de la classe d’âge des enfants de 1 mois à 2 ans”. “Dans la grande majorité des cas, le diagnostic médical et le traitement relèvent d’une prise en charge de ville. Seule une très petite proportion nécessite un recours hospitalier.”Un stress post-traumatiqueAprès l’hospitalisation, j’ai vécu pendant plusieurs semaines avec du stress post-traumatique jusqu’à ce que je pousse la porte d’un cabinet de psychologue. Cette épreuve m’a permis de me confronter à ma plus grande peur, perdre mon enfant sans rien pouvoir faire pour l’aider. Mais j’ai peiné (et je peine encore) à la mettre derrière moi. Mais comme tous les défis qui se posent à nous lorsqu’on devient parents, il faut avancer et continuer.
La vérité, c’est qu’en devenant parent, on perd la possibilité de contrôler plus ou moins ce qui nous arrive, et surtout ce qui leur arrive.Sandra LorenzoTout passe, tout change. Bientôt, nous fêterons sa deuxième bougie et la bronchiolite sera un mauvais souvenir. Bientôt, il s’écorchera les genoux à vélo. Bientôt, on s’inquiétera de ne pas le voir rentrer de la nuit, trop occupé à faire la fête avec ses amis. La vérité, c’est qu’en devenant parent, on perd la possibilité de contrôler plus ou moins ce qui nous arrive, et surtout ce qui leur arrive. Alors, même si je préférerais le mettre dans une bulle stérile, on va continuer à sortir, à voir du monde (avec masque et gel hydroalcoolique, évidemment) et à vivre. Je vais continuer à scruter sa respiration mais je sais que, bientôt, j’arrêterai.Comme l’a dit si justement ma psy, mon rôle de parent n’est pas de le protéger de tout, mais de le préparer pour qu’au moment voulu il puisse nous quitter et vivre sa vie. C’est un énorme défi mais je sais que cette épreuve a été un moment fondateur de ma parentalité.À voir également sur Le HuffPost: Le réflexe craquant de cette petite fille décrit parfaitement nos obsessions face au Covid-19LIRE AUSSI"Personne ne m’avait dit qu’un accouchement pouvait bien se passer"“Faire connaissance avec mon fils, le plus grand défi après sa naissance”
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Finistère - Fourgonnette retrouvée sur le toit d’un Abribus : On sait en fin ce qui s'est vraiment passé et comment elle est arrivée là !
La commune de Plounéventer, dans le nord du Finistère, a été le théâtre d’une aventure aussi insolite que mystérieuse. Une fourgonnette a en effet été retrouvée garée... sur le toit d’un Abribus. Après plusieurs jours d'enquête, l'auteur des faits a été identifié. La photo de cette scène surréaliste, qui n'est pas un montage, avait fait le tour des réseaux sociaux.C’est dans la matinée du lundi 11 octobre 2021, que les habitants de la commune avaient pu découvrir ce véhicule perché dans les airs. Le cliché, qui a été beaucoup relayé, a aussi fait l’objet de détournements comme celui de la page Instagram Memes de Brest, qui surfe sur le mythe de l’alcoolisme breton.L'utilitaire blanc a été descendu de son piédestal dans la journée de lundi par les services communaux.La gendarmerie de Landivisiau a ensuite réussi à identifier le propriétaire du véhicule, un homme issu de la communauté des gens du voyage, mais pas l'auteur ni le motif de cette mauvaise blague. Selon les informations du Télégramme, l'auteur des faits, un agriculteur, a été identifié par la gendarmerie. Après un «conflit commercial» lié à une vente de voiture, l'individu se serait vengé en déposant la fourgonnette de son voisin sur un Abribus à l'aide d'un transpalette. La mairie de la commune de Plounéventer ne portera pas plainte, mais une procédure sera engagée pour mise en danger.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-477262-finistere-fourgonnette-retrouvee-sur-le-toit-d-un-abribus-on-sait-en-fin-ce-qui-s-est-vraiment-passe-et-comment-elle-est-arrivee-la.html
Delphine Jubillar: L’interrogatoire de Cédric Jubillar, entendu depuis ce matin par deux magistrats pour la première fois, est terminé
15h58: L’interrogatoire de Cédric Jubillar, entendu depuis ce matin par deux magistrats pour la première fois, est terminé. Cédric Jubillar est arrivé au tribunal vers 08h35 dans un fourgon de l'Administration pénitentiaire aux vitres teintées, qui s'est engouffré dans un parking souterrain du bâtiment. Il s'agit du premier interrogatoire du suspect n°1 en qualité de mis en examen.Avant cela, ce peintre-plaquiste de 34 ans avait été entendu comme partie civile par ces juges, en charge de l'enquête depuis l'ouverture d'une information judiciaire fin décembre 2020. L'interrogatoire devrait durer plusieurs heures, selon ses avocats qui ont indiqué qu'ils ne s'exprimeraient qu'à l'issue de l'interrogatoire. Les trois avocats ont pu s'entretenir avec leur client avant le début de l'audition. Un autre interrogatoire est programmé pour le 3 décembre.12h07: Dix mois après la disparition de Delphine Jubillar, une infirmière de 33 ans, son mari Cédric était entendu vendredi au palais de justice de Toulouse par les deux magistrates qui l'ont mis en examen pour meurtre en juin. Cédric Jubillar est arrivé au tribunal vers 08h35 dans un fourgon de l'Administration pénitentiaire aux vitres teintées, qui s'est engouffré dans un parking souterrain du bâtiment. Il s'agit du premier interrogatoire du suspect n°1 en qualité de mis en examen.Avant cela, ce peintre-plaquiste de 34 ans avait été entendu comme partie civile par ces juges, en charge de l'enquête depuis l'ouverture d'une information judiciaire fin décembre 2020. L'interrogatoire devrait durer plusieurs heures, selon ses avocats qui ont indiqué qu'ils ne s'exprimeraient qu'à l'issue de l'interrogatoire. Les trois avocats ont pu s'entretenir avec leur client avant le début de l'audition.Un autre interrogatoire est programmé pour le 3 décembre.Cédric Jubillar, intérimaire dans le secteur du bâtiment, dément toute implication dans la disparition de sa femme et a déposé trois recours devant la justice pour réclamer sa remise en liberté. Il est détenu depuis le 18 juin à la maison d'arrêt de Seysses, près de Toulouse, en quartier d'isolement. "C'est la première fois qu'il va être interrogé sur le fond par les magistrates. On n'attend pas grand-chose de cette audition. On attend que les questions soient posées de manière objective, dans des conditions sereines, plus convenables que pendant la garde à vue", a déclaré mardi à l'AFP son avocate Emmanuelle Franck.Vendredi, le mari de Delphine Jubillar devait continuer de nier. "Le dossier est vide, martèle Me Franck. On ne nous a fourni aucun élément qui soit un début de preuve, la seule hypothèse qui est envisagée c'est sa culpabilité. Il n'y a aucun élément probant, personne ne vous dira que le dossier est accablant."09h23: Les avocats de Cédric Jubillar viennent d'arriver au tribunal de Toulouse, mais ne se sont pas exprimés devant les nombreuses caméras07h45: Pour la première fois depuis son incarcération, Cédric Jubillar est convoqué aujourd'hui à Toulouse devant les deux juges d'instruction pour être interrogé sur cette affaire qui reste sans réponse depuis la nuit du 15 au 16 décembre 2020. Ce soir-là, l'infirmière de 33 ans et mère de deux jeunes enfants a disparu de leur maison de Cagnac-les-Mines, un village près d'Albi, dans le Tarn. Sans corps, ni aveux, ni preuve irréfutable, les gendarmes de la section de recherche de Toulouse ont longtemps piétiné. C'est seulement au mois de juin que le peintre-plaquiste de 34 ans, en instance de divorce avec la disparue, a été mis en examen pour meurtre et écroué.La justice estime avoir recueilli assez d'indices graves et concordants contre lui, tandis qu'il clame son innocence.Prélevée le 17 décembre 2020, soit le lendemain de la disparition de Delphine Jubillar à Cagnac-les-Mines (Tarn), l'eau du lave-linge que Cédric Jubillar, le mari de la disparue, a fait tourner le jour des faits, a été analysée, rapporte La Dépêche du Midi . Cette machine à laver se trouve actuellement au cœur des investigations : lors de l'arrivée des gendarmes au domicile des Jubillar le 16 décembre, ces derniers découvrent Cédric Jubillar en train de «déclencher une machine à laver» dans laquelle se trouve «la couette du lit sur laquelle dormait Delphine Jubillar», avait indiqué lors d'une conférence le procureur de la République de Toulouse.Selon la version de Cédric Jubillar, il était nécessaire de laver cette couette car «son chien avait uriné dessus», rapportait alors au Figaro son avocat, Me Jean-Baptiste Alary. Pourtant, selon les informations de La Dépêche, si les résultats d'analyse de l'eau de cette machine à laver ont révélé qu'il n'y avait pas de traces de sang, le rapport indique également qu'il n'y avait aucune trace d'urine.«Cette conclusion ne contredit pas ce que dit Cédric Jubillar depuis le début, estime auprès du Figaro Me Alary, dans le rapport, les experts disent bien qu'ils ne trouvent pas de trace d'urine, mais ils ouvrent la question en disant que, quand bien même l'eau aurait contenu de l'urine, il n'est pas certain qu'ils auraient pu détecter sa trace, la machine contenant énormément d'eau».
