Archive actualités du mardi 17 mai 2022

Le chef étoilé Yannick Alléno annonce la création d’une association au nom de son fils afin de soutenir les victimes d’individus multirécidivistes


Après la cérémonie d’enterrement d’Antoine Alléno, son père et chef étoilé Yannick Alléno a publié un nouveau long message sur Instagram, remerciant notamment la première Dame de France, Brigitte Macron, «pour son aide précieuse», ainsi que Rachida Dati, maire du 7e arrondissement, «pour son appel aux premiers instants».Dans la foulée, le chef a annoncé la création d’une association au nom de son fils afin de soutenir les victimes d’individus multirécidivistes. «Je viens, moi, de comprendre ce matin seulement le manque qui va me hanter toute ma vie. Alors, son énergie logée au plus profond de mon corps servira, à travers l’association Antoine Alléno à soutenir les victimes de multirécidivistes», a écrit Yannick Alléno sur Instagram.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-499333-le-chef-etoile-yannick-alleno-annonce-la-creation-d-une-association-au-nom-de-son-fils-afin-de-soutenir-les-victimes-d-individus-multirecidivistes.html

Afin de lutter contre la saturation de certains sites touristiques particulièrement prisés des vacanciers, Airbnb dévoile une nouvelle fonctionnalité - La voici !


Afin de lutter contre la saturation de certains sites touristiques particulièrement prisés des vacanciers, Airbnb a dévoilé une nouvelle fonctionnalité encourageant ses utilisateurs à chercher par type de voyage plutôt que par destination. L 'objectif est d'inciter les consommateurs à chercher ailleurs que dans les endroits les plus bondés, comme Venise, Paris ou les grandes villes américaines, ont expliqué des responsables de la plateforme.Les aspirants-voyageurs peuvent habituellement chercher leur séjour en renseignant une destination dans une barre de recherche et en sélectionnant des dates. Or les vacanciers optent, la plupart du temps, pour les mêmes destinations, remarque Airbnb.La plateforme va maintenant leur proposer un large panel de catégories comme "plage", "parcs nationaux" ou "ville emblématique" et plusieurs destinations apparaîtront, à divers prix, dans divers pays.Plus de quatre millions de locations se sont déjà vues attribuer une ou plusieurs catégories et d'autres sont à venir.Les utilisateurs pourront toujours chercher par destination mais la nouvelle option fournit une alternative permettant d'éloigner la demande des lieux survendus, a affirmé le directeur général Brian Chesky lors d'une présentation à la presse."On s'est aperçu que tout le monde allait aux mêmes endroits. Ils tapent Las Vegas, Orlando, Miami, Rome, Los Angeles et New York", a-t-il souligné."Nous essayons de répartir tout le monde sur autant d'endroits et de dates que possible", a ajouté M. Chesky en rappelant que les vacanciers flexibles peuvent se voir proposer des dates moins demandées.Cette initiative profite à Airbnb mais permet aussi "d'atténuer une partie du problème du sur-tourisme", a-t-il estimé."Le sur-tourisme n'est pas la conséquence de trop de gens voyageant dans le monde (...) mais la conséquence de trop de gens allant aux mêmes endroits au même moment", a ajouté le responsable.Airbnb va par ailleurs proposer une nouvelle option, baptisée "Split Stays", permettant de fractionner son séjour en plusieurs endroits aux caractéristiques similaires lorsque les disponibilités pour une période déterminée sont limitées. Cette fonctionnalité sera disponible pour les catégories ski, surf, camping et parcs nationaux.La plateforme va aussi donner à ses utilisateurs jusqu'à trois jours, au lieu de 24 heures actuellement, pour demander à changer de location ou à se faire rembourser si l'endroit ne correspond pas à la description.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-498970-afin-de-lutter-contre-la-saturation-de-certains-sites-touristiques-particulierement-prises-des-vacanciers-airbnb-devoile-une-nouvelle-fonctionnalite-la-voici.html

Après plus de 2 heures 30 de débats, le conseil municipal de Grenoble a validé hier soir le port du burkini dans toutes les piscines de la ville - Vidéo


Le conseil municipal de Grenoble a validé lundi une modification du règlement intérieur des piscines de Grenoble se traduisant par l'autorisation du port du burkini, un sujet qui a suscité une polémique politique nationale. La délibération a été adoptée avec une courte majorité de 29 voix pour, 27 contre et deux abstentions, au terme de 2 heures 30 de débats parfois tendus.Plus d'une centaine de manifestants anti-burkini menés par l'opposition municipale s'est rassemblée au pied du bâtiment accueillant -sous bonne garde- la réunion du conseil municipal, scandant "Piolle démission !" et arborant des pancartes proclamant des slogans comme "Faut pas se voiler la face, burkini = mysogynie".Le maire écologiste Eric Piolle a ouvert la séance en confirmant que le conseil allait débattre "de la liberté vestimentaire des femmes dans l'accès aux piscines publiques de Grenoble" malgré les appels à supprimer cette question de l'ordre du jour. Il a appelé à le faire dans "l'écoute et la tolérance".Il a dénoncé "les injonctions sur le corps des femmes" et ceux qui "s'autorise(nt) à commenter de façon plus ou moins menaçante l'apparence physique des femmes et leur façon de s'habiller" en rappelant que Grenoble, de par son passé, est "une ville féministe". M. Piolle n'a de cesse de répéter que le burkini est un "non-sujet". Selon lui, la modification du règlement intérieur des piscines municipales ne vise qu'à "lever les interdits vestimentaires aberrants".Il a reçu le soutien d'une centaine de personnalités dont des féministes qui estiment dans une récente tribune que "personne ne doit être stigmatisé jusque dans les bassins en raison de son choix de maillot".Pour ses opposants, le burkini constitue un symbole flagrant d'oppression de la femme et s'apparente au voile intégral que les talibans viennent de réimposer à la gent féminine en Afghanistan.En quelques semaines, et alors qu'approchent les élections législatives, le débat a viré à la tempête politique, les deux camps s'affrontant à coups de tribunes, pétitions et prises de position musclées.M. Piolle "ne se rend pas compte du mal qu'il est en train de faire à nos valeurs républicaines", estime Prisca Thévenot, une des porte-parole du parti de la majorité présidentielle LREM.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-499462-apres-plus-de-2-heures-30-de-debats-le-conseil-municipal-de-grenoble-a-valide-hier-soir-le-port-du-burkini-dans-toutes-les-piscines-de-la-ville-video.html

Bruxelles présente un projet de règlement imposant des obligations aux plateformes et messageries en ligne pour détecter, signaler et retirer les images pédopornographiques


Bruxelles a présenté un projet de règlement imposant des obligations aux plateformes et messageries en ligne pour détecter, signaler et retirer les images pédopornographiques, s'inquiétant de l'explosion de ces contenus illégaux.Une proposition suivie de près par l'industrie de la tech, qui redoute une dérive vers une surveillance de masse.La Commission européenne préconise aussi la mise en place d'un centre européen de lutte contre les abus sexuels commis sur des enfants, une agence indépendante qui serait basée à La Haye (Pays-Bas) comme Europol, avec qui elle collaborera. Elle serait notamment chargée de recueillir les signalements de ces contenus par les plateformes et apporterait une aide aux victimes pour obtenir leur retrait."Notre société échoue aujourd'hui à protéger les enfants", s'est alarmée la commissaire européenne aux Affaires intérieures, Ylva Johansson.Elle a indiqué qu'en 2021 dans le monde, 85 millions de vidéos et photos impliquant des abus sexuels sur mineurs avaient été signalées, selon des données du Centre américain pour les enfants disparus et exploités, NCMEC. "Et c'est juste la partie émergée de l'iceberg", a souligné la responsable suédoise.Plus de 60% de ces contenus sont hébergés sur des serveurs situés dans l'Union."Les signalements ont augmenté de 6.000 % au cours des dix dernières années" dans l'UE, selon Ylva Johansson.Jusqu'à 95% des signalements des contenus dans le monde en 2020 provenaient du seul Facebook, alors que "le problème ne se réduit pas à une seule plateforme", note la Commission, qui relève aussi que la pandémie de Covid-19 avec ses confinements a aggravé le problème.Jusqu'à présent, les fournisseurs de services et messageries sur internet procèdent de façon volontaire à la détection de ces contenus illégaux. Mais Bruxelles veut désormais les contraindre à être proactifs, sous peine de sanctions.Cette législation, qui fait partie d'une stratégie annoncée en 2020, s'inscrit dans le cadre plus général du règlement de l'UE sur les services numériques ("Digital Services Act", DSA) visant à encadrer les plateformes numériques, qui prévoit des amendes pouvant atteindre jusqu'à 6% de leur chiffre d'affaires annuel en cas d'infraction.Le projet de règlement prévoit l'obligation pour les plateformes d'évaluer les risques que leurs services soient utilisés pour diffuser des images pédopornographiques, ou pour la sollicitation d'enfants par des pédophiles, et la mise en place de mesures préventives.Les Etats membres doivent désigner une autorité indépendante chargée de surveiller que la plateforme remplit ces obligations, et habilitée à demander le cas échéant à un tribunal ou à une autorité administrative d'émettre un ordre de détection, strictement ciblé et limité dans le temps.La Commission prévoit que les fournisseurs devront "utiliser des technologies de détection qui sont les moins intrusives possibles pour la vie privée" et qui permettent de "limiter au maximum le taux d'erreur".La législation s'applique aussi aux communications cryptées, mais elle ne précise pas quelle technologie doit être utilisée pour détecter des images pédophiles dans ce cadre.Ces contenus illégaux, une fois repérés, devront être signalés au nouveau Centre européen de prévention et de lutte contre les abus sexuels sur les enfants, qui procèdera à une vérification et les enverra aux autorités de police compétentes et à Europol.La proposition doit encore être discutée avec le Parlement européen et les Etats membres.La commissaire, qui a rencontré des représentants de près d'une vingtaine d'acteurs du numérique, s'attend à un "gros lobbying des entreprises contre" sa proposition. "Mais je pense que j'ai une écrasante majorité de citoyens de mon côté", a-t-elle commenté devant des journalistes."Nous espérons que les nouvelles obligations (...) respecteront l'interdiction européenne de surveillance généralisée et qu'elles ne porteront pas atteinte au cryptage", a réagi Victoria de Posson, de l'association CCIA, qui représente les industries des technologies de l'information et des communications, dont sont membres les "Gafa" (Google, Amazon, Facebook et Apple)."Nous sommes disposés à travailler avec les législateurs européens pour élaborer des règles efficaces et réalisables", a-t-elle ajouté dans un communiqué.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-498967-bruxelles-presente-un-projet-de-reglement-imposant-des-obligations-aux-plateformes-et-messageries-en-ligne-pour-detecter-signaler-et-retirer-les-images-pedopornographiques.html

Centrafrique: L’organisation Reporters sans frontières dénonce des investigations "complètement à l'arrêt" sur le meurtre de la jeune journaliste française Camille Lepage le 12 mai 2014


L'organisation Reporters sans frontières (RSF) a dénoncé des investigations "complètement à l'arrêt" sur le meurtre de la jeune journaliste française Camille Lepage en Centrafrique le 12 mai 2014, et demandé aux justices des deux pays de relancer l'enquête. La photographe de presse de 26 ans a été tuée par balle dans une embuscade alors qu'elle était en reportage avec une milice pour couvrir le pillage d'un village, dans ce pays d'Afrique centrale en guerre civile depuis 2013."Ces dernières années, aucun acte d'enquête important n'a été effectué pour identifier les motifs et les auteurs des tirs sur le convoi motorisé à bord duquel se trouvait Camille Lepage", souligne RSF dans un communiqué. "Les témoins n'ont pas tous été interrogés, certaines pistes n'ont pas été explorées, aucune reconstitution des faits n'a été effectuée et le dossier d'instruction est même resté introuvable pendant plusieurs mois" en Centrafrique, a rappelé l'ONG.En France, une cinquième juge d'instruction vient d'être saisie du dossier, tandis qu'en Centrafrique le procès a été renvoyé pour complément d'instruction, détaille RSF. "Les difficultés liées au contexte sécuritaire ou sanitaire ne peuvent pas justifier l'absence totale d'implication des autorités judiciaires françaises et centrafricaines ces dernières années pour identifier les auteurs de cette embuscade meurtrière et leur mobile", écrit le responsable du bureau Afrique de RSF, Arnaud Froger.En 2013, une rébellion menée par une alliance de groupes armés appelée Séléka, à majorité musulmane, a renversé le président François Bozizé. Ce dernier, ainsi que des caciques de son régime, ont ensuite créé ou fédéré des milices dites anti-balaka, dominées elles par des chrétiens et des animistes.Une guerre civile extrêmement meurtrière a opposé les deux coalitions avant de baisser d'intensité à partir de 2018, et dont les civils ont été et sont toujours les principales victimes. L'ONU a accusé les deux camps de crimes de guerre et contre l'humanité en 2014 et 2015. Plusieurs thèses concernant le mobile de l'attaque dont Camille Lepage a été victime ont été évoquées, dont celle d'une embuscade visant le convoi d'anti-balaka dans lequel elle se trouvait.La piste d'un règlement de compte au sein de ce groupe armé a été trop vite écarté, selon Vincent Fillola, l'avocat de la famille Lepage, qui déplore que la justice française n'ait déployé "ni les moyens ni la volonté nécessaire" pour que l'enquête avance, selon le communiqué.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-498952-centrafrique-l-organisation-reporters-sans-frontieres-denonce-des-investigations-completement-a-l-arret-sur-le-meurtre-de-la-jeune-journaliste-francaise-camille-lepage-le-12-mai-2014.html

Dieudonné a été condamné en appel à Genève au paiement de 180 jours-amende pour des propos tenus lors de spectacles en 2019 en Suisse, a indiqué la Tribune de Genève


Dieudonné a été condamné en appel à Genève pour des propos tenus lors de spectacles en 2019 en Suisse, a indiqué dimanche la Tribune de Genève sur son site. Déjà condamné en France à de nombreuses reprises pour injures raciales ou incitation à la haine, Dieudonné M'Bala M'Bala avait été condamné en juillet 2021 en première instance à Genève pour «discrimination raciale, diffamation et injure». Il s'agissait de sa première condamnation en Suisse.Selon les renseignements obtenus par la Tribune de Genève, la Chambre pénale d'appel et de révision genevoise a confirmé cette condamnation, à savoir le paiement de 180 jours-amende à 170 francs le jour, soit 30.600 francs (28.200 euros).En cause dans cette affaire, les propos négationnistes sur les chambres à gaz que Dieudonné a fait tenir par l'un de ses personnages dans son spectacle entre le 4 et le 6 janvier 2019, au Théâtre de Marens à Nyon, et le 28 et 29 juin 2019, au Centre d'animation cinématographique CAC Voltaire à Genève.Lors de son procès, Dieudonné avait affirmé que ce n'était pas lui qui avait dit la phrase pendant le spectacle, mais son «personnage».L'argument avait été balayé par la présidente du tribunal de police de Genève, et la cour d'appel vient d'en faire de même. Selon cette cour, citée par la Tribune de Genève, l'artiste a fait part «de son mépris des victimes de la Shoah et de sa volonté de créer la polémique» et a porté atteinte «à la dignité humaine et à la p aix publique». 
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-499357-dieudonne-a-ete-condamne-en-appel-a-geneve-au-paiement-de-180-jours-amende-pour-des-propos-tenus-lors-de-spectacles-en-2019-en-suisse-a-indique-la-tribune-de-geneve.html

Essonne: Un jeune homme dépose une plainte à l'IGPN contre des policiers qu'il accuse de violences dans le commissariat de Juvisy-sur-Orge


Un jeune homme a déposé une plainte à l'IGPN contre des policiers qu'il accuse de violences dans le commissariat de Juvisy-sur-Orge (Essonne), a appris l'AFP de sources policières, confirmant une information de Libération. Le jeune, placé en garde à vue dans une enquête pour outrage et rébellion, affirme avoir subi de nombreuses violences au sein du commissariat.Âgé de 19 ans, il a obtenu quatre jours d'ITT (Incapacité totale de travail) lors d'un examen médical réalisé au cours de la garde à vue. Les faits remontent à la nuit du 9 au 10 mai à Athis-Mons, ville voisine de Juvisy. Alcoolisés, trois jeunes sont contrôlés par des fonctionnaires, selon plusieurs sources policières qui précisent qu'une enquête est en cours "pour connaître la réalité des faits".La garde à vue a été levée sans poursuites pour l'instant, précise une source policière à l'AFP et la plainte a été déposée vendredi auprès de l'IGPN, la police des polices.Contacté par l'AFP, le parquet d'Evry n'avait pas répondu dans l'immédiat. 
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-499378-essonne-un-jeune-homme-depose-une-plainte-a-l-igpn-contre-des-policiers-qu-il-accuse-de-violences-dans-le-commissariat-de-juvisy-sur-orge.html

Grenoble - Le conseil municipal doit voter aujourd'hui, sous l’impulsion du maire écologiste Eric Piolle, l’autorisation du burkini dans les piscines municipales