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-477283-delphine-jubillar-l-interrogatoire-de-cedric-jubillar-entendu-depuis-ce-matin-par-deux-magistrats-pour-la-premiere-fois-est-termine.html,Jubillar
Jordan Bardella, patron du RN, face à Christophe Beaugrand sur la GPA et la PMA : "Je suis en désaccord avec le fait de payer une femme pour qu'elle porte un enfant..." - Vidéo
Hier soir, deux mondes semblaient s'opposer dans "On est en direct" sur France 2. Laurent Ruquier et Léa Salamé recevaient en effet le numéro 1 du Rassemblement National mais également l'animateur de TF1, Christophe Beaugrand qui vient de publier un livre sur la paternité.Bien évidemment le débat a été ouvert sur le plateau à propos de la GPA et de la PMA, et pour Jordan Bardella : « Ce qui est technologiquement possible n’est pas toujours humainement souhaitable. Le droit, les lois ne peuvent pas s'adapter à tous les désirs illimités des hommes. Je ne pose pas de jugement moral sur tout cela. Mais dans une société marchante où tout s'achète et tout se vend Le corps et la famille doivent conserver une dimension sacrée. Je suis en désaccord avec le fait de payer une femme... payer une femme pour qu'elle porte un enfant, c'est à dire payer son ventre, n'est pas souhaitable....»
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-477463-jordan-bardella-patron-du-rn-face-a-christophe-beaugrand-sur-la-gpa-et-la-pma-je-suis-en-desaccord-avec-le-fait-de-payer-une-femme-pour-qu-elle-porte-un-enfant-video.html
Pourquoi Emmanuel Macron lance les états généraux de la justice si tard
POLITIQUE - Après Emmanuel Macron s’occupe des policiers et Emmanuel Macron se projette dans le futur, découvrez ce lundi 18 octobre Emmanuel Macron lance les États généraux de la Justice. Promise au mois de juin, cette séquence intervient alors que le chef de l’État multiplie les déplacements thématiques, nourrissant les critiques de l’opposition qui l’accuse de mener une campagne déguisée. Une initiative qui a “pour ambition de dresser un état de la situation de la justice et de formuler des propositions concrètes pour la mettre au centre du débat démocratique”. Pour rappel, c’est dans le contexte tendu de la remise en cause de la Justice sur fond de ras-le-bol policier que la tenue de ces États généraux avait été annoncée. Et avec la volonté pour le président de la République de montrer qu’il soutenait personnellement l’institution judiciaire, après les alertes émises par les hauts magistrats Chantal Arens et François Molins, à l’origine de ce chantier. “Avec sa présence et le fait qu’il s’empare de cet événement, il entend montrer à toute cette communauté, à tout cet écosystème, l’importance qu’il accorde à ce sujet. Parce que sa vision du régalien, c’est un arbre à deux branches où il y a et l’intérieur, et la justice”, explique l’Élysée, comme pour répliquer aux discours qui opposent la place Beauvau à la place Vendôme. Et de souligner que les forces de l’ordre ne sont pas mieux considérées que les magistrats, et ce, malgré les gains considérables obtenus par les syndicats policiers sur le quinquennat.“Il reformera jusqu’au dernier quart d’heure”Reste que le timing interroge, alors que les “plusieurs semaines” prévues pour ces travaux n’ont rien de comparables aux huit mois qu’avait nécessité le Beauvau de la sécurité. Dans l’entourage du chef de l’État, on explique que les ambitions ne sont pas de la même nature. “Cette idée des États généraux, c’est vraiment une idée de remise à plat pour restaurer la confiance en la justice”, observe la présidence, rappelant que cette demande “vient des plus hauts magistrats de France”. Quant au peu de temps qu’il reste à Emmanuel Macron et son gouvernement pour mettre en œuvre des mesures qui ressortiraient de ces États généraux d’ici la fin du mandat, l’Élysée assure qu’il n’est pas trop tard, malgré un agenda parlementaire surchargé limitant les marges de manœuvre. “Le président l’a dit à de nombreuses reprises: il reformera jusqu’au dernier quart d’heure”, assure son entourage, avant d’ajouter: “Tout ce qui pourra être fait, qui ne nécessite pas de réforme législative, que nous n’aurons pas d’évidence le temps de faire, évidemment, le garde des Sceaux le fera”. Une manière d’écarter d’avance tout procès en instrumentalisation.À ce sujet, l’Élysée insiste d’ailleurs sur “l’indépendance” de la commission “transpartisane” qui aura à faire des propositions à l’exécutif. “Le Président y tient très particulièrement. C’est un point fondamental”, assure son entourage. Avant d’ajouter: “On veut écarter les éventuels doutes sur l’idée d’une manipulation”. Alors que l’événement va permettre à Emmanuel Macron d’exposer longuement sa vision de la justice dans un contexte précampagne qui ne dit son nom, pas sûr que les oppositions l’entendent ainsi. À voir également sur Le HuffPost: Macron rend hommage au résistant Hubert Germain, “gardien du flambeau du général de Gaulle”
https://www.huffingtonpost.fr/entry/pourquoi-emmanuel-macron-lance-les-etats-generaux-de-la-justice-si-tard_fr_616c1398e4b005b245be3a7ePOLITIQUE,Emmanuel Macron,Justice
Avec ses États généraux de la justice, Macron compte sur vous
POLITIQUE - Nouveau comité citoyens en approche. Après le Beauvau de la Sécurité et le Ségur de la Santé, Emmanuel Macron lance en grande pompe, ce lundi 18 octobre, ce qui aurait pu être le “Vendôme” de la justice.Trop parisien? Place aux États généraux, censés “déboucher sur des propositions concrètes” pour mettre l’institution “au centre du débat démocratique”, selon les mots de la présidence. Tout un programme, pour lequel le chef de l’État compte sur l’apport des Françaises et des Français désireux de participer. Plus concrètement, il sera question d’un “système à bout de souffle” et de la “désespérance collective” du monde des tribunaux. Ce sont avec ces termes que les deux plus hauts magistrats, Chantal Arens, la première présidente de la Cour de Cassation, et François Molins, le procureur général de cette même Cour, lui ont demandé d’organiser ce grand raout, le 5 juin dernier, dans un contexte alors éruptif marqué par les “mises en cause systématiques de la justice.”Vienne qui pourraQuatre mois, et un “signal d’alarme” plus tard, le président de la République se retrouve donc au palais des congrès de Poitiers, accompagné du garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti, pour ouvrir ces -longues- discussions. Avec un but en tête: restaurer la confiance entre les citoyens et leur justice.Dans la Vienne, le président de la République va s’exprimer devant un parterre composé de représentants des différents métiers du droit -huissiers, avocats, greffiers, directeurs juridiques d’entreprise etc... Seront également présents, des étudiants, des policiers et autres forces de sécurité intérieure. Autant voir grand. “Il ne s’agit pas du tout d’un événement consacré exclusivement à la magistrature et ça, c’est très important même par rapport au message que pourra transmettre le président”, explique l’Elysée, insistant sur l’esprit d’ouverture qui doit prévaloir: un lieu neutre, pour le lancement, le palais des congrès plutôt qu’un palais de justice. Et un déplacement en région “pour éviter le caractère précisément fermé”. Une plateforme numérique...Dans cette logique, plusieurs initiatives seront lancées pour que les Français s’investissent dans le débat. Un panel d’habitants de la région sera notamment convié, lundi, aux discussions, aux côtés du public plus spécialiste. Comme un symbole, ce sont eux qui devraient ouvrir le bal des témoignages pour raconter “leur rapport individuel à la justice”, toujours selon les mots de la présidence.Dans la foulée, le ministère de la Justice va lancer un site internet, qui devrait se nommer “Parlonsjustice.fr”, selon Le Monde, dédié à ces États généraux. Le but: recueillir le plus de commentaires possibles, de différents horizons, sur le fonctionnement ou les dysfonctionnements du système judiciaire.“On a décidé de mettre en place une plateforme numérique qui permet à n’importe quel citoyen, sur l’ensemble du territoire national, de pouvoir répondre à un questionnaire” ouvert et fermé, précise-t-on du côté de la place Vendôme, pour que chacun puisse “faire des propositions en fonction des thématiques qui y sont abordées.” En parallèle, plusieurs réunions locales devraient être organisées sur le terrain avec des élus locaux, des professionnels et des citoyens, toujours pour recueillir le maximum de contributions et autres propositions.... puis un panel de citoyensUne fois que la consultation aura trouvé son public, et qu’une “panélisation sera possible”, les organisateurs vont mettre en place des ateliers auxquels pourront participer les Français volontaires. Cela permettra de “répondre très concrètement à leurs questions”, explique le ministère, pour qu’ils proposent, ensuite, leurs idées, sur l’évolution du système judiciaire.Plus globalement, les travaux de ces États généraux vont se dérouler en trois phases: les consultations tous azimuts, l’expertise, menée par une commission indépendante, composée de différents experts, et la formalisation des propositions pour terminer. Le tout, pour une fin de chantier prévue à la fin février... soit deux mois avant l’élection présidentielle. Si le calendrier interroge, puisqu’il empêchera Emmanuel Macron d’appliquer les propositions finales -si elles doivent passer par le Parlement- l’Élysée promet que “tout ce que pourra être fait”, le sera. Reste donc plusieurs questions autour de ce grand débat à la sauce Vendôme. Parmi elle: quel sera le poids réel des citoyens et de leurs propositions dans le processus? Les exemples de cette démocratie participative, qui aura jalonné, en partie au moins, le quinquennat d’Emmanuel Macron, de la Convention Climat à la Conférence sur l’avenir de l’Europe, ont souvent accouché de résultats mitigés, à bien des égards. Parlez-en au collectif citoyen sur la vaccination.À voir également sur Le HuffPost: Dupond-Moretti fustige les “irresponsables” qui “jouent avec l’État de droit” chez LR
https://www.huffingtonpost.fr/entry/avec-ses-etats-generaux-de-la-justice-macron-compte-sur-vous_fr_61697c12e4b079111a48ffa2POLITIQUE,Justice
17 octobre 1961: Macron n'a pas parlé de "crime d'État", et cela choque