12h26: Le point sur ce que l'on sait ce midiLa ville de Grenoble s'apprête à modifier lundi la règlementation des piscines pour notamment autoriser le burkini, une décision qui ne passe pas auprès d'une grande partie de la classe politique et du ministère de l'Intérieur, qui souhaite la faire bloquer au nom de la loi sur le séparatisme.Ce thème explosif, qui défraye la chronique depuis déjà plusieurs semaines, figure sobrement sous l'intitulé "Conditions et tarifs d'accès aux piscines municipales" dans l'ordre du jour du conseil municipal prévu à partir de 15H00. La réunion, qui sera fermée au public mais retransmise en direct, s'annonce électrique, avec des manifestations à Grenoble et une polémique attisée par les prises de position politiques.Le maire écologique Eric Piolle n'a de cesse de répéter que le burkini est un "non-sujet" et que la modification du règlement intérieur des piscines municipales ne vise qu'à "lever les interdits vestimentaires aberrants" et à aller à l'encontre "des injonctions sur le corps des femmes".Il a reçu le soutien d'une centaine de personnalités dont des féministes comme Caroline De Haas ou Alice Coffin qui estiment dans une récente tribune que "personne ne doit être stigmatisé jusque dans les bassins en raison de son choix de maillot". Mais pour ses opposants, le burkini constitue un symbole flagrant d'oppression de la femme et s'apparente au voile intégral que les talibans viennent de réimposer à la gent féminine en Afghanistan.En quelques semaines, et alors qu'approchent les élections législatives, le débat sur le burkini a viré à la tempête politique, les deux camps s'affrontant à coups de tribunes, pétitions et prises de position musclées. M. Piolle "ne se rend pas compte du mal qu'il est en train de faire à nos valeurs républicaines", estime Prisca Thévenot, une des porte-parole du parti de la majorité présidentielle LREM."Barrage national contre ceux qui, comme lui, par électoralisme, rampent devant l'islam politique et ses revendications !", fustige quant à lui le président du Rassemblement national Jordan Bardella.La large coalition de gauche que dirige le maire apparaît elle-même divisée, ce qui pourrait laisser augurer un vote plus serré que prévu parmi les 59 élus: aux voix des 14 conseillers d'opposition s'ajouteraient 13 votes d'élus de la majorité opposés à la mesure, qu'ils jugent porteuse de "risques d’aggravation de la fragmentation sociale", selon le quotidien régional le Dauphiné Libéré.08h20 : Le conseil municipal de Grenoble doit voter ce lundi, sous l’impulsion du maire écologiste Eric Piolle, la modification controversée du règlement des piscines de la ville, pour permettre l’autorisation du burkini. D’un point de vue concret, il s’agira de décider le changement du texte réclamant une «tenue décente» et «une attitude correcte» de la part des usagers. A l’heure actuelle, les baigneurs doivent porter un maillot de bain couvrant «au minimum la partie située entre le haut des cuisses et la ceinture et au maximum la partie située au-dessus des genoux et au-dessus des coudes». Ces limites pourraient donc être supprimées.Le maire EELV de Grenoble s’en explique en estimant qu’il s’agit de libérer le choix des femmes, qui pourraient aussi être en droit de ne plus cacher leur poitrine. «Notre volonté est de lever les interdits vestimentaires aberrants : cela concerne les seins nus, les maillots couvrants pour se protéger du soleil ou pour raisons de conviction».
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-499363-grenoble-le-conseil-municipal-doit-voter-aujourd-hui-sous-l-impulsion-du-maire-ecologiste-eric-piolle-l-autorisation-du-burkini-dans-les-piscines-municipales.html

Législatives - Une ancienne gagnante de l’émission "Koh Lanta" a été investie par la majorité présidentielle dans la 4e circonscription de l'Ain


Une ancienne candidate de l'émission "Koh Lanta" sur TF1 a été investie par la majorité présidentielle pour les législatives de juin prochain dans la quatrième circonscription de l'Ain, selon Le Progrès. Il s'agit d'Isabelle Seguin, qui a remporté "Koh Lanta" en 2003. Elle est soutenue par Renaissance (ex-LREM).Nos confrères précisent que le député sortant En Marche de la 4e circonscription de l'Ain, Stéphane Trompille n'a pas obtenu l’investiture de son parti jeudi soir. Malgré cette décision, l'élu - condamné pour harcèlement sexuel - a annoncé qu'il "veu[t] continuer à s'investir corps et âme, pour [son] territoire".En 2003, Isabelle Seguin avait remporté l’édition de "Koh Lanta", présentée par Denis Brogniart, qui avait lieu au Panama..  
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-499390-legislatives-une-ancienne-gagnante-de-l-emission-koh-lanta-a-ete-investie-par-la-majorite-presidentielle-dans-la-4e-circonscription-de-l-ain.html

"Morandini Live" à 10h35 sur CNews - Les coulisses de la spéciale au Parc Kalliste à Marseille - Burkini : Une décision cet après-midi - Gérald Darmanin en lutte contre les rodéos


Jean-Marc MORANDINI présente chaque jour une émission de décryptage sur l'actualité à travers leur traitement dans les médias. Morandini Live démarre avec des extraits des différents journaux télé et talk-shows de la veille qui sont le reflet du traitement de l'actualité par les médias.Après ce "zapping" de l'actu, Jean-Marc Morandini choisi de revenir sur plusieurs sujets sociétaux, politiques, économiques, médiatiques avec un débat dans lequel se confrontent élus, représentants politiques, spécialistes de la communication, écrivains, médecins et chroniqueurs...Des débats, engagés, passionnés mais toujours respectueux pour que les idées s'affrontent.Chaque émission se termine par "les 12 dernières minutes", un tête à tête de 12 minutes entre Jean-Marc Morandini et un invité auteur de livre, homme politique, ministre ou anonyme qui vient raconter une tranche de vie.Morandini Live, un autre regard sur l’info pour sortir du politiquement correct et des idées reçues. 
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-471386-morandini-live-a-10h35-sur-cnews-les-coulisses-de-la-speciale-au-parc-kalliste-a-marseille-burkini-une-decision-cet-apres-midi-gerald-darmanin-en-lutte-contre-les-rodeos.html
,CNews,Gerald Darmanin

Le site Vigilance Moustiques a placé plus de 60 départements métropolitains en alerte rouge face au moustique tigre - Il peut véhiculer des maladies tropicales telles que la dengue, le chikungunya ou le virus Zika


Le site Vigilance Moustiques a placé plus de 60 départements métropolitains en alerte rouge face au moustique tigre, ce qui signifie que l'espèce est "implantée et active" dans les régions concernées. Le moustique tigre peut véhiculer des maladies tropicales telles que la dengue, le chikungunya ou le virus Zika.Selon la carte de Vigilance Moustiques, une grande partie de la France est concernée par cette alerte rouge, principalement le sud et le centre du pays.Cinq départements se trouvent en alerte orange "interception ponctuelle" : la Haute-Loire, l'Allier, l'Yonne, le Loir-et-Cher, l'Ille-et-Vilaine et l'Oise. Les autres départements se trouvent en alerte jaune "surveillance entomologique".Outre-mer, la Guadeloupe, la Martinique, la Guyane, la Réunion et Mayotte se trouvent au plus haut seuil d'alerte avec des cas de maladie déclarée.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-498847-le-site-vigilance-moustiques-a-place-plus-de-60-departements-metropolitains-en-alerte-rouge-face-au-moustique-tigre-il-peut-vehiculer-des-maladies-tropicales-telles-que-la-dengue-le-chikungunya-ou-le-virus-

Les distributeurs de prospectus publicitaires sont près de 20.000 en France à exercer dans des conditions difficiles et regardent avec inquiétude l'avenir d'un secteur dont le déclin s'accélère avec la mise en place de mesures anti-gaspillage