MÉMOIRE - Tout ça pour ça. Voilà ce que pensent en résumé des intellectuels, militants et politiques de la prise de parole d’Emmanuel Macron, soixante ans après la violente répression des Algériens par la police dirigée par Maurice Papon à Paris, le 17 octobre 1961. À la veille de cet anniversaire, le chef de l’État a effectivement reconnu des “crimes inexcusables pour la République” et pointé la culpabilité et la responsabilité du préfet de police d’alors.Sauf qu’il n’a aucunement, dans le communiqué diffusé par la présidence, admis un quelconque manquement des policiers, ni même nommé les responsables des atrocités commises contre des militants pacifiques qui dénonçaient alors une discriminante obligation de rester chez eux à partir de 20h30. Des morts sans tueurs? ″Étonnamment, le président actuel ne concède que la seule responsabilité individuelle de Papon, effaçant les autres coupables, la préfecture de police n’étant même pas évoquée dans le communiqué présidentiel”, s’est par exemple insurgé, en complément d’une tribune au JDD, le député LFI de Seine-Saint-Denis Alexis Corbière.“Le président reconnaît les morts, mais ne dit pas qui sont les tueurs?”, déplore-t-il encore au sujet d’un drame qui a officiellement fait une centaine de morts “et, probablement, deux ou trois fois plus”, comme le rappelle l’élu. Hier #Macron n'a concédé que la seule responsabilité individuelle de Papon, effaçant les autres coupables et, la Préfecture de police n’est même pas évoquée !Le Président doit reconnaître le massacre des Algériens pour ce qu’il a été : un crime d’État. #17octobre1961@leJDDpic.twitter.com/4S2slsZyYl— Alexis Corbière (@alexiscorbiere) October 17, 2021Alexis Corbière conclut son texte ainsi: “Emmanuel Macron doit encore reconnaître le massacre des Algériens pour ce qu’il a été: un crime d’État”. Un registre sur lequel le député insoumis est loin d’être seul. Samedi 16 octobre, au soir de la prise de position d’Emmanuel Macron, le politologue et historien Olivier Le Cour Grandmaison l’a par exemple rejoint sur le plateau de nos confrères de franceinfo, expliquant que le chef de l’État avait “fait un petit pas pour éviter d’avoir à en faire un plus grand”.Une politique étatique raciste“Ce qui manque, c’est la qualification précise de ce qui a été commis, c’est-à-dire un crime d’État”, a clamé l’universitaire, spécialiste notamment des questions liées à l’époque coloniale française. “Imputer la seule responsabilité de ce qui a été perpétré de manière générale en octobre 1961 à Maurice Papon relève de la fable élyséenne. Aucun historien et aucun de ceux qui s’intéressent à la manière dont fonctionne la police en situation de crise ne pense qu’il a pu agir sans l’aval de ses supérieurs hiérarchiques, le ministre de l’Intérieur et le Premier ministre de l’époque, Michel Debré.” Toujours sur franceinfo, Olivier Le Cour Grandmaison rappelle encore que la France avait à l’époque mis en place une politique raciste de discrimination puisque seuls ceux qui étaient alors appelés “Français musulmans d’Algérie” étaient concernés par la mesure de couvre-feu. Et de regretter à nouveau une déclaration en trompe-l’œil de la part d’Emmanuel Macron, “faite de manière à ne pas avoir à aller plus loin”. “Dans la déclaration qui a été faite, il n’y a rien de précis qui a été dit sur l’accès aux archives”, explique par exemple le chercheur, signe selon lui que comme pour de nombreux historiens depuis 60 ans, des blocages politiques empêchent et devraient continuer à empêcher que toute la lumière soit faite sur les événements tragiques de 1961. Maurice Papon, seul coupableUne idée qui revenait aussi samedi du côté des militants algériens et de ceux qui réclament la reconnaissance d’un crime d’État. Rahim Rezigat, 81 ans, ancien de la fédération France du Front de libération nationale (FLN), présent à une action menée par SOS Racisme en cette date anniversaire, regrettait par exemple auprès de l’Agence France presse que le président de la République ait “joué sur les mots” pour louvoyer sans heurter la sensibilité d’une partie de son électorat et ne pas reconnaître de responsabilité étatique. #17octobre1961Le pont neuf embrasé en hommage aux Algériens victimes de cette répression sanglante. Merci à ceux qui sont venus partager leur vécu, à ceux qui sont venus écouter leurs témoignages et à ceux qui sont venus se recueillir. Le combat pour l'égalité continue. pic.twitter.com/DAOwaIeGzy— SOS Racisme - #PanthéonDesOubliés (@SOS_Racisme) October 16, 2021Même son de cloche du côté de Dominique Sopo, le président de SOS Racisme, qui a fustigé la “politique des petits pas” d’Emmanuel Macron ainsi qu’une “frilosité” dans la non-évocation du colonialisme. Le “crime est réduit à la responsabilité de Maurice Papon”, dans la prose du chef de l’État, mais “il n’était pas un État dans l’État” assure encore le dirigeant associatif. “On espérait plus. Papon n’a pas agi seul: on a torturé, on a massacré au coeur de Paris et là-haut, ils étaient au courant”, a complété, toujours pour l’AFP, Mimouna Hadjam, porte-parole de l’association Africa93 qui revendique aussi la “reconnaissance d’un crime d’État” après les événements du 17 octobre. “Pourquoi les archives fluviales par exemple ne sont-elles pas encore ouvertes pour que la vérité soit faite?”Lors de la manifestation qui a réuni près de 1800 personnes ce dimanche 17 octobre à Paris, de nombreux participants ont déploré une reconnaissance trop partielle: “Le #17octobre1961 on a tué et torturé au cœur de Paris. Il ne s’agit pas d’un “coup de folie” du préfet Papon. Il s’agit d’un crime d’État”, a tweeté Julien Bayou, secrétaire général de EELV. “Le président a raté l’occasion de faire un pas de plus vers la réconciliation”, a déploré le candidat du parti à la présidentielle Yannick Jadot.Il faut nommer la réalité de ce qui s’est passé le #17octobre1961 : c’est un crime d’État. Il n’y a pas de démocratie sans vérité.Le président a raté l’occasion de faire un pas de plus vers la réconciliation. pic.twitter.com/EgiSLt4giM— Yannick Jadot (@yjadot) October 17, 2021Le #17octobre1961 on a tué et torturé au coeur de Paris.Il ne s'agit pas d'un "coup de folie" du préfet Papon. La manifestation du 17 octobre faisait suite à l'édiction d'un couvre-feu raciste.Après les massacres, Papon est resté en place.Il s'agit d un crime d'Etat. pic.twitter.com/k1bYlc8nzp— Julien Bayou (@julienbayou) October 17, 2021Des demandes et des regrets qui montrent bien qu’en dépit du geste fait samedi 16 octobre 2021 par Emmanuel Macron en faveur de la mémoire, il reste encore beaucoup de chemin à parcourir. À voir également sur le HuffPost: “Sur les photos du 17 octobre 1961, j’ai toujours cherché le visage de mon père”LIRE AUSSI:BLOG - "17 octobre 1961: Sortir durablement du déni mémoriel"
https://www.huffingtonpost.fr/entry/17-octobre-1961-macron-na-pas-parle-de-crime-detat-et-cela-choque_fr_616bf5bde4b0931431fe8dbfPOLITIQUE
"Sur les photos du 17 octobre 1961, j’ai toujours cherché le visage de mon père”
HISTOIRE - “J’ai toujours cherché, sur les photos du 17 octobre 1961, le visage de mon père”, raconte Nadia Henni-Moulaï. La journaliste et autrice, vient de publier Un rêve, deux rives (éditions Slatkine et Cie), un récit autobiographique bâti autour de la figure de son père, ouvrier algérien immigré en France en 1948.Les mots d’Emmanuel Macron, elle les attendait avec attention. À l’issue d’une cérémonie officielle pour les 60 ans du massacre des Algériens commis lors du 17 octobre 1961, le chef de l’État a reconnu des “crimes inexcusables pour la République”. Pour Nadia Henni-Moulaï, cette date a une résonance particulière. Son père Ahmed, né en Kabylie en 1925, orphelin à l’âge de 9 ans, a immigré en France en 1948. S’il n’a jamais parlé de la guerre ou de son implication de son vivant, les connexions ont été faites par sa fille.“C’était le bon voisin, père de famille”“J’avais cette idée qu’il avait fait partie du FLN, raconte-t-elle. Mais je n’étais pas allée plus loin. Ce n’était peut-être pas le moment. Ça n’avait peut-être pas mûri.” Récemment, l’envie d’écrire sur son père et d’entamer des recherches sur son passé sont devenus évidents. Car son père, à son arrivée en France -où il restera trente ans sans retourner en Algérie-, a eu plusieurs vies. Nadia est l’une des dernières d’une fratrie de douze enfants, issus du même père, avec ses compagnes successives -trois mariages et deux veuvages.À ce stade de sa vie, il est alors plus âgé, c’est “le bon voisin, le bon père de famille”, respecté dans la cité HLM de la banlieue parisienne, où vit la famille recomposée. Mais sa fille perçoit ses failles, interprète sa violence et sa dureté, s’interroge sur les regrets qu’elle lit dans ses yeux. Malgré tous les non-dits.“Il m’explique qu’il a dû éliminer quelqu’un”Jusqu’à ce soir-là, où, adolescente, son père lui fait une confidence lourde à porter. “Un soir, il ouvre une boîte en bois, comme ça, je ne sais pas pourquoi, se souvient-elle. Il sort un revolver, il m’explique qu’il a dû éliminer quelqu’un. Et puis il repart comme ça, dans sa chambre, et moi je prends ça... Je mets ça dans un coin de ma tête et puis voilà.”Ce souvenir, mêlé aux légendes de la famille et aux bribes de conversation des “grands” que Nadia intercepte, se muera en réelle curiosité de comprendre et percer les mystères de ce père hors du commun, mort en 2001. Près de vingt ans plus tard, elle décide de lui consacrer un livre et contacte les archives de la Préfecture de police de Paris.Elle y découvre que son père a été condamné plusieurs fois, dont une fois en 1960 pour “atteinte à la sûreté de l’État”. Ses doutes sont confirmés. “Il a fait partie de ce qu’on appelle les “troupes de choc” du FLN, explique-t-elle, qui étaient l’organisation secrète du FLN chargée d’éliminer les personnes considérées comme des obstacles à l’indépendance de l’Algérie.”“Voir mon père comme un objet historique”Un passé que son père - même s’il a tout de même laissé des lettres et des photos, tels des indices, à ses enfants- n’aura jamais évoqué de son vivant. Pour Nadia Henni-Moulaï, l’écriture de ce livre a été “thérapeutique”. “Il m’a permis de voir mon père comme un objet historique, souligne-t-elle. Certes, nous n’avons pas connu la colonisation, mais nous avons dû faire face à ses conséquences indirectes.”Pour ce qui est du 17 octobre 1961, elle a trouvé également des réponses. “Mon père n’était certainement pas à Paris, estime-t-elle. Jugé et condamné à 3 ans de prison en juillet 1961, il s’était évadé. Il a ensuite emprunté ensuite les réseaux d’évasion du FLN, qui passaient par la Suisse et qui remontaient jusqu’en Allemagne.”Aujourd’hui, elle ne cherche plus son visage dans les images de cette nuit-là, celle du massacre de ceux que l’on appelait alors les “Français musulmans d’Algérie”. “La France a tout à y gagner à assumer, affirme-t-elle. C’est dur, ça fait mal. Mais on ne peut pas avancer de manière bancale, ou on est rattrapé par de vieux fantômes.”À voir également sur Le HuffPost: Macron “demande pardon” aux harkis au nom de la France
https://www.huffingtonpost.fr/entry/jai-appris-que-mon-pere-etait-combattant-du-fln-20-ans-apres-sa-mort_fr_6167f4bbe4b028316c91e860POLITIQUE
Présidentielle 2022 : L’afflux d’adhésions à LR peut-il bouleverser le congrès ?