Les distributeurs de prospectus publicitaires sont près de 20.000 en France à exercer dans des conditions difficiles et regardent avec inquiétude l'avenir d'un secteur dont le déclin s'accélère avec la mise en place de mesures anti-gaspillage comme le dispositif "Oui Pub"."D'ici cinq ans, il n'y aura plus de distribution de publicité" dans les boites aux lettres, professe Youcef Saadat, 20 ans d'ancienneté comme distributeur chez Adrexo. Il y a un an, ils étaient encore 18.000 dans son entreprise. Aujourd'hui, ils ne sont plus que 13.000. Chez Mediapost, seul autre acteur de la distribution de pub en France, on compte 8.100 distributeurs selon la CFDT, soit 3.000 de moins qu'il y a trois ans. Dans ce contexte, la mise en place du dispositif "Oui Pub" dans 13 communes ou communautés de commune à partir de septembre apparaît comme un coup de grâce. Cette expérimentation, qui doit durer 31 mois, prévoit d'interdire la distribution d'imprimés publicitaires non adressés, sauf si un autocollant "Oui Pub" est visible sur la boite aux lettres, avant d'être éventuellement étendue. "C'est dramatique pour nous", déplore Karine Felltin, salariée chez Mediapost depuis une dizaine d'années.Nombre d'employés du secteur sont précaires et embauchés à temps partiel, ce qui rend leur reconversion difficile. "C'est un secteur où il n'y a pas eu d'anticipation, pas de formation et on est sur des gens qui ne sont pas en capacité de s'orienter sur une activité de publicité digitale", s'inquiète Aline Guerard, secrétaire nationale CFDT en charge de la distribution directe.Une bonne partie d'entre eux sont retraités et travaillent pour arrondir leurs fins de mois. En 2020, un distributeur sur cinq avait plus de 65 ans chez Adrexo et Mediapost selon un décompte de la CFDT. Le groupe La Poste, qui est la maison mère de Mediapost, "a déjà dit qu'il ne les reprendrait pas" donc on se dirigerait plutôt vers "un accompagnement financier" pour des gens souvent en difficulté, assure Mme Guerard. "Le plus âgé chez nous, je crois qu'il a 83 ans. A un moment il faut arrêter de dire qu'ils font ça parce qu'ils s'ennuient. Ce sont des gens avec des retraites de 800 euros", dénonce Karine Felltin. Youcef Saadat, qui est aussi délégué syndical de la Confédération autonome du travail (CAT) sur son dépôt d'Argenteuil (Val-d'Oise), connaît lui "des agents de sécurité qui travaillent la nuit et qui ensuite dorment jusqu'à midi avant d'aller faire une tournée de distribution pour compléter leurs salaires". Pourtant, "c'est un boulot d'esclave. Ça irait encore si on était payé convenablement", s'exclame Youcef Saadat en montrant ses fiches de paie de la semaine écoulée qui atteignent à peine les 100 euros. Actuellement sur un contrat de 20 heures par semaine, il dit gagner "entre 4 et 500 euros par mois". "A la fin du mois, il ne vous reste rien avec le litre d'essence à deux euros", assure-t-il. Karine Felltin, employée au dépôt de Neuilly-Plaisance (Seine-Saint-Denis) et déléguée syndicale CFDT, gagne elle 1.100 euros pour un contrat de 30 heures. Malgré les conditions de travail difficile, les salaires bas et les perspectives peu réjouissantes, elle tient à défendre son métier et le prospectus publicitaire auquel "les gens que je côtoie sont attachés", assure-t-elle. "Il y a des mamans qui me disent qu'elles attendent leur prospectus, parce que 8 euros de bon d'achat chez Lidl ou Carrefour, ça a son importance aujourd'hui", insiste Karine Felltin. "Je connais une dame de 94 ans, elle m'attend chaque semaine", raconte Youcef Saadat. "A chaque fois, je discute dix minutes et elle me remercie de lui ramener ses prospectus. Elle me dit: +même s'il n'y en a qu'un, amenez-le moi+", poursuit-il, conscient de voir sa clientèle prendre de l'âge année après année.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-499045-les-distributeurs-de-prospectus-publicitaires-sont-pres-de-20000-en-france-a-exercer-dans-des-conditions-difficiles-et-regardent-avec-inquietude-l-avenir-d-un-secteur-dont-le-declin-s-accelere-avec-la-mise-

Un adolescent de 15 ans meurt dans un accident de la route après un refus d'obtempérer - Les quatre autres occupants du véhicule placés en garde à vue


Un adolescent de 15 ans est décédé dans la nuit de dimanche à lundi dans un accident de la route après un refus d'obtempérer, les quatre autres occupants du véhicule ayant été placés en garde à vue, a indiqué à l'AFP le procureur de Charleville-Mézières. Selon le récit du procureur, Laurent de Caigny, les cinq hommes, membres de la communauté des gens du voyage, ont pris la fuite en voiture "à la vue des gendarmes" après avoir été surpris en pleine nuit dans un stade municipal de la commune des Ayvelles."Les gendarmes décident alors de suivre le véhicule" raconte le procureur mais il le perdent de vue après qu'il ait bifurqué. Selon les premiers éléments de l'enquête, "les gendarmes vont retrouver le véhicule déjà accidenté" et "n'ont pas assisté à l'accident". "Je ne peux pas parler d'une course poursuite", mais "d'un refus d’obtempérer, d'un véhicule qui prend la fuite", a insisté le procureur.L'un des passagers, âgé de "15 ans et demi", est décédé sur place. Deux autres ont été blessés. Le père de l'adolescent décédé était présent à bord du véhicule. Le conducteur, est lui aussi "apparenté au défunt". Il est connu pour des actes de petite délinquance. Son fils faisait partie des passagers. Tous les quatre ont été conduits à l'hôpital, avant d'être placés en garde à vue.L'enquête a été confiée à la brigade de recherche de la compagnie de gendarmerie de Rethel, différente de la compagnie où travaillent les gendarmes concernés, a souligné le procureur.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-499420-un-adolescent-de-15-ans-meurt-dans-un-accident-de-la-route-apres-un-refus-d-obtemperer-les-quatre-autres-occupants-du-vehicule-places-en-garde-a-vue.html

Le port du masque n'est plus obligatoire depuis ce matin dans les transports en commun en France, un allègement qui marque la disparition de la dernière grande restriction anti-Covid - Vidéo


Le port du masque n'est plus obligatoire depuis ce matin dans les transports en France, un allègement qui marque la disparition de la dernière grande restriction anti-Covid dans un contexte d'accalmie sanitaire. "Le gouvernement décide, à compter du 16 mai 2022, de mettre fin à l'obligation du port du masque dans les transports collectifs", a résumé la semaine dernière la Direction générale de la santé (DGS) qui dépend directement du ministère.Jusqu'à maintenant, le port du masque était imposé dans les métros, les bus, les trains, les avions et les taxis. C'est la fin du dernier grand marqueur de l'épidémie de Covid-19 dans l'espace public, une décision qui entérine le fait que la maladie soit devenue une moindre préoccupation sanitaire comme politique, plus de deux ans après l'arrivée de la pandémie en Europe. Depuis quelques semaines, les contaminations et les hospitalisations liées au Covid diminuent enfin après une très longue vague hivernale.Et même lorsque celle-ci était à un niveau élevé en début d'année, la maladie était déjà passée à l'arrière-plan des préoccupations, la situation sanitaire restant très peu évoquée lors de la campagne présidentielle qui a vu la réélection d'Emmanuel Macron.Dans ce contexte, le gouvernement avait déjà pris plusieurs mesures emblématiques ces derniers mois: fin en mars du port du masque, hormis dans les transports, et fin du pass vaccinal, qui imposait d'être vacciné contre le Covid pour accéder à de nombreux lieux comme les restaurants et les cinémas.Le masque n'est plus obligatoire dans les transports en France mais reste "recommandé" Le masque n'est plus obligatoire dans les transports en France mais reste "recommandé" JOEL SAGET AFP Pour autant, certains chercheurs mettent en garde contre un sentiment excessif de sécurité, prévenant que l'épidémie est sous contrôle mais probablement pas finie, notamment face à la menace d'un nouveau variant.Et pour l'heure, même si l'épidémie décline nettement, "les indicateurs virologiques restent toutefois élevés", a prévenu vendredi l'agence Santé publique France. Le gouvernement garde donc un ton prudent, via le ministre de la Santé, Olivier Véran: il a répété la semaine dernière que la pandémie n'était "pas terminée", que le port du masque restait "recommandé" et qu'il pourrait redevenir obligatoire si le contexte l'imposait.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-499381-le-port-du-masque-n-est-plus-obligatoire-depuis-ce-matin-dans-les-transports-en-commun-en-france-un-allegement-qui-marque-la-disparition-de-la-derniere-grande-restriction-anti-covid-video.html
,Disparition

Loire: Huit personnes, dont sept collégiens, hospitalisées après une intoxication d'origine indéterminée dans un centre aquatique d'Andrézieux-Bouthéon