Les militants des Républicains désigneront le champion de la droite lors d’un vote en congrès, début décembre
https://www.20minutes.fr/politique/3148971-20211017-presidentielle-2022-afflux-adhesions-lr-peut-bouleverser-congres#xtor=RSS-149Politique
La version de La Fille au Ballon de Banksy, dont l'autodestruction partielle il y a trois ans avait fait sensation, a été vendue pour près 21,8 millions d'euros
La version de La Fille au Ballon de Banksy, dont l'autodestruction partielle il y a trois ans avait fait sensation, a été vendue pour près 21,8 millions d'euros, un nouveau record pour l'artiste britannique. Rebaptisée L'amour est dans la poubelle (Love is in the Bin), l'œuvre vendue chez Sotheby's à Londres dépasse le précédent record atteint en mars dernier par Game Changer, une toile mettant à l'honneur les soignants en période de pandémie de coronavirus, vendu pour 16,75 millions de livres (19,5 millions d'euros) au profit du service public de santé britannique.La dernière apparition de l'œuvre lors d'une vente aux enchères en 2018 avait suscité la stupéfaction dans le monde entier.À peine le coup de marteau avait-il retenti qu'un broyeur dissimulé dans le cadre avait réduit en charpie la moitié inférieure de la toile, qui représente une petite fille lâchant un ballon rouge en forme de cœur, ne laissant intact que le ballon sur fond blanc. Avec cette action retentissante, qui avait provoqué un véritable séisme dans le milieu de l'art, l'artiste de rue avait pour ambition de dénoncer la «marchandisation» de l'art.Dans son communiqué annonçant la vente, Sotheby's avait qualifié la destruction de «happening artistique le plus spectaculaire du XXIe siècle», la plaçant dans l'«héritage d'art anti-establishment qui a commencé avec (le mouvement) Dada et Marcel Duchamp». Depuis ce coup d'éclat, Banksy affole les ventes aux enchères où ses œuvres atteignent des records.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-477271-la-version-de-la-fille-au-ballon-de-banksy-dont-l-autodestruction-partielle-il-y-a-trois-ans-avait-fait-sensation-a-ete-vendue-pour-pres-218-millions-d-euros.html
Pokémon, Jurassic Park... Des pass sanitaires réinventés par un groupe d'amis
CULTURE - “Tant que c’est là, autant en faire un truc drôle”. Et si le pass sanitaire, qui fait débat depuis sa mise en application, devenait un objet que l’on a envie de montrer parce qu’il fait rire? C’est l’idée d’un groupe d’amis qui propose des “QR cartes personnalisées” version pop-culture et références aux années 90. Sur Twitter vendredi 15 octobre, une internaute, “French Lara Croft”, récolte plus de 40.000 “j’aime” avec sa publication: “La beauté de mon Pass Sanitaire je veux rien entendre”, écrit-elle avec une photo. L’image ressemble aux cartes Pokémon bien connues de certaines générations. Et d’ailleurs, une petite bête baptisée “Covidou” propose d’utiliser sa faculté spéciale, à savoir: “Dépassez les dresseurs qui galèrent à trouver leur QR code sur leur portable”...La beauté de mon Pass Sanitaire je veux rien entendre. pic.twitter.com/jBFoHvTvCC— French Lara Croft (@StarkIndustrie_) October 15, 2021 L’initiative séduit sur la plateforme. Samedi 16 octobre, le compte Twitter “Alomora.club” en revendique la paternité. Derrière ce nom de code, un groupe de “trois copains, grosse vingtaine, petite trentaine”, qui voulait avant tout s’amuser et en avait “un peu marre du débat pass sanitaire, anti-pass sanitaire”, comme ils l’expliquent au HuffPost. “Au début, c’était une blague entre nous”, explique l’un des créateurs qui préfère rester anonyme. “On s’est dit que tant que le pass sanitaire était là, autant en faire un truc drôle, autant faire rigoler les gens et rigoler nous-mêmes.”Pour leur propre usage, ils créent donc un premier pass, façon Jurassic Park. Eux ont les idées et le design, et ils confient la réalisation à un ami graphiste. “On s’est fait nos QR codes sur un design inspiré de Jurassic Park il y a environ deux semaines, juste pour nous trois. Et puis on en a fait trois ou quatre autres, dont le Covidou”, racontent-ils.Le pass revisité est imprimé sur un format “carte bleue” en PVC, grâce à une petite imprimante. Ca se passe ici :) https://t.co/mUGVDPqROXpic.twitter.com/z5iDH4izW0— Alomora.club (@AlomoraClub) October 16, 2021 ?Ça devient presque un jeu de sortir son QR code”L’affaire aurait pu en rester là. Mais les réactions quand ils présentent leur pass leur donnent envie de voir un peu plus grand. ”Ça faisait tellement rigoler ceux qui scannaient nos pass! Deux fois sur trois, on nous demandait d’où ça venait, où en trouver”, s’amuse l’un des concepteurs. ”Ça devient presque un jeu de sortir son QR code. J’ai du plaisir à sortir le mien parce que je me demande quelle réaction ça va provoquer”, raconte-t-il. Bien sûr, “il y a des gens blasés qui ne réagissent pas, peut-être 10% des gens. Mais 80-90% ont eu une réaction singulière. Je trouve que c’est hyper fort de sortir son QR code et de provoquer une réaction. Ça crée une émotion chez nous et chez la personne”, insiste-t-il. Leur site est lancé en début de semaine et propose quelques designs à 15 euros l’unité. Ils publient deux vidéos sur TikTok et tentent de contacter certains influenceurs “un peu connus” sur la plateforme, sans grand succès. Jusqu’à ce que la tiktokeuse “Inspecteur Gadget” (16.000 abonnés) tombe sur une de leurs publications et les contacte. Sa vidéo où elle défie “Macron de s’asseoir à sa table et dire qu’il a un plus beau pass sanitaire” que le sien est vue plus de 500.000 fois en 4 jours. La machine est lancée. Les trois amis expliquent avoir eu “quelques centaines de commandes depuis une semaine”. De quoi les occuper puisqu’ils font encore tout eux-mêmes: “On reçoit le QR code, on l’intègre au design, on l’imprime et ensuite on le met dans une enveloppe, on écrit l’adresse et on va à La Poste”, détaillent-ils en riant. Malgré des débuts encourageants, ils préfèrent ne pas se prononcer sur l’avenir. “Je ne sais pas si ça va grossir ou pas”, confie l’un d’eux. Mais ils ne manquent pas pour autant d’idées, inspirées par les commentaires des internautes intéressés ou d’autres “qui nous rappellent un peu l’enfance, les années 90-2000, des références pop culture” avec un seul mot d’ordre: faire sourire et détendre l’atmosphère, que l’on soit pour ou contre. À voir également sur Le HuffPost: Le gouvernement confirme une prolongation possible du pass sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022LIRE AUSSI:Les autotests plus reconnus pour le pass sanitaire dès le 15 octobrePourquoi la CEDH a débouté 18.000 opposants au pass sanitaire
https://www.huffingtonpost.fr/entry/derriere-ces-pass-sanitaires-reinventes-linitiative-dun-groupe-damis_fr_616c75bce4b00cb3cbd44bf2LE BON LIEN,Pass sanitaire
Marathon de Paris: Elisha Rotich bat le record de l'épreuve
SPORT - Après 900 jours d’absence pour cause de pandémie de Covid, le marathon de Paris a sacré un nouveau roi. Ce dimanche 17 octobre, c’est le Kényan Elisha Rotich qui l’a emporté dans un formidable temps de 2 heures, 4 minutes et 18 secondes, soit un nouveau record de l’épreuve puisqu’il devance largement les 2h05′03″ de la légende éthiopienne Kenenisa Bekele (en 2014). Pour accomplir cet exploit, qui lui a demandé de raboter une minute au meilleur temps de sa carrière, l’athlète de 31 ans a dû courir à plus de 20 kilomètres par heure en moyenne (20,37km/h exactement). ???????????? Elisha Rotich établit un nouveau record du Marathon de Paris !Le Kenyan s’impose en 2h04’18” et plus de 20 km/h de moyenne pour déloger la marque référence de la légende éthiopienne Kenenisa Bekele #ParisMarathon? La course en direct : https://t.co/kzraDg0lNOpic.twitter.com/7si0lniaii— francetvsport (@francetvsport) October 17, 2021 Retrouvez nos articles sur le Schneider Electric Marathon de Paris ci-dessous: > “Je cours le marathon de Paris pour rendre hommage à mon mari décédé”> La course à pied, c’était leur passion... jusqu’au Covid long > Comment se remettre au sport quand on a tout arrêté depuis le premier confinement> Concilier vie pro, vie perso et préparation d’une course, les conseils de ceux qui y arrivent Sur le podium, il devance l’Éthiopien Hailemaryam Kiros (24 ans) et son compatriote kényan Hillary Kipsambu (36 ans) de respectivement 20 et 23 secondes. Pour trouver trace d’un Français dans le classement, il faut regarder du côté de la 15e place où Yohan Durand, en 2h09′21″, est le premier coureur à ne venir ni du Kenya, ni d’Éthiopie. Chez les dames, pas de record, mais une performance collective remarquable pour les Éthiopiennes qui se sont placées aux quatre premières positions du classement. En tête, c’est Tigist Memuye qui l’a emporté en 2h26′09″, réussissant à conserver quelques longueurs d’avance sur sa dauphine sur la ligne avant de s’effondrer, submergée par l’émotion. ???????????? Tigist Memuye s'impose sur le marathon de Paris !L'Éthiopienne termine en 2h26'09" devant 3 de ses compatriotes avant d'être submergée par l'émotion #ParisMarathonpic.twitter.com/1MUMEEBGs5— francetvsport (@francetvsport) October 17, 2021À noter en outre que chez les concurrents en fauteuil, c’est un Français qui s’est (encore) imposé. Après ses victoires en 2012, 2015 et 2019, Julien Casoli, 39 ans, l’a emporté en solitaire avec le très joli temps 1h33′17″, soit plus de 27 kilomètres par heure en moyenne. Le HuffPost est partenaire du Schneider Electric Marathon de Paris qui aura lieu dans la capitale le 17 octobre 2021 et dont les inscriptions ont ouvert le 15 septembre. Comment le préparer? Quelles astuces pour intégrer un entraînement à son quotidien? Témoignages, conseils d’experts... Retrouvez notre page spéciale marathon.À voir également sur le HuffPost: Ce sportif abonné aux ultra-trails a découvert le sport à la retraite
https://www.huffingtonpost.fr/entry/marathon-de-paris-le-record-de-lepreuve-largement-battu_fr_616bef8be4b00cb3cbd3e85bSPORT
Coca-Cola annonce le passage au bouchon attaché sur l’ensemble des bouteilles en plastique de sa gamme à partir de fin 2022
Il va y avoir du changement sur les bouteilles de Coca-Cola. Afin de pouvoir diminuer significativement leur empreinte carbone, Coca-Cola France et Coca-Cola Europacific Partners France annoncent deux nouvelles innovations : le lancement des bouteilles petits formats 50cl en plastique 100% recyclé et le passage au bouchon attaché sur l’ensemble des bouteilles en plastique de sa gamme, à partir de fin 2022.Les bouteilles 50cl en plastique 100% recyclé seront disponibles à partir d’avril 2022 pour les marques Coca-Cola Goût Original et Sans Sucres, Coca-Cola light, Sprite et Fanta. "?L’objectif d’ici à 2030 est de parvenir à 100% de plastique recyclé sur l’ensemble des bouteilles du portefeuille, permettant la suppression de plus de 200 000 tonnes de plastique vierge utilisé par an en Europe", précise un communiqué..
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-477232-coca-cola-annonce-le-passage-au-bouchon-attache-sur-l-ensemble-des-bouteilles-en-plastique-de-sa-gamme-a-partir-de-fin-2022.html
Le vaccin Moderna déconseillé comme 3e dose, la HAS s'explique
CORONAVIRUS - La nouvelle en a un surpris plus d’un ce vendredi 15 octobre. Dans un avis qui n’a été commenté par aucun responsable sanitaire de haut rang, la Haute autorité de Santé expliquait déconseiller l’utilisation du vaccin contre le Covid de Moderna en tant que troisième dose.En cause, l’attente des conclusions d’une étude menée par l’Agence européenne du médicament quant à l’efficacité de ce sérum fonctionnant grâce à la technologie de l’ARN messager. Mais pas uniquement. En effet, comme l’explique dans les colonnes du Journal du Dimanche de ce 17 octobre la présidente de la Haute autorité de Santé Dominique le Gudulec, c’est le fait que la situation sanitaire soit désormais “sous contrôle” qui pousse la HAS à vouloir revenir aux “règles normales”.Une alerte venue du nordCar d’ordinaire, l’instance indépendante attend toujours l’autorisation de mise sur le marché de l’institution européenne pour se prononcer. Une habitude à laquelle elle a dérogé ces derniers temps face à la nécessité d’intensifier la campagne de vaccination. En outre, une alerte est arrivée des pays scandinaves ces derniers jours. Au nord de l’Europe (Finlande, Suède, Norvège et Danemark), on a décidé la semaine dernière de ne plus recommander le vaccin de Moderna aux jeunes de moins de 30 ans en raison de quelques cas d’inflammation cardiaques “qui restent très rares, jamais mortelles et se soignent bien” (des myocardites et des péricardites) détectés chez de jeunes hommes. Maintenant “que des professionnels de santé de 20 ou 30 ans peuvent avoir accès à une troisième dose”, Dominique le Gudulec dit donc vouloir être absolument certaine avant de recommander l’utilisation à cet effet du produit de Moderna. “Nous voulons être certains qu’il n’y a pas de contre-indications, et donc un réel bénéfice par rapport au risque, chez ces gens jeunes pour lesquels le Covid-19 est en général bénin.” En clair, une décision qui s’explique par la volonté -dans un contexte d’accalmie sanitaire- de vouloir éviter toute prise de risque et d’assurer ses arrières juridiquement. À voir également sur le HuffPost: Pourquoi les tests Covid sont payants depuis le 15 octobreLIRE AUSSI:La plus grande étude sur les vaccins est française, voici le résultatPourquoi Sanofi abandonne son vaccin ARN après des résultats positifs
https://www.huffingtonpost.fr/entry/le-vaccin-moderna-deconseille-comme-3e-dose-la-has-sexplique_fr_616bc2fce4b0931431fe6bdfActualités
Jane Campion a reçu à Lyon le Prix Lumière : Selon les organisateurs, célébrer la réalisatrice était "l'une des dernières volontés de Bertrand Tavernier"
La réalisatrice néo-zélandaise Jane Campion a reçu à Lyon le Prix Lumière, avant de saluer avec malice "les épouses et les assistantes" des Frères Lumière, les inventeurs du cinéma. Se rendre dans cette ville du centre-est de la France, "c'est comme aller à Bethleem ; là où les films ont été créés par les Frères Lumière, ils avaient sans doute des épouses et des assistantes et je les salue", a-t-elle lancé après avoir reçu le prix que ses promoteurs aiment à comparer au "Nobel du cinéma".Après plusieurs années de silence, cette cinéaste âgée de 67 ans a présenté cette année son septième long-métrage, "The Power of the Dog", produit par la plateforme américaine Netflix et couronné à Venise par le prix de la meilleure réalisation. "Le pouvoir du chien" est une adaptation du roman éponyme de l'écrivain américain Thomas Savage. Benedict Cumberbatch et Kirsten Dunst y brisent les codes du western viril.Le festival qui s'est ouvert samedi dernier et se termine dimanche a permis aux cinéphiles de voir ou revoir ses six autres long-métrages, dont "La Leçon de Piano", qui lui avait valu en 1993 la Palme d'Or à Cannes, puis l'Oscar du meilleur scénario.La 13e édition propose au total près de 170 films et documentaires, beaucoup de grands classiques en version restaurée mais aussi quelques avant-premières, avec une série de rencontres avec des têtes d'affiche du cinéma contemporain comme l'Italien Paolo Sorrentino. Présente à la cérémonie vendredi, la légendaire Nan Goldin, 68 ans, a inauguré cette semaine une exposition de ses photographies de plateau de "Variety".Dans ce film signé par son amie Bette Gordon, elle interprète ce qu'elle était à l'époque, une barmaid désabusée dans un bar de Manhattan, quand "New York était un petit monde où l'on pouvait rencontrer des gens" et "pas un marché".Par le passé, le Prix Lumière a consacré Francis Ford Coppola, Jane Fonda, Wong Kar-wai, Catherine Deneuve, Martin Scorsese, Pedro Almodóvar, Quentin Tarantino, Ken Loach, Gérard Depardieu, Milos Forman, Clint Eastwood et, l'an dernier, les frères Dardenne.Selon les organisateurs, célébrer Jane Campion était "l'une des dernières volontés de Bertrand Tavernier", une figure du cinéma français qui présida l'Institut Lumière de sa création en 1982 jusqu'à sa mort, en mars dernier.Il est désormais remplacé par l'actrice Irène Jacob à la présidence du festival. La fréquentation du millésime 2021 "s'approche des records de vente de 2019" (200.000 spectateurs cette année-là), avant le grand creux lié à la pandémie de Covid-19, selon les chiffres officiels.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-477403-jane-campion-a-recu-a-lyon-le-prix-lumiere-selon-les-organisateurs-celebrer-la-realisatrice-etait-l-une-des-dernieres-volontes-de-bertrand-tavernier.html
Meurtre de Samuel Paty : Le député La France Insoumise, Alexis Corbière, fait polémique en remettant en cause la pertinence du choix de montrer les caricatures de Charlie Hebdo à des ados