Huit personnes, dont sept collégiens, ont été hospitalisées ce lundi après une intoxication d'origine indéterminée dans un centre aquatique d'Andrézieux-Bouthéon (Loire), a-t-on appris auprès des pompiers et de la préfecture. Les personnes prises en charge ont été prises de vomissements, maux de tête et de gorge. Parmi elles, figurent sept élèves de deux classes de 6ème du collège Jacques Prévert d'Andrézieux-Bouthéon, qui se sont baignés lundi matin dans les bassins du Nautiform de la ville, géré par la métropole de Saint-Etienne. «Cinquante-quatre personnes ont été évacuées, dont 46 enfants qui ont été vus individuellement par les sapeurs-pompiers et le Samu», a déclaré Judicaële Ruby, directrice de cabinet de la préfecture de la Loire.«Parmi elles, huit personnes, dont sept collégiens, ont été conduites en urgence relative à l'Hôpital Nord de Saint-Priest-en-Jarez (Loire) ou au centre hospitalier du Forez, à Montbrison (Loire)», a-t-elle encore détaillé lors d'un point presse qui a suivi l'intervention d'une cinquantaine de pompiers et de membres du Samu, ainsi que d'une quinzaine de gendarmes. «Les premières analyses sont revenues négatives, d'autres recherches sont en cours pour déterminer l'origine de cet incident. Dans cette attente l'établissement reste fermé», indique encore la préfecture, ajoutant que le parquet de Saint-Etienne avait ouvert une enquête pour mise en danger de la vie d'autrui.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-499429-loire-huit-personnes-dont-sept-collegiens-hospitalisees-apres-une-intoxication-d-origine-indeterminee-dans-un-centre-aquatique-d-andrezieux-boutheon.html

Un homme de 39 ans a été condamné à 20 ans de réclusion criminelle pour avoir tué sa cousine de 93 ans qui menaçait de le déshériter


Un homme de 39 ans, jugé par la cour d'assises de Haute-Garonne, a été condamné à 20 ans de réclusion criminelle vendredi 13 mai pour avoir tué sa cousine de 93 ans qui menaçait de le déshériter. La retraitée avait été tuée chez elle à Castanet-Tolosan, près de Toulouse, dans la nuit du 31 janvier au 1er février 2019.Elle menaçait de déshériter l'accusé, qui rencontrait des problèmes financiers, après que ce dernier a encaissé 17 chèques lui appartenant, soit plus de 40.000 euros.Durant le procès, l'accusé, très impliqué dans les œuvres catholiques à Castres, sa ville d'origine, a nié avoir eu connaissance de la décision de la victime, de ne plus faire de lui son légataire universel.Les jurés ont suivi les réquisitions de l'avocat général, le condamnant pour homicide volontaire aggravé.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-499270-un-homme-de-39-ans-a-ete-condamne-a-20-ans-de-reclusion-criminelle-pour-avoir-tue-sa-cousine-de-93-ans-qui-menacait-de-le-desheriter.html

Regardez l'intégralité des discours de Jean Castex et Elisabeth Borne à Matignon lors de la passation de pouvoir qui s'est déroulé dans la cours de Matignon - Vidéo


«Nous avons des différences, mais nous avons beaucoup de choses en commun. D’abord, nous croyons que les politiques publiques doivent être bâties dans le dialogue», a avancé la nouvelle première ministre. Elle a évoqué les politiques écologiques notamment, en «associant davantage les forces vives de notre territoire». «Il faut agir plus vite et plus fort» face au «défi climatique et écologique.»«C’est tout le sens de la nouvelle méthode voulue par le président de la République.» Elle a également eu une «pensée» pour Edith Cresson, première femme première ministre en France, appelant à une plus grande place des femmes dans la société. «Je voudrais dédier cette nomination à toutes les petites filles. Allez aux bouts de vos rêves! Rien ne droit freiner le combat pour la place des femmes dans notre société.»Jean Castex avait présenté lundi vers 16H00 sa démission à Emmanuel Macron, qui l'avait acceptée dans la foulée. Les deux hommes ont échangé pendant environ une heure avant un tweet du chef de l'Etat le remerciant pour avoir "agi avec passion et engagement au service de la France", en appelant à être "fier du travail accompli et des résultats obtenus ensemble". Dimanche, M. Castex avait expliqué que "c'est une nouvelle ère qui s'ouvre" pour lui, "sans remords, ni regrets", après près de deux ans à être "Premier ministre de l'intendance".Grande favorite depuis la mi-journée pour lui succéder, la ministre du Travail Elisabeth Borne a été reçue à l'Elysée en fin d'après-midi.Emmanuel Macron avait assuré il y a une semaine à Berlin qu'il savait déjà le nom de son prochain Premier ministre, doté selon lui d'un profil "social", "écologique" et "productif". Depuis, les rumeurs allaient bon train.Seule certitude, croyait savoir son entourage: ce sera une femme. D'autant que 74% des Français sont pour, selon un sondage Ifop publié dans le JDD.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-499459-regardez-l-integralite-des-discours-de-jean-castex-et-elisabeth-borne-a-matignon-lors-de-la-passation-de-pouvoir-qui-s-est-deroule-dans-la-cours-de-matignon-video.html

Jean-Luc Mélenchon avait promis d'augmenter le salaire minimum à 1.400 euros par mois... Finalement ce sera 1.500 euros s'il est Premier Ministre ! Regardez


Lors de la présidentielle, la France insoumise (LFI) proposait d'augmenter le salaire minimum à 1.400 euros par mois. Mais, en juin prochain, pour les législatives, la coalition de la Nouvelle union populaire, sociale et écologique (Nupes), dont fait partie LFI, défendra un Smic à 1.500 euros net.La proposition de la Nupes revient donc à réhausser le Smic de 200 euros par rapport à son niveau actuel.Invité de l'émission «Dimanche en politique» sur France 3 ce 15 mai, Jean-Luc Mélenchon a expliqué que cette décision avait été prise car, avec l'inflation et les rattrapages automatiques, le Smic aurait de toute façon atteint 1.400 euros, rendant la précédente mesure caduque. «Nous avions prévu d'augmenter de 15% au niveau du Smic. Puisque le Smic est à 1.300 nous passerons donc à 1.500 [...] La progression de 15% sera observée par rapport au niveau des prix», a développé l'ex-candidat à la présidence.Evoquant une augmentation «par la force des choses», Jean-Luc Mélenchon a précisé que celle-ci devait s'accompagner d'une discussion autour des grilles de salaires. «Vous voyez bien que si le smic monte à 1.500, celui qui était petit cadre à 1.500, il faut le monter aussi», a-t-il illustré.Il faut augmenter le point d'indice des fonctionnaires. M. Macron ne le fait pas. Il faut également augmenter le #SMIC. Puisque le SMIC est maintenant à 1300 euros du fait de l'inflation, nous le passerons à 1500 euros net par mois.#DimPol pic.twitter.com/qo8dUA2rT2— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) May 15, 2022
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-499345-jean-luc-melenchon-avait-promis-d-augmenter-le-salaire-minimum-a-1400-euros-par-mois-finalement-ce-sera-1500-euros-s-il-est-premier-ministre-regardez.html
politique

Elisabeth Borne Première Ministre : "C'est au plus près des Français que nous allons trouver les réponses comme le veut le Président de la République" - Jean Castex annonce se retirer de la vie politique nationale