Le député La France Insoumise et ancien professeur d'histoire-géographie Alexis Corbière fait polémique en remettant en cause la pertinence du choix de montrer les caricatures de Charlie Hebdo à des adolescents. «À mon époque Charlie Hebdo était réservé aux adultes, a-t-il plaidé. Il y a des dessins qui ne sont pas faits pour les adolescents».Le député se défend d'empêcher la critique de la religion, mais soutient qu'«un outil pédagogique doit être adapté à un enfant».«On ne parle pas à un enfant de 10 ans comme à un collégien ou à un lycéen (...) Le métier de l'enseignant n'est pas de choquer mais de faire progresser. L'école doit rester un lieu de transmission», ajoutait-il.Ces déclarations ont choqué, notamment sur les réseaux sociaux. L'historien Jean Garrigues accuse ainsi sur Twitter le député de «justifier», l'assassinat de Samuel Paty.«Le nouvel axe. Les pudibonds Ferry-Corbière», a pour sa part lâché le chroniqueur et essayiste Raphaël Enthoven, en référence au philosophe et ancien ministre de l'Éducation nationale qui avait estimé en novembre 2020 sur franceinfo qu'«On n'est pas obligé, pour enseigner la liberté d'expression, de montrer des caricatures qui sont à la limite de la pornographie. On n'est pas obligé d'insulter les gens pour défendre la liberté d'expression.»Le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a également réagi, jugeant «honteux» de «laisser penser que Samuel Paty est responsable de son propre assassinat». «Ce qui n'est 'pas fait pour les adolescents' c'est l'endoctrinement fanatique ! Les enseignants doivent être soutenus dans leur mission. Ils sont la première ligne républicaine», a-t-il ajouté.«Cette suspicion est aussi scandaleuse que mal venue en ce jour d'hommage à Samuel Paty», a jugé quant à lui Michaël Delafosse, le maire socialiste de Montpellier.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-477451-meurtre-de-samuel-paty-le-depute-la-france-insoumise-alexis-corbiere-fait-polemique-en-remettant-en-cause-la-pertinence-du-choix-de-montrer-les-caricatures-de-charlie-hebdo-a-des-ados.html
Une "taupe" russe au ministère de la Défense? Bajolet rétropédale
DGSE - Une “taupe” au service de la Russie officiait-elle au sein du cabinet du ministère français de la Défense? C’est ce qu’a déclaré l’ancien directeur du service de renseignement extérieur (DGSE), Bernard Bajolet, témoignant dans un reportage diffusé ce dimanche 17 octobre sur la chaîne France 5.Interrogé sur des informations faisant état d’un espion au service de la Russie travaillant pour le cabinet du ministre d’alors, Jean-Yves Le Drian, aujourd’hui ministre des Affaires étrangères, Bernard Bajolet affirme dans ce documentaire consacré au président russe Vladimir Poutine: “En effet, quand j’étais directeur général de la sécurité extérieure, je l’avais fait remonter” à l’exécutif. “Dans les années précédentes on disait ‘tout ça c’est terminé’, après la Guerre Froide, on n’a plus à perdre son temps contre des espions qui n’existent plus”, développe-t-il. “La priorité ce sont les affaires de terrorisme, mais pour autant, on voit bien que les activités d’espionnage n’avaient pas du tout cessé, et que les moyens que mettent les Russes, les Chinois, mais aussi d’autres, les Américains, ne nous voilons pas la face, n’ont jamais été aussi importants”."Beaucoup de personnalités influentes ont une fascination pour la #Russie, ça ne veut pas dire qu'elles sont toutes des taupes. Tous les services de renseignements du monde font la même chose : essayer d'obtenir des sources fiables qui donnent de l'information" @Frclemenceaupic.twitter.com/okY359y458— C dans l'air (@Cdanslair) October 17, 2021Cependant, Bernard Bajolet est revenu ce lundi 18 octobre sur sur ses propos. Dans une lettre envoyée à l’AFP, il assure n’avoir “jamais voulu réagir à un cas individuel ni mentionner un cabinet en particulier, mais voulu souligner l’intensité des activités d’espionnage menées à l’encontre de notre pays par des puissances étrangères, dont la Russie, et l’importance de la fonction de contre-espionnage confiée aux services de renseignement”.“En aucun cas ma réponse ne peut être considérée comme une confirmation de la réalité des allégations dont a fait état Mme Roux sur la présence d’un agent étranger dans le cabinet d’un ministre de l’époque”, affirme-t-il.“A aucun moment le cabinet Le Drian n’a été mis en difficulté”, a de son côté réagi lundi matin le cabinet du ministre, où l’on se dit “très surpris des déclarations d’un ancien DGSE qui sait que cette typologie d’affaires est classifiée”.“Sur le fond, le contre-espionnage français (une compétence que n’a pas la DGSE) travaille remarquablement et sait déjouer les tentatives des puissances étrangères qui souhaiteraient approcher les lieux de pouvoir”, commente encore le cabinet de Jean-Yves Le Drian.L’information de la présence d’une “taupe” avait été relayée à l’époque par Mediapart, selon lequel un espion du GRU, le service de renseignement militaire russe, en avait recruté une au sein du cabinet de Jean-Yves Le Drian lorsqu’il était ministre de la Défense sous la présidence de François Hollande. À voir également sur Le HuffPost: ”Bureau des Légendes”: ce test de recrutement est bien réel à la DGSELIRE AUSSI:La DGSE et son vrai "Bureau des légendes" déménageront en 2028TRIBUNE - OTAN obsolète, défense européenne chimérique: quelle stratégie pour la France?
https://www.huffingtonpost.fr/entry/une-taupe-russe-au-cabinet-du-ministere-francais-de-la-defense-en-2017_fr_616c9e18e4b06573572f6392Actualités
17 octobre 1961: Un premier hommage éclair du préfet de police Didier Lallement
MÉMOIRE - Une première reconnaissance éclair. Le préfet de police de Paris, Didier Lallement, a déposé une gerbe de fleurs près de la Seine, ce dimanche 17 octobre au matin, 60 ans jour pour jour après le massacre d’Algériens sous l’autorité du préfet de l’époque Maurice Papon.Sans prononcer un mot au cours de cette rapide cérémonie, Didier Lallement a déposé ces fleurs au niveau du Pont Saint-Michel, peu après 8 heures devant quelques journalistes et policiers, mais en l’absence de familles de victimes ou de rescapés.Cérémonie expressLa sonnerie aux morts a résonné. Puis une minute de silence a été respectée ”à la mémoire des morts du 17 octobre 1961″, selon les paroles prononcées par une représentante de la préfecture de police au micro.#Cérémonie | Pour la première fois, un préfet de Police dépose, ce dimanche, une gerbe à la mémoire des morts du 17 octobre 1961, sur le pont Saint-Michel. pic.twitter.com/Rcdi1bqob0— Préfecture de Police (@prefpolice) October 17, 2021Premier préfet de police à commémorer la violente répression d’une manifestation pacifique par les hommes de Maurice Papon, Didier Lallement n’est en revanche resté que quelques minutes sur place, et sans mettre de mot sur les actions des policiers de l’époque.Une attitude déplorée par certains sur les réseaux sociaux, alors même que l’exécutif veut donner, en cette année anniversaire, l’impression de regarder en face ce moment majeur de l’Histoire moderne. Ceremonie à 8h du mat, 5 personnes dont 5 flics , aucune famille des victimes. Ridicule https://t.co/gEi9RQwQ83— Me_Poutou (@me_sarcasme) October 17, 2021« Des morts du 17 octobre 1961 », oui des morts Algériens tués par la police de Maurice Papon. Merci! Si on veut que les gens ne détestent pas la police faudrait condamner clairement les atrocités commises par certains.— Kenza (@Iamkenzab) October 17, 2021Samedi, Emmanuel Macron a effectivement déclaré à travers un communiqué que “les crimes commis cette nuit-là sous l’autorité de Maurice Papon sont inexcusables pour la République”, désignant comme coupable celui qui était à l’époque préfet de police de Paris, mais sans incriminer nommément la police au-delà de son chef d’alors. Pas de reconnaissance d’un crime d’ÉtatLe chef de l’État avait lui-même participé samedi à un hommage sur les berges de la Seine, à la hauteur du pont de Bezons, emprunté il y a 60 ans par les manifestants algériens qui arrivaient du bidonville voisin de Nanterre à l’appel de la branche du Front de libération nationale (FLN) installée en France.Cette nuit-là du 17 octobre 1961, une répression -“brutale, violente, sanglante”, selon les mots de l’Élysée- s’est abattue sur les manifestants qui protestaient contre l’interdiction uniquement ciblée contre les Algériens de sortir de chez eux après 20h30.“Près de 12.000 Algériens furent arrêtés et transférés dans des centres de tri au stade de Coubertin, au Palais des sports et dans d’autres lieux. Outre de nombreux blessés, plusieurs dizaines furent tués, leurs corps jetés dans la Seine”, a reconnu samedi pour la première fois la présidence française. Le bilan officiel ne dénombrait jusqu’à présent que trois victimes.“Il y a une avancée, mais ce n’est pas une reconnaissance d’un crime d’État. J’ai dit au président: c’est le point d’arrivée de quelque chose et le départ d’une autre”, a réagi Nasser Kettane, président de Beur FM, invité à la cérémonie. Une manifestation à l’appel notamment de la Ligue des droits de l’Homme (LDH) est prévue dimanche après-midi à Paris, du Rex au Pont Saint-Michel.À voir également sur le HuffPost: “J’ai appris que mon père était combattant du FLN 20 ans après sa mort”LIRE AUSSI:Comment expliquer les nouvelles tensions diplomatiques entre la France et l'Algérie?Pourquoi Alger est toujours en colère contre Emmanuel Macron?
https://www.huffingtonpost.fr/entry/17-octobre-1961-un-premier-hommage-eclair-du-prefet-de-police-didier-lallement_fr_616bd9f9e4b06573572ee06bActualités,police
L214 manifeste devant plusieurs Burger King sur le sort des poulets d'élevage
L214 - Des militants de l’association de défense des animaux L214 ont manifesté ce samedi 16 octobre devant plusieurs restaurants Burger King en France pour inciter l’enseigne à signer une charte européenne fixant des standards afin de limiter la souffrance des poulets d’élevage.À Bordeaux, une dizaine de manifestants vêtus de noir se sont rassemblés devant le restaurant de la principale artère commerçante de la ville, a constaté l’AFP.Avec leurs tee-shirts et casquettes détournant les uniformes d’équipiers et affichant un logo ensanglanté de l’enseigne, ils ont exhibé des pancartes montrant des poulets obèses, affaissés sur eux-mêmes ou pendus par les pattes avant d’être plongés dans un bain d’eau électrifié et saignés.“Burger King ne s’est toujours pas engagé dans le ‘European chicken commitment’ qui est un engagement au niveau européen qui consiste à éradiquer le pire des pratiques d’élevage et d’abattage de poulet”, a expliqué sur place Gaëlle, une responsable locale de l’association.“Pourtant, certains de leur concurrents” de restauration rapide l’ont fait, a-t-elle ajouté.À Bordeaux, L 214 fustige Burger King https://t.co/CygXZA6wZupic.twitter.com/60pnsIB55r— Sud Ouest Bordeaux (@SO_Bordeaux) October 16, 2021À Lille, les militants au nombre d’une trentaine ont déployé notamment un tapis “Bienvenue au royaume de la cruauté” à l’entrée du restaurant nordiste, en écho à une vidéo de L214 ciblant spécifiquement Burger King, mise en circulation sur les réseaux sociaux.???? "Un élevage intensif, ce sont des poulets entassés à perte de vue. Ils ne poseront jamais une patte dehors"L'association de défense des animaux L214 a manifesté face au restaurant lillois de Burger King, ce samedi après-midi, pour dénoncer ces pratiques d'élevage ? pic.twitter.com/fYEZTBLIM2— BFM Grand Lille (@BFMGrandLille) October 16, 2021Des photos de volailles entassées ou de lits d’excrémentsÀ Reims, trois femmes et trois hommes, se sont postés devant la devanture du restaurant, brandissant des photos de volailles entassées ou de lits d’excréments.Des rassemblements ont également eu lieu à Lyon selon la préfecture, ainsi qu’à Amiens selon Le Courrier Picard ou à Rouen et Bayonne selon France Bleu.#lyon Il était une fois un roi cruel qui ne voulais pas s ' engager contre les pires #pratiques d #élevage et d #abattage de #poulets@L214 Action @L214 devant le burger King de #confluence pour éveiller les conscience #stopcrauté#élevageintensif#maltraitance#burgerkingpic.twitter.com/CVI2bYBNAF— ????Farah (@farahkhey) October 16, 2021Au total, L214 visait une présence dans une trentaine de villes françaises.Le “European chicken commitment” a déjà été signé par des marques comme Sodexo, KFC, le Pain Quotidien, Danone ou Ikea, selon le site internet de la charte.Celle-ci prévoit notamment l’utilisation de poulets à croissance plus lente, une densité d’élevage plus faible (30 kg/m2 au maximum, de la lumière naturelle et des perchoirs.“On aimerait que les animaux ne soient plus considérés comme de la nourriture”, a expliqué Gaelle à Bordeaux.“Mais on est pragmatique aussi, on sait que de petites avancées sont possibles (...) et qu’on peut demander à de telles enseignes de se positionner afin de faire reculer toujours plus la souffrance d’un grand nombre d’animaux”, a-t-elle dit.À voir également sur Le HuffPost: L214 dévoile les conditions de vie épouvantables des lapins en cage
https://www.huffingtonpost.fr/entry/l214-manifeste-devant-plusieurs-burger-king-sur-le-sort-des-poulets-delevage_fr_616b8878e4b005b245bdfe27Actualités
Samuel Paty : "98 incidents, dont 7 menaces, ont été recensés dans les établissements scolaires ce vendredi" lors de l'hommage au professeur selon le Ministre de l'Education
Des commémorations ont eu lieu dans tous les établissements scolaires de France ce vendredi 15 octobre. "Cette commémoration s'est déroulée dans un grand calme", a affirmé le ministre de l'Éducation nationale Jean-Michel Blanquer, invité de RTL ce samedi 16 octobre. "Il y a eu quelques incidents, on en a recensé 98. C'est beaucoup moins que ce qu'il y a eu quand il y a eu des attentats précédemment", explique le ministre."Le plus bel hommage qu'on peut rendre à Samuel Paty, c'est l'unité, la dignité et c'est ce qu'on a eu hier (vendredi ndlr) dans le système scolaire français", dit-il. Ces incidents, "parfois, ce sont de très petites choses. Parfois, ça peut aller jusqu'à la menace. Il y en a 7 sur les 98", précise Blanquer.Ce sont des menaces "individuelles ou collectives. Il ne faut pas généraliser. Parfois, ce sont des propos à l'emporte-pièce, nous les prenons au sérieux", dit le ministre.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-477415-samuel-paty-98-incidents-dont-7-menaces-ont-ete-recenses-dans-les-etablissements-scolaires-ce-vendredi-lors-de-l-hommage-au-professeur-selon-le-ministre-de-l-education.html
Avant la COP26, Greta Thunberg a misé sur un célèbre mème pour mobiliser
CLIMAT – Les actes parlent parfois plus que les mots. La militante suédoise pour le climat Greta Thunberg a surpris la foule lors du concert “Climate Live” à Stockholm ce samedi 16 octobre en effectuant une performance chantée et dansée plutôt qu’un discours.Comme vous pouvez le voir dans notre vidéo en tête d’article, un concert gratuit organisé par le Climate Live Sweden a eu lieu à Stockholm en Suède pour sensibiliser et mobiliser la population sur l’urgence climatique avant la COP26 de Glasgow. De nombreux artistes ont répondu à l’appel dont Greta Thunberg.L’activiste a d’abord cité à la foule cette phrase “Nous ne sommes pas étrangers à l’amour”. C’est le début de la chanson de Rick Astley, Never Gonna Give You Up. Depuis plus de 10 ans, la star des années 80 est devenue un mème incontournable de la culture web.Greta Thunberg et le “Rickrolling” Plus connu sous le nom de “Rickrolling” ou “Rickroll”, il s’agit de faire cliquer ou d’envoyer directement à quelqu’un un lien qui renvoie, à son insu, au clip de la chanson. La personne gardant ainsi le rythme et la mélodie en tête.Ce n’est pas la première fois que Greta Thunberg fait référence à cette chanson. Elle avait tweeté comme une blague de poisson d’avril, le 1er avril dernier, disant qu’elle avait fait une vidéo: “où je parle de petites choses que nous pouvons et devrions TOUS faire pour arrêter la crise climatique.” Le lien renvoyait donc au clip de Rick Astley.La jeune suédoise a terminé sa chanson sous les applaudissements de la foule et s’est éclipsée de la scène sans dire un mot de plus.À voir également sur Le HuffPost: De?file? Louis Vuitton a? Paris: Incursion de militants d’Extinction Rebellion
https://www.huffingtonpost.fr/entry/greta-thunberg-a-mise-sur-un-celebre-meme-pour-mobiliser-avant-la-cop26_fr_616bfd73e4b079111a4af5c9Environnement
Libéré de prison fin juin, le comédien Bill Cosby fait l'objet d'une nouvelle plainte au civil de la part d'une actrice qui l'accuse de l'avoir droguée et violée il y a plus de 30 ans et qui réclame 125 millions de dollars
Libéré de prison fin juin, le comédien Bill Cosby fait l'objet d'une nouvelle plainte au civil de la part d'une actrice qui l'accuse de l'avoir droguée et violée il y a plus de 30 ans et qui réclame 125 millions de dollars de dommages et intérêts devant un tribunal du New Jersey. Celui qui a incarné pendant des années le père idéal dans le Cosby Show avait été libéré de prison le 30 juin, après l'annulation par la Cour suprême de Pennsylvanie de sa condamnation à un minimum de trois ans de prison pour avoir agressé sexuellement en 2004 Andrea Constand, une femme qui travaillait pour l'université Temple à Philadelphie.Cette affaire est la seule à avoir fait l'objet de poursuites pénales, mais Bill Cosby, 84 ans, a été mis en cause par des dizaines de femmes, dont Lili Bernard, qui était apparue à son procès.Dans sa plainte, déposée jeudi, l'actrice, qui avait joué dans le Cosby Show, assure qu'autour d'août 1990, Bill Cosby lui avait donné rendez-vous à l'hôtel-casino Trump Taj Mahal d'Atlantic City (New Jersey), sous prétexte de lui faire rencontrer un producteur.Dans la suite de l'hôtel, le comédien, alors une icône de la culture populaire américaine, lui aurait fait boire une boisson qui l'aurait rendue inconsciente, un procédé que l'on retrouve dans les accusations d'autres femmes contre lui.Lili Bernard affirme qu'à son réveil, Bill Cosby était en train de la violer.Lili Bernard s'est appuyée sur une loi du New Jersey qui a accordé aux victimes d'abus sexuels un délai de deux ans, qui prendra fin le mois prochain, pour porter plainte au civil contre leurs agresseurs présumés, quelle que soit l'ancienneté des faits.Un porte-parole de Cosby a répondu dans un communiqué que les procureurs du New Jersey avaient déjà clos une enquête sur les accusations de Lili Bernard en 2015 sans inculper le comédien."Il s'agit d'une nouvelle tentative d'abuser de la procédure judiciaire, en ouvrant les vannes à des personnes qui n'ont jamais présenté une once de preuve, de témoignage, de vérité et/ou de faits pour étayer leurs allégations", a déclaré Andrew Wyatt. Au civil, Cosby pourrait aussi être jugé devant un tribunal du comté de Los Angeles, où il est poursuivi par une autre femme qui avait porté plainte en 2014, pour une agression sexuelle commise selon elle en 1974.