19h42: Elisabeth Borne prend la parole à son tour : "Merci cher Jean pour ton engagement sans faille et pour tes mots et pour ces combats que nous avons mené ensemble. Nous partageons la conviction que c'est dans le dialogue que les politiques sociales doivent se bâtir. Vous pouvez compter sur moi pour poursuivre dans cette voie. C'est au plus près des Français que nous allons trouver les réponses comme le veut le Président de la République. Je suis vraiment très émue ce soir, j'ai une pensée pour la première femme qui a occupé ces fonctions : Edith Cresson. Je dédie cette nomination à toutes les petites filles pour leur dire 'allez au bout de vos rêves' et que rien ne doit freiner le combat pour la place des femmes dans notre société".19h28: Jean Castex prend la Parole sous les applaudissements : 'Mme la Première Ministre. Chère Elisabeth, je suis très heureux de t'accueillir ici pour exprimer ma gratitude au Président de la République après avoir fait face à une série d'événements exceptionnels et douloureux. Je voudrais dire au peuple de France combien je sais que les mois écoulés marqués par la crise sanitaire ont été difficiles. Combien cela a engendré de décès, de souffrances, nous avons du prendre des mesures difficiles. Nous avons fait face ensemble, et j'ai essayé de mener le bateau avec un seul objectif, protéger, apaiser, expliquer, rassembler, fédérer.Il y a aussi la guerre aux portes de l'Ukraine qui n'a pas fini de faire peser toutes les conséquences. Je veux aussi avoir aussi une pensée pour toutes les victimes des attentats terroristes qui ont marqué la France.Je me suis donné sans retenu à cette belle et grande fonction en restant fidèle à ce qu'attendent de nous nos concitoyens. La société souffre et certains de nos concitoyens rencontrent des difficultés. Le peuple français est un peuple exigeant, le peuple français est un grand peuple. Chère Elisabeth, n'oublie pas qu'il y a  ceux qui s'expriment beaucoup et puis ces millions de Français que l'on entend pas, qui ne s'épanchent pas forcément sur les réseaux sociaux ou sur les chaînes d'infos, mais ils sont là et ils sont la colonne vertébrale de la France.Je veux te le dire chère Elisabeth, j'ai confiance en toi mais aussi dans le peuple de France pour qu'ensemble par notre travail et nos efforts nous puissions faire face à nos défis. Je vais sortir de la vie politique nationale dans laquelle je suis entré un peu par effraction. .19h19: Emmanuel Macron s'adresse à la Ministre Elisabeth BorneChère @Elisabeth_Borne, Madame la Première ministre,Écologie, santé, éducation, plein-emploi, renaissance démocratique, Europe et sécurité : ensemble, avec le nouveau gouvernement, nous continuerons d’agir sans relâche pour les Françaises et les Français.— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) May 16, 2022 19h00: Elisabeth Borne est arrivée et Matignon et discute actuellement avec Jean Castex18h30: Jean-Luc Mélenchon écrit sur Twitter: "Nous avons un devoir de débat politique et de choix. Madame Borne représente tout ce qui n'a pas marché au cours des 20 dernières années.". Et d'ajouter: "Nous avons un devoir de débat politique et de choix. Madame Borne représente tout ce qui n'a pas marché au cours des 20 dernières années. " Avant d'affirmer que "C'est une nouvelle saison de maltraitance écologique et sociale qui commence" Nous avons un devoir de débat politique et de choix. Madame Borne représente tout ce qui n'a pas marché au cours des 20 dernières années. #PremierMinistre https://t.co/VBTwmTJww6— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) May 16, 2022 18h27: Sur Twitter, Marine le Pen écrit: "En nommant Elisabeth Borne comme Premier Ministre, Emmanuel Macron démontre son incapacité à rassembler et la volonté de poursuivre sa politique de mépris, de déconstruction de l'État, de saccage social, de racket fiscal et de laxisme." En nommant Elisabeth Borne comme Premier Ministre, Emmanuel Macron démontre son incapacité à rassembler et la volonté de poursuivre sa politique de mépris, de déconstruction de l'État, de saccage social, de racket fiscal et de laxisme.— Marine Le Pen (@MLP_officiel) May 16, 2022 18h20: Elisabeth Borne est nommée Première Ministre par Emmanuel Macron, annonce l'Elysée dans un communiqué. "Le Président de la République a nommé Madame Elisabeth Borne, Première Ministre et l'a chargée de former un gouvernement", peut-on lire.18h16: Elisabeth Borne vient de quitter l'Elysée, où elle s'était rendue discrètement pour rencontrer Emmanuel Macorn17h48: Sur Twitter, Olivier Véran indique que Jean Castex "a su surmonter les crises et créer un lien unique avec les Français. À l’écoute et au travail, ce fut un honneur d’être à ses côtés. Merci Monsieur le premier ministre." Jean Castex a su surmonter les crises et créer un lien unique avec les Français. À l’écoute et au travail, ce fut un honneur d’être à ses côtés.Merci Monsieur le premier ministre.— Olivier Véran (@olivierveran) May 16, 2022 17h45: Gérald Darmanin rend à son tour hommage à Jean Castex. Sur Twitter, le Ministre de l'Intérieur écrit: "Merci Jean Castex, chef d’équipe efficace au service de la France et de nos concitoyens au cours de ces deux dernières années. Un serviteur de notre État et de ses valeureux agents." Merci @JeanCASTEX, chef d’équipe efficace au service de la France et de nos concitoyens au cours de ces deux dernières années. Un serviteur de notre État et de ses valeureux agents.— Gérald DARMANIN (@GDarmanin) May 16, 2022  Merci à @JeanCastex, à son gouvernement et à toute son équipe. Durant près de deux ans, il a agi avec passion et engagement au service de la France. Soyons fiers du travail accompli et des résultats obtenus ensemble. pic.twitter.com/AmJ2WkCety— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) May 16, 2022 17h31: Sur Twitter, Emmanuel Macron rend hommage à Jean Castex. Il écrit: Merci à Jean Castex , à son gouvernement et à toute son équipe. Durant près de deux ans, il a agi avec passion et engagement au service de la France. Soyons fiers du travail accompli et des résultats obtenus ensemble." Merci à @JeanCastex, à son gouvernement et à toute son équipe. Durant près de deux ans, il a agi avec passion et engagement au service de la France. Soyons fiers du travail accompli et des résultats obtenus ensemble. pic.twitter.com/AmJ2WkCety— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) May 16, 2022 17h20: Elisabeth Borne, dont le nom circule avec insistance pour devenir Première Ministre, vient d'arriver à l'Elysée17h11: Voici le communiqué de la présidence de la République17h04: Jean Castex annonce à l'AFP avoir officiellement présenté sa démission au président Emmanuel Macron 17h00: Jean Castex vient d'arriver à Matignon en attendant la passation de pouvoirs avec la personne qui va lui succéder16h54: Après avoir présenté sa démission au président Emmanuel Macron, Jean Castex vient de quitter l’Elysée. Il a eu un rendez-vous de près d'une heure avec le chef de l'Etat. Il rentre à présent à Matignon. 16h32: Alors que le nom de la personne qui va remplacer Jean Castex au poste de Premier ministre, le leader de La France insoumise vient de poster un message sur Twitter. "Grande tension avant la nomination de mon prédécesseur. Sera-t-elle de droite ou bien de droite ? Personne ne veut le job. C'est un CDD de mission d'intérim", écrit-il sur le réseau social. Grande tension avant la nomination de mon prédécesseur. Sera-t-elle de droite ou bien de droite ? Personne ne veut le job. C'est un CDD de mission d'intérim. #PremierMinistre— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) May 16, 2022 16h25: Jean Castex a quitté lundi peu avant 16H00 Matignon et est arrivé quelques minutes après à l’Elysée pour remettre sa démission à Emmanuel Macron. Selon des sources concordantes au sein de l’exécutif, une passation de pouvoir avec le ou la successeur(e) de M. Castex au poste de Premier ministre aura lieu autour de 19H00 lundi.Le Premier ministre, escorté sur le perron de Matignon par plusieurs conseillers, s’est engouffré à 15h55 dans son véhicule, lançant un simple « à tout à l’heure » à l’AFP. Plusieurs noms ont été évoqués ces derniers jours pour remplacer M. Castex, principalement des femmes, dont la ministre du Travail Elisabeth Borne.M. Castex accueillera le ou la futur(e) Premier(e) ministre autour de 18H30 à Matignon puis, après un temps d’échange privé, effectuera la passation dans la cour, comme il est d’usage, avant de quitter les lieux à pied, selon des sources concordantes au sein de l’exécutif.16h06: Le Premier ministre Jean Castex vient d'arriver à l'Elysée pour présenter sa démission à Emmanuel Macron. Il est actuellement en rendez-vous avec le chef de l'Etat15h56: Le Premier ministre Jean Castex vient de quitter Matignon pour aller présenter sa démission au président Emmanuel Macron à l'Elysée.15h46: La démission du Premier ministre Jean Castex devrait intervenir vers 16h00. Il est attendu dans les prochaines minutes à l'Elysée. "Sans remords, ni regret", Jean Castex a préparé sa lettre de démission, après 22 mois au poste de Premier ministre en France, laissant le champ libre aux spéculations qui parient sur une femme pour le remplacer.15h40: Si une femme devait bien être désignée, Edith Cresson, la seule à avoir occupé le poste (1991-1992), sous la présidence du socialiste François Mitterand, lui souhaite "beaucoup de courage" au sein d'une classe politique "machiste". Le choix est d'autant plus attendu qu'il viendra confirmer ou non l'orientation qu'entend se donner le chef de l'Etat, qui a promis de tenir compte de la colère exprimée par de nombreux Français pendant la crise des "gilets jaunes", révltés contre la politique fiscale et sociale d'Emmanuel Macron, et lors de l'élection présidentielle, et de changer de méthode."La composition du nouveau gouvernement, l'identité des grands ministres, l'identité du ou de la Première ministre peut avoir une importance très forte sur les élections législatives", a souligné dimanche soir sur LCI le sondeur Frédéric Dabi, de l'Ifop. Il rappelle que "la nomination d'Edouard Philippe en 2017 avait permis à la majorité présidentielle de casser la droite en plusieurs morceaux". Mais, relève-t-il, "l'impatience des Français" se focalise surtout "sur des questions d'inflation, de pouvoir d'achat, d'environnement et de sécurité" auxquelles il va falloir répondre dans un contexte anxiogène de crise du Covid et de guerre en Ukraine qui favorisent l'envolée les prix de l'énergie et de l'alimentation.15h38: Le chef de l'Etat, réélu le 24 avril pour un second mandat de cinq ans, avait assuré il y a une semaine à Berlin qu'il connaissait déjà le nom de son prochain Premier ministre... sans dévoiler son identité, à près d'un mois des législatives des 12 et 19 juin.Seuls indices donnés par le chef de l'Etat, qui reçoit lundi à déjeuner le président du Conseil européen Charles Michel, son nouveau Premier ministre sera doté d'un profil "social", "écologique" et "productif". Lors de son premier mandat, Emmanuel Macron avait surpris les observateurs, en nommant à Matignon Edouard Philippe puis Jean Castex, deux élus sans aucune expérience gouvernementale. Jean Castex, qui s'était auto-proclamé "Premier ministre de l'intendance", a multiplié les déplacements à travers la France - 350 en 22 mois - imprimant l'image d'un chef de gouvernement "des territoires", soucieux de la promotion de l'exécution des réformes, quitte à passer complètement sous les radars au plan national.Les rumeurs sur sa succession vont bon train. Seule certitude, croit savoir son entourage: ce sera une femme. D'autant que 74% des Français sont pour, selon un sondage Ifop publié dans l'hebdomadaire Le Journal du dimanche. Après ceux de la ministre du Travail Elisabeth Borne et de l'ex-ministre de la Santé Marisol Touraine, le nom qui revient avec insistance est celui de Catherine Vautrin, ancienne ministre de la Cohésion sociale du président de droite Jacques Chirac (2005-2007), laquelle avait apporté son soutien à Emmanuel Macron avant le premier tour de la présidentielle.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-499414-elisabeth-borne-premiere-ministre-c-est-au-plus-pres-des-francais-que-nous-allons-trouver-les-reponses-comme-le-veut-le-president-de-la-republique-jean-castex-annonce-se-retirer-de-la-vie-politique-national
,politique