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Le groupe le Figaro signe un accord avec Facebook sur la question des droits voisins, qui doivent permettre aux éditeurs de presse d'être rémunérés pour les reprises de certains contenus par les grandes plateformes internet
Le groupe le Figaro a signé un accord avec Facebook sur la question des droits voisins, qui doivent permettre aux éditeurs de presse d'être rémunérés pour les reprises de certains contenus par les grandes plateformes internet, a-t-il indiqué. Cet accord a été signé "dans la perspective et en soutien" de l'accord collectif en cours de négociation par l'Alliance pour la presse d'information générale (Apig), et "est lié" à cet accord général, a indiqué à l'AFP le directeur général du groupe Le Figaro, Marc Feuillée, après avoir brièvement évoqué le sujet lors du colloque "Médias en Seine".L'accord inclut également "notre future participation à Facebook News", le service que le géant américain souhaite lancer en France, a ajouté M. Feuillée, sans donner plus de détails. Le Monde avait déjà annoncé la signature d'un accord sur les droits voisins avec Facebook il y a deux semaines. Les négociations de l'Apig sont menées par le président de l'association, Pierre Louette, PDG du groupe Les Echos - Le Parisien et président de l'Apig. L'Alliance "est presqu'en train de signer avec Facebook", a de son côté indiqué lors de la table ronde de Médias en Seine Bérénice Lajouanie, la directrice générale des Echos. Pour ce qui concerne les négociations avec Google, "le délai de deux mois" fixé par l'Autorité de la concurrence "court jusqu'à la mi-novembre, on devrait y arriver", a-t-elle dit.Créés en 2019, les droits voisins s'apparentent à des droits d'auteurs associés aux contenus de presse (extraits d'articles, photos, vidéos, infographies etc) partagés sur un réseau social ou qui apparaissent dans les pages de résultats d'un moteur de recherche lors d'une requête d'un internaute. Les droits voisins sont contestés dans leur principe par les grandes plateformes internet, et les négociations avec la presse ont été très laborieuses. Le 13 juillet, Google a été condamné à 500 millions d'euros d'amende par l'Autorité de la concurrence pour ne pas avoir négocié "de bonne foi" avec la presse sur cette question. L'Autorité a demandé au géant américain de reprendre les négociations avec les éditeurs, pour leur proposer une nouvelle offre de rémunération.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-476965-le-groupe-le-figaro-signe-un-accord-avec-facebook-sur-la-question-des-droits-voisins-qui-doivent-permettre-aux-editeurs-de-presse-d-etre-remuneres-pour-les-reprises-de-certains-contenus-par-les-grandes-plat,Facebook
L'Unesco et le géant américain Netflix lancent un concours de court-métrage pour "trouver les réalisateurs de demain" en Afrique subsaharienne
Dénicher les "nouveaux talents" parmi les jeunes réalisateurs d'Afrique subsaharienne, financer leurs projets et leur permettre de les diffuser sur Netflix en 2022: l'Unesco et le géant américain lancent un concours de court métrage sur le thème des "contes populaires d'Afrique réinventés". "Cette initiative vise à partir à la recherche de nouveaux talents et de grands contes populaires qui sont une part très importante de notre patrimoine et de notre culture en Afrique", a expliqué à l'AFP le Nigérian Ben Amadasun, responsable Afrique des contenus originaux et acquisitions de la plateforme américaine de vidéo à la demande, en visite à Paris."Nous voulons que ces talents s'emparent de contes qu'ils apprécient pour leurs messages et qu'ils les réinventent en un court métrage qui, nous l'espérons, émouvra le public", a-t-il ajouté.Les six gagnants de ce concours recevront 25.000 dollars à titre personnel et bénéficieront d'une formation et d'un encadrement par des professionnels de l'industrie.Ils recevront en outre un budget de 75.000 dollars pour créer, filmer et produire leurs courts métrages qui seront diffusés sur Netflix en 2022, précise jeudi l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco), dans un communiqué.Les participants au concours - ouvert jusqu'au 14 novembre - doivent notamment être âgés de 18 à 35 ans, vivre et être originaires d'un pays d'Afrique subsaharienne et avoir minimum deux ans (et maximum cinq ans) d'expérience professionnelle dans l'industrie audiovisuelle.L'agence de l'ONU et Netflix soulignent que "nombre de réalisateurs émergents ont des difficultés à trouver des financements et une visibilité qui leur permettraient de faire valoir leurs talents et de développer leurs carrières créatives"."Ce concours vise à s'attaquer à ce problème et à permettre aux auteurs africains" de montrer leur travail à un public à travers le monde, ajoute le communiqué."Nous avons vécu pendant un an et demi une perte du présentiel des manifestations culturelles qui, pour nous, démontre qu’il y a une urgence à la transmission parce que sinon on court à la possibilité de la perte complète de certaines traditions qui sont fondamentales pour les générations plus jeunes", a déclaré à l'AFP Ernesto Ottone Ramirez, sous-directeur général pour la culture à l'Unesco.Il a rappelé que l'organisation est en charge du "patrimoine immatériel" et que "l'Afrique est une priorité" pour l'Unesco.L'Unesco a publié le 5 octobre un rapport fruit de deux ans de travail, faisant pour la première fois un bilan de l'état et des défis de l'industrie cinématographique et audiovisuelle dans les 54 pays d'Afrique.
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Le succès mondial de la série sud-coréenne "Squid Game" fait le bonheur d'un couple de petits commerçants de Séoul - Découvrez pourquoi !
Par Claire LEE, Yelim LEELe succès mondial de la série sud-coréenne Squid Game fait le bonheur d'un couple de petits commerçants de Séoul qui, chaque jour, devant leur modeste stand voient se presser des fans désireux d'acheter un "dalgona", la désormais célèbre friandise au coeur d'un défi à relever dans l'un des neuf épisodes. Cette sucrerie, longtemps associée à l'extrême pauvreté qui a suivi l'après-guerre, connaît une nouvelle vie depuis la sortie de la production Netflix de Squid Game.Cette série met en scène des personnages issus des franges les plus marginalisées de Corée du Sud participant à des jeux d'enfants traditionnels afin de remporter 45,6 milliards de won (33 millions d'euros). Dans l'une des épreuves, les concurrents doivent découper, dans cette galette de sucre craquante, des formes, notamment une étoile et un parapluie. Ceux qui échouent en la brisant sont aussitôt exécutés.Ce jeu de vie ou de mort a été inspiré par l'histoire du réalisateur Hwang Dong-hyuk, qui a grandi à Séoul dans les années 1970. A cette époque-là, les enfants qui parvenaient à découper une forme recevaient un dalgona gratuit. Pour gagner, M. Hwang faisait preuve d'une incroyable inventivité, n'hésitant pas à lécher la friandise pour en détacher la forme ou utiliser une aiguille chauffée. Dans la série, les personnages reproduisent ces différentes techniques. "Le fabricant de dalgonas serait dubitatif en me voyant réussir la forme la plus difficile, qui est celle d'un parapluie", a affirmé le réalisateur dans une récente vidéo sur YouTube.Les scènes de découpage de la friandise ont été compliquées à tourner, car le dalgona fond très facilement dans une atmosphère humide, notamment lors de la saison des pluies en Corée du Sud. Le directeur artistique Chae Kyung-sun a donc fait appel à des "spécialistes du dalgona" qui sont venus fabriquer la sucrerie sur le lieu de tournage. Lim Chang-joo et son épouse Jung Jung-soon, ont produit entre 300 et 400 dalgonas au cours des trois jours de tournage. "Ils étaient plus petits et fins que ceux que nous fabriquons" habituellement, expliqué M. Lim. Désormais, leur modeste étal, situé dans une rue du quartier des théâtres à Séoul, est l'un des lieux les plus prisés de la capitale sud-coréenne.Dès l'ouverture, les gens se pressent dans l'espoir d'acheter une de ces friandises qu'ils fabriquent sur place et vendent 2.000 won (environ 1,45 euro). Il n'est pas rare que les clients doivent patienter jusqu'à six heures. Certains finissent par abandonner et repartent les mains vides. Il faut environ 90 secondes à M. Lim pour fait fondre du sucre et du bicarbonate dans une petit louche au-dessus d'un brûleur. Puis, il presse la pâte et, à l'aide d'un moule, il donne la forme souhaitée par le client. L'artisan-confiseur offre un éventail de formes et récemment il a même ajouté un "N" pour Netflix. M. Lim, qui n'avait jamais imaginé que sa confiserie deviendrait aussi populaire, a désormais une vie "super trépidante". "Bien sûr, je suis heureux parce que mes affaires marchent bien et que le dalgona est devenu célèbre dans d'autres pays", explique ce commerçant qui a ouvert son stand il y a 25 ans. Le dalgona est apparu dans les années 1960, alors que la Corée du Sud était en proie à la pauvreté de l'après-guerre. Les desserts - comme les glaces ou les chocolats - étaient rares et vendus à des prix exorbitants. Très sucré, avec des notes de noix et d'amertume, cette friandise était très populaire, et de nombreux vendeurs installaient leurs étals près des écoles. M. Lim et Mme Jung ont décidé de se lancer dans cette activité après la fermeture de leur atelier de couture lors de la crise financière asiatique de 1997.Le phénomène Squid Game est la dernière manifestation de l'influence croissante de la Corée du Sud sur la scène culturelle mondiale, après la sensation de K-pop BTS et Parasite, Palme d'or à Cannes et premier film en langue autre que l'anglais à remporter l'Oscar du meilleur film. "La Corée du Sud a toujours été au point de rencontre du moderne et du pré-moderne, des moyens occidentaux et des méthodes orientales, de la préservation du passé tout en sacrifiant tout pour l'avenir", selon Michael Hurt, professeur de théorie culturelle à l'Université nationale des arts de Corée. "Le dalgona est un lien dans une culture de lien".
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