Passation de pouvoir : Jean Castex annonce quitter la vie politique nationale


« Je continuerai, bien sûr, à servir notre pays, il y a tellement de façons de servir son pays quand on l’aime, en dehors de la politique », a affirmé Jean Castex en quittant Matignon
https://www.20minutes.fr/politique/3291375-20220517-passation-pouvoir-jean-castex-annonce-quitter-vie-politique-nationale#xtor=RSS-149
Politique

Tony Vairelles, ex-attaquant de l'équipe de France de football, condamné à trois ans de prison ferme pour violences avec arme


L’ancien attaquant de l’équipe de France de football, Tony Vairelles, a été condamné lundi à 5 ans de prison dont 2 avec sursis par le tribunal judiciaire de Nancy pour des violences avec arme commises dix ans plus tôt à la sortie d’une boîte de nuit. Ses trois frères ont également été condamnés à des peines de prison ferme: 5 ans dont 2 avec sursis aussi pour Fabrice Vairelles et 3 ans dont deux avec sursis pour Jimmy et Giovan. Ils étaient jugés pour avoir ouvert le feu et blessé trois vigiles d’une discothèque d’Essey-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle) en 2011.Fabrice, Jimmy, Giovan et Tony Vairelles répondaient de « violences en réunion, avec préméditation et avec arme », et encouraient jusqu’à dix ans de prison et 150.000 euros d’amende. Les trois vigiles ont quant à eux été condamnés à des peines d’emprisonnement avec sursis: trois mois pour l’un et quatre mois pour les deux autres. Ils étaient poursuivis pour violences en réunion avec armes, en l’occurrence « une bombe lacrymogène, des barrières de sécurité et une matraque ».Les conseils des Vairelles avaient aussi plaidé la nullité de la procédure, arguant de la lenteur de l’enquête qui a vu se succéder quatre juges d’instruction en dix ans, une demande rejetée par le tribunal. Lors du procès, le procureur de la République, François Pérain, avait requis trois ans de prison ferme à l’encontre de Tony Vairelles, trois ans aussi contre son frère Fabrice et 6 mois ferme pour Giovan et Jimmy.Le parquet avait aussi requis quatre mois avec sursis pour l’un des vigiles, et la relaxe pour les deux autres, reconnaissant la légitime défense. Tony Vairelles, aujourd’hui âgé de 49 ans, a été sélectionné à huit reprises en équipe de France, de 1998 à 2000 (1 but). Attaquant haut en couleur à la célèbre « coupe mulet », il a notamment porté les couleurs de Lens, Lyon, Bordeaux, Bastia et Gueugnon.  
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-499387-tony-vairelles-ex-attaquant-de-l-equipe-de-france-de-football-condamne-a-trois-ans-de-prison-ferme-pour-violences-avec-arme.html
,Football

Football - Kylian Mbappé a "quasiment" décidé s'il restait au Paris Saint-Germain ou s'il partait, mais n'a pas dévoilé son choix - VIDEO


Kylian Mbappé a "quasiment" décidé s'il restait au Paris Saint-Germain ou s'il partait, mais n'a pas dévoilé son choix, dimanche lors de la cérémonie des Trophées UNFP où il a reçu la distinction de meilleur joueur de la saison. "Oui, oui quasiment, c'est quasiment terminé", a-t-il répondu quand il lui a été demandé s'il avait fait son choix, et qu'il l'annoncerait "avant" les matches de l'équipe de France en juin à la Ligue des nations, a-t-il précisé en zone mixte.Les Bleus reçoivent le Danemark le 3 juin, il pourrait mettre fin au suspense et annoncer s'il reste ou s'il part, vraisemblablement au Real Madrid. Pressé de questions sur la scène du Pavillon Gabriel, Mbappé, en fin de contrat en juin, n'a pas lâché d'indice, mais a remercié "le PSG, qui m'a permis de venir ici, mes coéquipiers, le coach". "Je continue mon histoire, je continue à gagner, je ne suis jamais rassasié et ça fait plaisir", a-t-il ajouté.Présent à la cérémonie et dans l'équipe de la saison, son capitaine Marquinhos a seulement dit: "J'espère que la saison prochaine il va gagner ce trophée encore". "C'est toujours un plaisir immense d'être ici, un honneur, c'est pour ça que j'ai insisté pour venir", a-t-il expliqué, juste avant de s'envoler pour le Qatar où son équipe effectue un très court stage de deux jours."Gagner une troisième fois d'affilée c'est incroyable, merci à tous ceux qui ont voté pour moi", a commenté Mbappé. En mai 2019, il avait profité de la tribune aux trophées du syndicat des joueurs (Union nationale de footballeurs professionnels) pour envoyer un message, annonçant arriver "à un second tournant de (sa) carrière" et vouloir "plus de responsabilités (...), peut-être au Paris SG (...) peut-être ailleurs"."J'ai fait cette erreur il y a trois ans de m'accaparer la cérémonie ce n'est pas adéquat", a estimé dimanche Mbappé, revenant sur cet épisode. Meilleur buteur (25 buts) et meilleur passeur (17 passes décisives), "Kyky" (23 ans) a survolé la saison et porté le PSG à son dixième titre de champion, égalant le record de Saint-Etienne.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-499393-football-kylian-mbappe-a-quasiment-decide-s-il-restait-au-paris-saint-germain-ou-s-il-partait-mais-n-a-pas-devoile-son-choix-video.html
,Football

Referendum - Les Suisses votent aujourd'hui pour approuver la participation de leur pays au renforcement de la controversée agence Frontex, sur le streaming et le don d'organe


Les Suisses devraient approuver aujourd'hui dans les urnes le financement de l'agence européenne des frontières Frontex, l'obligation pour les plateformes de streaming d'investir dans l'audiovisuel national et le passage au consentement présumé du don d'organe. Une écrasante majorité de la population a voté par correspondance dans les trois à quatre semaines précédant l'élection. Les bureaux de vote ferment vers 10H00GMT, et les premières tendances devraient être connues dans l'après-midi.Selon l'institut gfs.bern, les trois objets soumis au vote devraient passer la rampe même si l'opposition à la modification de la loi sur le cinéma, contre laquelle les milieux de droite ont lancé un référendum, n'a cessé de croître. Cette réglementation baptisée Lex Netflix contraindra les plateformes de streaming à investir 4% de leur chiffre d'affaires réalisé en Suisse dans la création audiovisuelle helvétique, en participant à des productions ou en payant une taxe qui servira à soutenir le cinéma.Cette obligation s'appliquera aux chaînes étrangères qui diffusent des spots publicitaires spécifiques à la Suisse, comme TF1 et M6. La création cinématographique - qui a bénéficié ces dernières années d'un financement annuel moyen de 105 millions de francs (101 millions d'euros) - devrait obtenir 18 millions de francs supplémentaires par an grâce à la réforme, selon l'Office fédéral de la Culture.Les plateformes de streaming seront par ailleurs tenues de proposer 30% de contenus européens, comme c'est déjà le cas dans l'Union européenne. Pour les défenseurs de la réforme, tourner davantage de films en Suisse profitera à l'économie locale, tout en renforçant la compétitivité de la production cinématographique nationale face aux pays européens qui appliquent déjà une obligation d'investir. Dans le camp adverse, on a brandi la menace d'une augmentation du prix des abonnements.Les opposants estiment aussi que le quota de films européens pénalisera les productions d'ailleurs, et créera un dangereux précédent pour les services de streaming musical.Les Suisses devraient également approuver la participation de leur pays au renforcement de la controversée agence Frontex, une réforme que le Parlement européen a approuvé quatre ans après la crise migratoire de 2015. Un "non" fragiliserait davantage les liens entre la Suisse et l'UE, qui sont tendus depuis que Berne a soudainement décidé, en mai 2021, de mettre fin à des années de discussions en vue d'un accord-cadre - également appelé accord institutionnel - avec ce bloc d'Etats. La réforme de Frontex vise à la doter d'un corps européen permanent de 10.000 gardes-frontières et gardes-côtes à l'horizon 2027.Actuellement, l'agence compte plus de 1.500 agents provenant de divers Etats membres, et elle est régulièrement accusée notamment par des ONG, de pratiques de refoulements illégaux de migrants et son patron français a démissionné fin avril suite à une enquête de l'Office européen de lutte antifraude.Le gouvernement et le parlement souhaitent que la Suisse participe aux travaux de renforcement de Frontex. Il est prévu que la Suisse fournisse plus de personnel - environ 40 postes maximum contre 6 actuellement environ - et porte sa contribution financière annuelle à 61 millions de francs suisses (58 millions d'euros) contre 24 millions en 2021. Mais un comité regroupant diverses ONG d'aide aux migrants et des partis écologistes et de gauche ont lancé un référendum.En cas de refus, la coopération de la Confédération avec les Etats Schengen et Dublin prendra fin automatiquement, selon le gouvernement suisse, "à moins que les Etats de l'UE et la Commission européenne ne se montrent conciliants".Les partis de droite soutiennent dans leur ensemble la participation suisse au développement de Frontex, y compris l'UDC (Union démocratique du centre) dans le camp de la droite extrême, qui est en principe contre la signature de tout accord entre la Suisse et l'UE. Dimanche, les Suisses doivent également approuver le passage au principe du "consentement présumé" en matière de dons d'organe, une mesure déjà adoptée par plusieurs pays européens.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-499327-referendum-les-suisses-votent-aujourd-hui-pour-approuver-la-participation-de-leur-pays-au-renforcement-de-la-controversee-agence-frontex-sur-le-streaming-et-le-don-d-organe.html
,Streaming

Plus d'un habitant majeur de France métropolitaine sur trois affirme avoir renoncé au moins une fois à une démarche administrative en ligne sur les douze derniers mois, selon une étude


Plus d'un habitant majeur de France métropolitaine sur trois (32%) affirme avoir renoncé au moins une fois à une démarche administrative en ligne sur les douze derniers mois, selon des données recueillies au printemps 2021 et publiées par l'Insee."Les trois quarts d'entre eux ont pu effectuer ces démarches autrement (par téléphone, sur place, etc.), mais un quart, soit 8% de la population totale, a renoncé définitivement à les accomplir", note l'Institut national de la statistique et des études économiques.Parmi les personnes ayant renoncé à effectuer une démarche dématérialisée, 30,2% invoquent un problème lié à leur connexion Internet.Pour 29,1% d'entre elles, c'est la complexité des démarches qui a fait obstacle. Enfin, 25,7% des personnes en difficulté avec les démarches en ligne se sentent incapables de les mener à bien, ce qui les a dissuadés d'essayer.Les femmes sont plus nombreuses que les hommes à renoncer aux formalités en ligne (54,9% contre 45,1%), mais "elles trouvent aussi plus souvent d'autres manières d'effectuer ces démarches et renoncent moins souvent définitivement", relève l'Insee.Autre constat de l'étude, la situation financière des sondés influe sur leur aptitude à réaliser des démarches en ligne.Ainsi, "11% de la population se trouve en situation de privation matérielle et sociale, mais c'est le cas de 18% des personnes ayant déclaré des difficultés dans leurs démarches administratives"."Les jeunes de 18 à 29 ans sont également surreprésentés parmi les personnes ayant rencontré des difficultés: ils représentent 20% d'entre elles, alors qu'ils ne sont que 16% de la population", ajoute l'Insee.Malgré les freins détaillés par l'institut statistique, "la dématérialisation des démarches s'est largement développée au cours des dix dernières années".Deux tiers des majeurs résidant en France métropolitaine (67%) disaient en 2021 avoir effectué au moins une démarche administrative en ligne sur les douze mois précédents, un pourcentage doublé en dix ans (33% en 2011).Depuis 2011, l'appropriation des démarches numériques a nettement progressé dans toutes les tranches d'âge, mais reste faible chez les plus de 75 ans: seuls 26,6% d'entre eux disaient, au printemps 2021, avoir effectué une démarche en ligne sur l'année écoulée.L'étude se base largement sur l'enquête "Technologies de l'information et de la communication" de l'Insee, menée entre le 29 mars et le 17 juin 2021 auprès de 40.000 ménages français de métropole et d'outre-mer.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-498964-plus-d-un-habitant-majeur-de-france-metropolitaine-sur-trois-affirme-avoir-renonce-au-moins-une-fois-a-une-demarche-administrative-en-ligne-sur-les-douze-derniers-mois-selon-une-etude.html

Le nombre de journalistes titulaires de la carte de presse s'est stabilisé en 2021 en France, par rapport à 2020, année marquée par le choc Covid et le premier confinement


Le nombre de journalistes titulaires de la carte de presse s'est stabilisé en 2021, par rapport à 2020, année marquée par le choc Covid et le premier confinement, selon le baromètre social publié aux Assises du journalisme à Tours. L'an passé, ils étaient 34.075 à détenir une carte de presse, un chiffre quasi identique à celui de 2020 où on en dénombrait 34.132.En revanche, par rapport à 2009 --année la plus faste--, leur nombre a reculé de 8,9%. Selon les chiffres de la commission paritaire chargée de délivrer la carte de presse, la CCIJP, il y a eu l'an passé une reprise des embauches: 1.862 nouvelles cartes, contre 1.363 en 2020.Mais il faut souligner que 2021 était une "année de rattrapage" après l'arrivée de la pandémie en 2020 qui avait gelé dans un premier temps une bonne partie des nouvelles arrivées dans les rédactions. Les jeunes journalistes (moins de 35 ans) représentent le quart des détenteurs de cartes de presse en 2021, selon les statistiques de la CCIPJ. Au total 10.790 journalistes avaient en 2021 un statut précaire (piges ou chômage) soit 31,7%, autrement dit un journaliste sur trois.Ce chiffre est en fait minoré au regard des CDD, qui ne sont pas dénombrés et surtout du développement de la "zone grise" des paiements sur facture, droits d'auteurs ou recours au statut d'intermittence du spectacle, soulignent les auteurs du baromètre social des Assises, dans leur communiqué. Le baromètre social est réalisé avec les contributions de la CCIPJ, de La Correspondance de la presse, des syndicats SNJ, SNJ-CGT et de CFDT-journalistes.
https://www.jeanmarcmorandini.com/article-499093-le-nombre-de-journalistes-titulaires-de-la-carte-de-presse-s-est-stabilise-en-2021-en-france-par-rapport-a-2020-annee-marquee-par-le-choc-covid-et-le-premier-confinement.html
,Confinement

#archive #Confinement #Actualités

Ces sujets pourraient vous intéresser
OLD DATA BACKUP
Contre la loi "sécurité globale", entre 34.000 et 200.000 manifestants en France
Boîte 10417 (samedi 16 janvier 2021)
archivage par Bryan Duval (CBD17b - 16-10-2021 09:42:45)
Mamans & célèbres (TFX) : une candidate emblématique quitte l'émission et dézingue la production !
Boîte dispo n°10417 (mercredi 13 octobre 2021)
archivage par Bryan Duval (GüN19 - 01-03-2022 08:11:12)
Informations
sur cette page
  • Publication : 17-05-2022 à 06:55
  • Révision : 03-02-2023 à 06:40
  • Consultation : 20-03-2024 à 21:33
  • Création : 16-01-2021 à 14:38
  • Indice de contenu : 77644
  • Status : OK
  • Statistiques : 139 affichages
  • Référence : S10417
  • Référenceur : Bryan Duval